ET VOUS NE LE SAVEZ PAS!

(And knoweth it not)

 

15 août 1965, matin
Branham Tabernacle
Jeffersonville — Indiana, U.S.A.

 



Merci, frère Neville. Que le Seigneur vous bénisse. Je crois bien que j’ai pris une habitude. Je veux vraiment remercier le Seigneur de s’être chargé des garçons de frère Capps. C’est arrivé juste durant la courte période de mon retour en Indiana. Je sais que ceci n’est pas enregistré, du moins je le suppose. Et je ne vois personne ici qui… Je suis revenu pour aller à la chasse à l’écureuil. Et je crois que Charlie et Nelly vont devoir me loger ainsi que ceux du Kentucky là-bas pendant un jour ou deux pour que nous puissions aller à la chasse à l’écureuil. Je pourrais me passer de n’importe quel autre sorte de loisir, mais pas de celui-là; alors je vais venir ici vers le milieu du mois d’août et j’irai chasser l’écureuil avec Charlie, Banks et tous les autres. C’est pour moi un événement traditionnel en quelque sorte. Et j’ai aussi pris Joe…

Lorsque nous sommes venus ici l’autre fois, tout le monde a été malade à cause du changement de ce climat si chaud là-bas avec le climat froid que vous avez ici. Je sais que pour vous ce n’est pas froid, mais venez donc une fois en Arizona! Il faisait quarante-trois degrés à l’ombre lorsque je suis parti l’autre matin; puis dans la nuit, lorsque l’air frais est descendu des montagnes vers minuit, il faisait encore trente-huit degrés. Houh là là! Vous voyez; ça c’était à minuit alors que de l’air frais était descendu. C’est un endroit qui est très bien pour l’hiver; mais en été c’est pour les scorpions et les lézards, pas pour les êtres humains. Même les animaux partent se réfugier dans les montagnes. Ils ne peuvent pas supporter cela.

J’étais donc sorti tirer avec ma petite carabine. J’aimerais vous dire quelque chose au sujet des petits Capps. Il faudra que je donne la carabine à Joe car maintenant il me bat au tir. Nous avons tiré avec cette carabine et j’ai pu toucher des pièces à une distance de quarante-cinq mètres. Et Joe dit: «Papa, je crois que je pourrais y arriver». Pauvre petit gars; j’avais prié pour lui, il avait eu mal à la tête et avait eu beaucoup de fièvre. Il est venu avec moi dans le champ de tir…

N’importe quelle carabine 22 long rifle dont le calibre est de 5,56 mm (22/100 de pouce) peut tirer à une distance de vingt-cinq mètres, et même de cinquante. J’avais donc tiré à vingt-cinq mètres. Il me restait encore deux pièces que j’accrochai et Joe réussit à les atteindre toutes les deux! Comme il ne m’en restait plus, je pris un petit morceau d’à peine un demi-centimètre de large d’un de ces pigeons d’argile sur lesquels tirent les gens lors des tirs au pigeon et qui avait éclaté là tout près; j’allai donc poser ce morceau d’argile à cinquante mètres de là et il le coupa en deux. Et cette performance ne passa pas inaperçue à mes yeux; il me fit l’effet d’être tout d’un coup plus vieux de quelques années. Il dit: «Tu sais quoi? Il va falloir que j’aille dire à Billy de ne plus se mettre en travers de mon chemin maintenant». Vous voyez? [Frère Branham et l’assemblée rient — N.d.R.]

Et j’ai dit: «Eh bien, je vais te dire ce que nous allons faire, nous allons descendre montrer cela à frère Norman».

Je dis: «Joe, j’ai confiance que tu pourrais te mesurer à n’importe qui dans le monde». Et ces pièces n’avaient même pas dévié; elles avaient été atteintes en plein milieu. Et ce morceau d’argile qui ne devait pas faire plus d’un demi centimètre de large, d’épaisseur et de hauteur, il le coupa en deux à une distance de cinquante mètres. Je dis: «Personne au monde n’aurait pu effectuer un meilleur tir. Des champions auraient pu faire la même chose, mais ils n’auraient pas pu effectuer trois meilleurs tirs que toi». Les pièces n’avaient pas dévié; il y eut un trou net sur le papier à l’endroit où la pièce avait traversé. Et je dis: «Personne n’aurait pu effectuer un meilleur tir». Très bien. Je crois qu’à ce moment-là il a été complètement débarrassé de son mal de tête.

Et je dis: «Bien, allons montrer cela à frère Norman»; il travaille pour le Field and Stream, un lieu privilégié des amateurs de chasse et qui appartient à frère Tony Stromei.

Mais il dit: «Allons d’abord voir Billy. Je veux juste dire quelque chose à Bubby». Vous voyez? Et c’est vrai que son frère n’avait jamais aussi bien réussi. Et il dit: «Nous irons d’abord là-bas».

Et comme je passai la porte, je vis que Billy était encore en pyjama. Nous étions descendus de bonne heure car il fait vite tellement chaud. Le téléphone se mit à sonner. Et Joe me lança un regard comme cela. Je dis: «C’est peut-être un appel pour un malade». Et c’était frère Capps; il appelait au sujet de son garçon qui se trouvait en salle d’opération avec une péritonite et tous les risques que cela comporte. Et maintenant il vient de me dire que son garçon se rétablit vraiment très bien.

10 Vous voyez comment Dieu a oeuvré pour cela, même au travers de la voix de ce petit Joe? Je suis monté à la maison au lieu de descendre vers frère Norman où on n’aurait pas pu m’atteindre. Frère Capps s’est joint à moi dans la prière. Je ne dis pas que ce sont nos prières qui ont fait cela, mais pour lui, il était important que nous soyons en contact comme cela. Sincèrement, vous devez avoir la foi dans ce que vous faites. Vous voyez?

11 Ils étaient en train de mettre de la monnaie. Et il dit: «Cela doit vraiment faire une grande distance». Et il a mis près de cinq dollars de monnaie pour un appel de trois minutes. Et j’ai pensé que cela devait venir de New-York ou bien d’une des îles là-bas quelque part. Mais il avait fait un appel personnel pour avoir Billy au lieu de Loyce, vous voyez et c’est ce qui lui avait coûté cher.

12 Et maintenant son garçon est en train de guérir. Frère Capps a dit que le docteur avait très peu d’espoir de le voir se sortir de l’opération. Et ce matin nous sommes reconnaissants à Dieu pour cela, nous en sommes très heureux.

13 Ce matin, nous sommes rentrés à l’aube; j’ai dormi environ trois heures et je suis bien fatigué. Mais lorsque le moment est venu d’aller à l’église, eh bien je suis descendu et…

14 Le Seigneur voulant, je devrai maintenant descendre au Kentucky comme je l’ai dit. On m’avait fait promettre de parler un dimanche pendant que je me trouverais de retour ici et je ferais mieux de le faire ce dimanche qui vient car le dimanche suivant il me faudra rentrer. Car je vais de nouveau partir, je vais au Canada. Je ferais donc mieux de faire cela ce prochain dimanche matin.

15 Frère Neville a dit: «Pourquoi n’irais-tu tout simplement pas saluer les gens et leur parler quelques minutes?».

16 Je dis: «Frère Neville, c’est tout juste si j’ai pu ouvrir ma Bible».

17 Il dit: «Eh bien, sortons leur dire quelque chose». Soeur Neville, je me demande comment vous faites; c’est un homme très persuasif.

18 Je n’ai pas l’occasion de dire cela quand la salle est bondée et qu’il y a la foule, mais je suis très reconnaissant à Dieu d’avoir un pasteur tel que frère Orman Neville. Il est fidèle, aussi fidèle que possible à la Cause et je ne l’ai jamais entendu grogner. Je me suis assis là-derrière et j’ai profité de la présence de frère Mann pour discuter avec lui pendant une bonne demi-heure et j’ai pu lui en dire plus au sujet de cette période que nous avons passée dans le Colorado cette année. Nous avons donc pu apprécier son message et j’ai pu avoir un bon entretien avec frère Neville. J’ai dit: «Je n’ai absolument rien à dire aux gens au sujet de notre bon pasteur. Est-ce que les gens vous traitent bien?».

   Il dit: «Cela ne pourrait être mieux».

   Et je dis: «Eh bien, je suis heureux de l’entendre».

19 Lorsqu’un pasteur est satisfait et que les gens sont satisfaits, cela donne véritablement une bonne église et alors Dieu est satisfait. Et je crois que de les voir tous satisfaits, particulièrement en ce jour où nous apportons le Message, montre que ce Message est le lien entre les gens et Dieu. Vous voyez?

20 Je suis très reconnaissant pour frère Orman Neville, ainsi que pour sa gentille femme et sa famille. Et je prie Dieu de les garder fidèles envers Lui et la Cause. Et s’il plaît à Dieu, puissions-nous nous tenir ici dans le Tabernacle lorsque le Seigneur Jésus viendra nous chercher pour nous emmener dans l’enlèvement. Je crois, frère Neville, que nous serons tellement vieux que nous aurons chacun un bras autour de l’autre et que nous nous appuierons sur nos cannes en essayant de nous maintenir. Vous voyez? “Puis nous serons changés en un moment, en un clin d’oeil”.

    Et ces vieilles robes de chair tomberont,
    Et nous nous élèverons pour saisir le prix éternel,
    Nous nous écrierons en passant dans les airs
    Au revoir, au revoir,” douce heure de prière.

21 J’ai appris que frère Coomers avait été guéri par le Seigneur et j’en suis tellement reconnaissant. Il y a tellement de choses. Je suis donc reconnaissant d’être ici ce matin. Et je crois qu’au lieu de…

22 Lorsque je viens ici, j’ai toujours un certain texte sur lequel je parle. Et je pensais à cela en sortant ce matin. J’ai dit: «Frère Neville, je vais faire attention à l’heure et je laisserai sûrement les gens sortir à l’heure et pendant quelques minutes je pourrai vous dire ce que j’ai sur le coeur; ce sont simplement des choses que… Non, on ne va pas les enregistrer ni quoi que ce soit; ainsi nous pourrons avoir ce petit moment de communion ensemble pendant que les gens sont là dans l’église». Prions donc.

23 Jésus bien-aimé, nous Te sommes reconnaissants pour le privilège que nous avons d’être assemblés ici. Oh, alors que tôt ce matin, après minuit, je regardais ce Tabernacle, je me remémorais comment autrefois Tu T’es tenu ici.

24 Et je pense à l’étang qui se trouvait là dans le temps et à ces grandes herbes qu’il y avait juste là où se trouve le pupitre. Lorsque j’étais petit garçon, j’avais l’habitude de me tenir ici. Et un jour M. Ingram nous a dit que nous pourrions avoir le tout pour une toute petite somme d’argent; il n’y aurait pas besoin de payer d’arrhes ni de nantissement (gage) ni rien à offrir en contre-partie mais il n’y avait qu’à essayer. Et c’est ainsi que toute la valeur nominale en fut estimée à un peu plus de deux mille dollars remboursables en vingt ans.

25 Et maintenant, Seigneur, regarde cela! Et tandis que ce n’était encore que les débuts, qu’il n’y avait là qu’un trou dans lequel se déversait de l’eau, Tu nous as promis par Ta Parole: «Moi, le Seigneur, je l’ai planté, je l’arroserai jour et nuit de peur que quelqu’un ne me l’arrache des mains».

26 Pendant ce temps les gens disaient: «Dans six mois ce sera devenu un garage».

27 Mais ce sont littéralement des milliers d’âmes qui ont trouvé Christ ici à l’autel. Et le Tabernacle, le baptistère ont constamment… Des gens ont été baptisés dans le Nom du Seigneur Jésus; ils ont invoqué Son Nom pour qu’Il lave leurs péchés. Des centaines d’estropiés, d’infirmes, d’aveugles, de boiteux, d’éclopés, de personnes rongées par le cancer sont partis en marchant de cette plate-forme; lorsqu’ils y sont montés c’étaient des hommes et des femmes, des garçons et des filles mourants et ils sont repartis vivre une vie nouvelle avec une nouvelle chair sur leur corps. Ils ont marché à nouveau, laissant leur chaise roulante, leurs béquilles et tout cela. Oh Dieu, quand je pense à ces trente ans de service!

28 Père, je me souviens de ce matin-là où nous avons posé la pierre angulaire. Et là-bas, Tu as donné cette vision montrant que cet endroit deviendrait un bel édifice bondé, rempli de gens. Je savais que cela ne pouvait faillir. C’est pourquoi je Te remercie pour toutes ces choses.

29 Beaucoup d’entre eux ont vraiment combattu le bon combat et ont achevé la course en gardant la foi; ils reposent là-bas et attendent; ils se reposent maintenant de leurs travaux tandis que leurs oeuvres les suivent. Ils attendent l’heure où la trompette sonnera afin de s’élancer dans une nouvelle vie, dans un nouveau corps. Beaucoup d’autres sont vieux et tremblants; d’autres sont jeunes, d’autres encore sont entre deux âges. Mais que Ton Nom soit loué pour tous.

30 Maintenant, nous nous tenons de nouveau ici, devant les vivants et les morts. Ce matin, je Te prie d’oindre Tes Paroles. Je ne sais pas du tout ce que je devrai dire, mais je Te prie de pourvoir à cela comme Tu l’as toujours fait, Seigneur.

31 Bénis notre pasteur, frère Neville, ainsi que sa femme. Bénis les administrateurs, les diacres et tous les membres du corps. Puissions-nous ensemble vivre cette vie de telle manière que dans la vie à venir nous ayons la Vie Eternelle.

32 Aide-nous ce matin à recevoir les corrections de la Vie et de la Parole afin que nous puissions nous préparer et qu’en partant d’ici nous soyons déterminés dans notre coeur à vivre une meilleure vie que celle que nous avons vécue dans le passé. Nous le demandons dans le Nom de Jésus. Amen.

33 Maintenant, il se trouve qu’il n’y a que quelques minutes que j’ai ouvert ma Bible. Je suis dans Apocalypse 3; je vais donc lire ce passage qui concerne le Message à l’Eglise de Laodicée.

34 Je veux aussi annoncer ce que frère Neville vient de me dire; frère Parnell (j’y ai pensé car il s’est trouvé que j’ai regardé là en bas et que je l’ai vu assis là) a un réveil de ce côté de Memphis. Vous savez tous où se trouvait le vieux stand Wimpy où l’on servait des hamburgers; eh bien, il a installé une tente là et il essaye en quelque sorte de rentrer les gerbes et de voir s’il n’y pas des âmes perdues là sur le chemin, qui ont été prédestinées à la vie et que, par son ministère, il pourrait gagner à Christ. Et pour le dimanche il n’a pas organisé de réunions à cause des services qui sont tenus au Tabernacle, ce qui est très loyal de sa part. Et nous aimerions que vous sachiez que les réunions reprendront la semaine prochaine depuis lundi soir. Et je sais que vous êtes tous cordialement invités à aller écouter frère Parnell apporter son message de l’amour de Christ.

35 Maintenant lisons dans Apocalypse au chapitre 3; nous lirons juste un passage pour dire que nous avons lu la Bible. Car il se pourrait que ce que je dis faillisse, mais ce que Lui dit ne faillira pas. Et je ne sais pas par où commencer, ni que faire, ni où aller, mais je lis simplement ce qui concerne l’âge de l’Eglise de Laodicée. (Apoc. 3.14.)

    “Et à l’ange de l’assemblée qui est à Laodicée, écris: Voici ce que dit l’Amen, le témoin fidèle et véritable, le commencement de la création de Dieu: Je connais tes oeuvres, — que tu n’es ni froid ni bouillant. Je voudrais que tu fusses ou froid ou bouillant! Ainsi parce que tu es tiède et que tu n’es ni froid ni bouillant, je vais te vomir de ma bouche. Parce que tu dis: Je suis riche, et je me suis enrichi, et je n’ai besoin de rien, et que tu ne connais pas que, toi, tu es le malheureux et le misérable, et pauvre, et aveugle, et nu: je te conseille d’acheter de moi de l’or passé au feu, afin que tu deviennes riche, et des vêtements blancs, afin que tu sois vêtu et que la honte de ta nudité ne paraisse pas, et un collyre pour oindre tes yeux, afin que tu voies. Moi, je reprends et je châtie tous ceux que j’aime; aie donc du zèle et repens-toi”.

36 Vous savez, en lisant j’ai vu là quelque part… Si vous voulez m’excuser une minute; j’ai vu un passage qui m’a paru intéressant et maintenant je ne sais plus où il est. Ah, le voici.

    “… et que tu ne connais pas que, toi, tu es le malheureux et le misérable, et pauvre, et aveugle, et nu”.

37 Oh, mon Dieu! Cela représente bien l’église d’aujourd’hui! Maintenant je crois que l’âge de l’église dont nous parlons ici… Bien sûr, dans les livres je peux trouver la naissance des âges de l’église. Mais comme il s’agit de l’âge de l’Eglise de Laodicée dans laquelle nous nous trouvons, voyons dans quelles conditions elle se trouve.

38 Je ne veux prendre aucun texte ni quoi que ce soit; nous ne parlons pas comme cela au hasard et nous faisons attention de ne pas le faire lorsque nous parlons de tout ce que le Seigneur veut nous conduire à dire. Nous avons donc pris ce texte comme quelque chose qui puisse nous aider.

39 Pensons à l’âge de l’Eglise de Laodicée et à la condition dans laquelle elle se trouve aujourd’hui. Pour ma part, je ne vois rien qui puisse retarder, en ce temps, la venue du Seigneur Jésus, si ce n’est que Son Eglise n’est pas prête. Je crois que l’une des prophéties…

40 Hier, nous avons fait le trajet depuis Tucson en deux jours, Billy et moi, car cela représente plus de trois mille kilomètres. Et nous avons fait attention de ne pas dépasser les limitations de vitesse. Nous étions ainsi en ordre. Lorsque c’était lui qui conduisait, j’étais assis là et je m’étais installé en chien de fusil. A un moment j’ai remarqué qu’il dépassait la limite; j’ai dit: «Eh, doucement, fiston».

   Maintenant, il nous a été dit: “Rendez à César ce qui est à César”.

41 Puis hier, plus tard dans la soirée, nous avons vu une petite fille étendue en travers de la route; elle devait avoir environ trois ans; sa mère était dans le fossé, morte. Un garçon de dix-huit ans, ivre et qui venait du R.O.T.C. les avait tuées; il conduisait à gauche à une vitesse de 190 kilomètres à l’heure. Et je crois qu’il était lui-même en train de mourir. C’est dans des moments comme cela qu’on réalise ce que veut dire:

    “Rendez à César ce qui est à César”.

42 Des gens innocents meurent. Vous voyez, une petite fille de trois ans a perdu la vie parce qu’un soldat ivre, roulait du faux côté de la route à une vitesse estimée à 190 kilomètres à l’heure. Il a surgi de derrière une colline et les a heurtées de plein fouet, les tuant sur le coup. Lui-même était mourant. Ainsi, vous voyez, bien que ceux qui étaient innocents respectaient…

43 Maintenant ce garçon est coupable de meurtre de sang-froid. Vous voyez? Je pense que tout homme qu’on attrape ivre sur la route devrait être condamné à dix ans ferme pour meurtre prémédité.

44 On n’arrivera jamais à rien de bon par la politique. La politique est pourrie. L’idée de Dieu d’avoir un roi, un roi juste, est bonne. Mais les politiciens se sont tout simplement répandus; tout s’achète. On peut tricher, mentir, voler et tout le reste. C’est ce que j’ai dit il y a quelques semaines; voyez à quoi nous en sommes: rien d’autre qu’un tas de gens malhonnêtes. Mais un roi juste peut faire ses propres lois. De nos jours, vous pouvez tuer un homme; si vous connaissez un bon politicien, vous vous en sortez sans problème. Vous voyez?

45 La démocratie est une bonne idée mais cela ne peut pas marcher. C’est comme le communisme qui veut tout mettre en commun; cela sonne bien mais cela ne peut pas marcher. Non, Dieu a Sa manière, et c’est d’avoir un roi comme le fut David qui était juste et qui représentait un seul courant de pensée. Tandis que si vous prenez deux ou trois de ces chefs et que vous les mélangez avec ces tas d’oies, vous obtenez des idées qui n’ont aucun sens.

46 Nous voyons donc qu’aujourd’hui les conditions sont prêtes pour la venue du Seigneur.

47 Mais alors que frère Neville, tous ces autres frères et moi-même essayons de rassembler un troupeau, j’ai quelque chose qui me vient maintenant à l’esprit et dont nous pourrions parler.

48 L’autre jour, j’ai lu une lettre d’une dame très bien. Je ne l’ai pas reçue directement, elle m’est parvenue par une autre personne. Or elle me mettait en pièces ou du moins essayait de le faire. Elle disait: «Vous, Hommes d’Affaires Chrétiens, ne pouvez-vous rien faire pour arrêter frère Branham? Car maintenant il a sorti ce livre qu’on appelle “L’Age de l’Eglise de Laodicée” et qui en révèle encore davantage. Il est tout simplement en train de mettre en pièces la doctrine pentecôtiste. Maintenant il est en train de dire que l’évidence initiale n’est pas le parler en langues, et il est contre les femmes prédicateurs». Or c’était une femme prédicateur. Et ses fils sont de mes meilleurs amis.

49 Et l’autre jour je prenais le petit déjeuner avec cet homme et sa femme, et ils dirent: «Frère Branham, regardez cela. Qu’en pensez-vous?». Et ils sortirent une lettre.

   Je dis: «Eh bien, soeur, elle ne comprend tout simplement pas».

50 Les garçons m’avaient dit que leur mère était une femme prédicateur et qu’elle n’était pas pour le Message.

51 Et là elle écrivait: «Il a dit que les femmes ne devraient pas avoir autorité sur l’homme. Et Phoebé dans la Bible qui aidait Paul?».

52 En fait, Phobé était une marchande. Croyez-vous que Paul aurait pu dire: “Que les femmes gardent le silence dans les églises car il ne leur est pas permis de parler”, puis se retourner pour dire: “Maintenant Phoebé, qui m’aide dans l’Evangile, va prêcher quelques soirs?”. Il contredirait sa propre parole. Vous voyez?

53 Puis pour couronner le tout, elle dit: «Je crois qu’Esther fut un des juges de la Bible. Une femme fut juge dans la Bible. Si ce n’est pas de l’autorité sur l’homme…!».

54 Et il y eut le cas de cet homme d’affaires qui fut guéri ici-même dans l’église il n’y a pas longtemps. Et sa femme dit: «Frère Branham, cette chose m’a toujours étonnée».

   Je dis: «Eh bien, soeur, comment cela peut-il vous étonner?».

   Elle dit: «Eh bien, voici une femme qui était juge».

55 Je dis: «C’était la politique, pas l’église. Cela n’a rien à voir avec l’église».

56 Paul a dit: “Qu’elles soient obéissantes, comme le déclare aussi la loi”. Et la loi ne peut nommer une femme comme prêtre; elle ne le peut pas. On n’a jamais vu une femme grand sacrificateur. Nulle part dans la Bible, on n’a vu une femme prêtre. On n’a jamais vu de femme prédicateur dans la Bible. Certainement pas.

57 Certaines ont été prophétesses, comme Miriam et d’autres. Et Esther… L’une d’elles fut juge sur Israël. Il y eut parfois des reines qui gouvernèrent Israël, ou bien un roi et une reine. Lorsque le roi mourait, la reine devait prendre sa place jusqu’à ce qu’ils choisissent un autre roi.

58 A Tucson en Arizona, nous avons eu une femme juge dans la ville. C’est pourquoi la ville est si polluée. Une femme n’a rien à faire dans la politique. Elle n’a pas à avoir d’autorité dans l’église.

59 Sa place est à la maison en tant que reine d’un homme. En dehors de cela elle n’a rien. Et nous savons que c’est la vérité. Vous ne trouverez jamais… Je sais que cela paraît démodé, mais j’ai cette responsabilité.

60 Je sais qu’après mon départ de cette terre, ces enregistrements et ces livres continueront à vivre et beaucoup parmi vous, jeunes enfants, découvriront dans les jours à venir que c’est exactement la vérité, car je le dis dans le Nom du Seigneur.

61 Maintenant, nous nous demandons ce qui se passe avec une femme qui est bonne, qui a donné naissance avec son mari fidèle, un homme bon, à des garçons qui sont parmi les hommes les plus gentils que j’aie jamais rencontrés. Dès qu’ils eurent entendu le Message, ils lui devinrent entièrement dévoués à cent pour cent. Maintenant cela ne pouvait se produire que par prédestination. C’est le seul moyen que cela se produise.

62 Maintenant, la question que je me posais était de savoir pourquoi le Seigneur m’a ramené en arrière. “Et maintenant, tu ne le sais pas. Tu es nu, misérable, pauvre, aveugle et tu ne le sais pas”.

63 Avant d’en arriver à ce point, je pourrais rappeler brièvement ce que j’ai dit il y a quelques jours lors d’un message ici (je crois que c’était “Le dieu de ce monde”): il a aveuglé les yeux des gens au point qu’ils adorent littéralement le diable lors des services religieux. L’aviez-vous tous saisi? L’aviez-vous tous compris? [L’assemblée dit: «Amen». — N.d.R.]

64 Puis dans le même message j’ai développé le sujet concernant la femme qui porte des vêtements immoraux, qui se comporte de manière indécente et qui doit être jugée devant le tribunal du Jugement comme une prostituée des rues. Cela sonne terriblement étrange.

   Laissez-moi vous faire un petit dessin.

65 Prenons le cas d’un avocat; c’est un jeune homme, un homme très bien. En ce qui concerne la politique, je l’imagine tout aussi honnête que n’importe quel politicien. Puis il se met à sortir avec une fille très populaire. Ils tombent amoureux et se marient. Ils sont de toutes les réceptions et de toutes ces grandes choses où tout le monde boit ensemble. Il a une jolie maison. Il vit dans un voisinage agréable. Les gens le considèrent bien. Seulement, tous les deux boivent. Elle porte des shorts, se coupe les cheveux, se maquille; en tout point, elle est sexy. C’est une belle femme qui aime s’exhiber. Elle ne va jamais à l’église, ni aucun de tous ces gens.

66 Maintenant allons voir à la porte d’à côté. Il y a là une femme qui vient de l’église baptiste ou méthodiste, ainsi que son mari.

67 Supposons qu’elle est méthodiste, parce que les Méthodistes vont plus loin dans la sainteté que les Baptistes, à l’exception des Baptistes du Nouveau Testament qui, eux, croient en la sainteté. Car les Baptistes ne sont généralement pas du tout pour la sainteté. Ils ne croient pas une telle chose. Supposons donc qu’elle est méthodiste puisqu’ils croient en la sainteté.

68 Donc une femme méthodiste emménage dans la même rue que cette femme, dans la maison qui se trouve juste à côté. Disons que son mari est comptable et qu’il travaille dans un bureau. Eh bien cette femme méthodiste regarde l’autre femme de haut.

69 Et lorsque l’homme de loi va en ville… Disons que son nom est Jean. Maintenant ne faites pas de supposition d’après cela. Je ne prends que des noms fictifs. Donc son nom est Jean. Or, sa femme avait autrefois l’habitude de sortir avec Ralph. Tous ces noms sont donc fictifs, je vous les donne simplement pour que vous puissiez comprendre l’histoire, pour que vous vous représentiez la scène.

70 Voyons tout d’abord ce qui se passe dans une réception où les gens boivent. Ralph recommence à l’embrasser. Et elle est tout enflammée car elle pense être de nouveau amoureuse de Ralph. Puis au bout de quelque temps, Ralph commence à la rencontrer. Et elle arrive à le cacher à Jean. Et elle se croit très maligne parce qu’elle arrive à sortir avec Ralph tout en étant mariée avec Jean. Vous voyez cette femme n’a absolument pas la moindre notion de ce qu’est la décence et elle n’y pense même pas.

71 Mais la femme méthodiste a été élevée dans un autre milieu. Au moins, elle va à l’église, et elle trouve que cette femme est horrible. Et lorsque son mari rentre, elle lui dit: «J’ai vu cet homme entrer pour la rencontrer. Et lorsque Jean est occupé à défendre un cas à Philadelphie ou quelque part, l’autre l’emmène dans son coupé et ils vont s’étendre sur la plage. Il m’est arrivé de les voir quand ils rentrent à la maison; des fois ils ne prennent même pas la peine de tirer les rideaux; il l’embrasse puis ils font l’amour. Oh, c’est horrible, n’est-ce pas?» dit-elle à son mari. «De toute façon, ce n’est qu’une prostituée». C’est vrai. Elle est pire qu’une prostituée du fait qu’elle est mariée. Vous voyez? Et elle, cette femme méthodiste trouve que c’est horrible qu’elle n’aille jamais à l’église.

72 Maintenant, cette femme méthodiste ne ferait jamais une chose pareille. Certainement pas. C’est une femme décente. Et d’autre part, elle ne toucherait pas à une goutte de whisky car le programme de l’église méthodiste concerne à quatre-vingt dix pour cent la prohibition contre le whisky. Ils ont donc un programme de prohibition et les gens de l’église méthodiste ne vivent pas autrement que selon l’enseignement de cette église.

73 Mais cette même femme méthodiste sort le soir avec son mari; après l’école du dimanche, elle porte des shorts. Elle se coupe les cheveux, elle se met du rouge à lèvre et il lui arrive même de fumer.

74 Maintenant, selon la Parole de Dieu, ce sont toutes deux des prostituées; mais celle-ci est “nue, misérable, pauvre, aveugle et ne le sait pas”. Elle est tout aussi coupable que l’autre car “si un homme regarde une femme pour la convoiter, il a déjà commis adultère avec elle dans son coeur”.

75 Et si maintenant cette femme venait à dire: «Maintenant attendez une minute, M. Branham, je vais vous expliquer que je ne suis pas une prostituée». Ma soeur, il se peut que vous preniez une Bible et qu’en présence de Dieu vous posiez les mains sur cette Bible et que vous juriez que vous êtes absolument fidèle à votre mari. Votre corps appartient à votre mari, mais votre âme appartient à Dieu. Un mauvais esprit vous a ointe. Et alors, c’est que… Je peux prouver que vous êtes absolument insensée.

76 Que serait-il arrivé à votre grand-mère si elle s’était promenée dans la rue en portant ces shorts? On l’aurait mise dans un asile de fous, si elle était sortie sans robe. Cela aurait été le signe que son esprit était dérangé. S’il en était ainsi en ce temps-là, il en est de même aujourd’hui.

77 Le monde entier est donc livré à la démence. Tout le système est dément. Et cela s’est insinué de manière tellement graduelle que les gens ne s’en sont pas rendu compte.

78 Maintenant est-elle une prostituée? Non, selon les promesses de mariage vis-à-vis de son mari. Mais devant Dieu, elle a sur elle un mauvais esprit, un esprit de prostitution qui la pousse à s’habiller ainsi. Elle se trouve dans l’âge de l’Eglise de Laodicée et elle ne se rend pas compte de ce qu’elle fait. La femme innocente ne sait pas que Dieu va la juger en tant que prostituée. Nous y sommes.

79 Pouvez-vous le lui faire comprendre? Vous ne pouvez pas le lui dire. Il n’y a pas moyen de le lui faire comprendre. La Bible a dit: “Ils sont nus et ne le savent pas”.

80 Si vous lui disiez en face qu’elle est une prostituée, elle vous ferait arrêter. C’est ce qu’elle ferait. Je ne parle jamais contre les gens. Je parle du péché. Je ne dis jamais: «Cette certaine église, M. tel et tel ici, Rév. tel et tel; c’est un…». Non, non. Je parle de la doctrine, du système dans son entier. Je ne parle pas des individus. Ce ne sont pas les individus. C’est le système dans lequel ils se trouvent. C’est le système du monde.

81 Frère George Wright assis là a soixante-quinze ou soixante dix-huit ans, je crois. Que pensez-vous qu’il serait arrivé si vous étiez un jour allé voir soeur Wright et que vous l’auriez trouvée portant des shorts? Eh bien, vous l’auriez fait enfermer. Vous ne l’auriez jamais épousée. Et si cela était arrivé à n’importe quel jeune homme de ce jour, il serait arrivé la même chose. Eh bien, si en ce temps-là c’était faux et que c’était un péché, alors c’est toujours la même chose, mais les gens sont devenus insensés.

82 Laissez-moi vous faire une prophétie, juste avant que cela n’arrive. Le monde entier devient insensé et cela ira de pire en pire jusqu’à ce que cela ne soit plus qu’un tas de fous furieux. Et aujourd’hui il en est presque ainsi.

83 Auriez-vous imaginé qu’un homme puisse conduire du faux côté de la route, tous feux éteints? Un jeune homme censé sortir d’une haute école et qui tue tout un groupe de gens. Est-ce que cela va les arrêter? Il en viendra un autre qui fera exactement la même chose. Auriez-vous imaginé qu’un jeune homme ayant le moindre amour-propre puisse sortir de cette manière et agir comme ils le font tous?

84 Pourriez-vous imaginer qu’une jeune femme resplendissante de féminité, belle, bien formée, ayant un beau profil et une belle figure puisse montrer par son seul aspect que nous sommes à la fin des temps. Vous voyez, elle a adopté un comportement mondain, des choses mondaines et non la beauté de la sainteté et la douceur de l’âme. J’ai vu des femmes dont l’aspect extérieur n’attirait pas le regard, mais lorsque vous leur aviez parlé une fois pendant quelques minutes, vous vous rendiez compte qu’il y avait en elles quelque chose de vrai dont vous ne pouviez vous éloigner. Vous voyez, la beauté extérieure est du diable, elle est du monde.

85 Regardez ce qui arriva lorsque les enfants de Caïn entrèrent en scène. “Lorsque les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles, ils en prirent pour femmes,” et Dieu ne le leur a jamais pardonné.

86 Regardez, pensez aux femmes israélites avec leurs mains calleuses et leurs cheveux comme des ficelles; lorsque les fils de Dieu montèrent à travers le pays de Moab et qu’ils rencontrèrent ces femmes raffinées aux cheveux bien arrangés, avec des fantaisies, du maquillage sur la figure, lorsque les fils de Dieu virent ces femmes qui étaient vraiment belles… Un faux prophète avait dit: “Nous sommes tous pareils”. [Frère Branham frappe six fois sur le pupitre — N.d.R.] Et ils se marièrent avec elles et Dieu ne le leur pardonna jamais.

87 Ils périrent dans le désert. Chacun d’eux mourut là, sans espoir, sans Dieu, et est perdu pour l’Eternité, damné pour toujours, bien qu’ils aient vu la bonté de Dieu, bien qu’ils aient bu à la fontaine qui ne tarit jamais. Ils avaient bu au rocher frappé. Ils avaient vu le serpent d’airain accomplir des miracles. Ils avaient reçu avec Moïse le baptême dans la mer. Ils avaient vu la main de Dieu. Ils avaient mangé la nourriture des anges et avaient fait toutes ces choses. Mais ils avaient laissé ces femmes les attirer et ils en avaient pris pour femmes. Ce n’est pas qu’ils avaient commis adultère; mais ils en avaient pris pour femmes. Dieu ne le leur pardonna jamais.

88 C’était la deuxième fois que l’on voyait cela. Maintenant c’est la troisième fois, et celle-ci est encore plus trompeuse que jamais.

89 Je sais que c’est dur. Et je me suis souvent demandé comment cela devait se passer. Pourquoi dois-je parler de manière si rationnelle aux gens? Qu’est-ce qui fait qu’il en est ainsi? Et pourtant j’ai remarqué que si ce n’était pas Dieu, il n’y aurait personne, pas une seule femme pour s’asseoir et m’écouter. Mais ils reviennent car il y a ici quelqu’un qui a une petite ancre de la vérité, quelqu’un qui sait que ceci est juste. Peu importe ce qui se raconte, ils savent que c’est ceci qui est juste. Maintenant observez ce qui se passe. Je sais que c’est dur.

90 C’est exactement comme si un médecin vous donne un médicament et que vous refusiez de le prendre. N’imputez pas la faute au médecin si vous allez mourir. Et Ceci est comme un médicament. Qu’en est-il de tous ces gens qui prétendent toujours que je déteste les femmes?

91 Observez simplement comment les femmes agissent et je vous montrerai à quoi en est l’église. L’état moral des femmes est en accord avec celui de Laodicée, du monde; les gens, les femmes du monde sont physiquement “nus, misérables, aveugles et ne le savent pas”. Et l’église en est au même point. Observez comme à chaque fois, le naturel a toujours typifié le spirituel. Et un jour, à la barre du Jugement…

92 Je sais qu’il n’est pas populaire de dire cela. Et si un homme n’a pas reçu l’ordre de le dire, il vaut mieux qu’il ne le dise pas; car ce serait de l’imitation et il s’attirerait certainement des ennuis.

93 Maintenant observez. Il m’est parfois vraiment arrivé d’avoir l’air de tenir ouverte la bouche d’une femme pour y verser le Médicament, puis de maintenir la main sur sa bouche et que malgré tout, elle Le recrache. Qu’arriverait-il si un médecin agissait de la sorte avec un patient, puis que le patient meure parce qu’il a refusé d’avaler le médicament? A la barre du Jugement, lorsque sortiront toutes ces choses, comme les cheveux coupés et les shorts…

94 Je ne fais que construire. Le moment approche où vous verrez quelque chose arriver, quelque chose se passer. Et toutes ces données de base que nous avons ici n’auront servi qu’à établir les fondations d’un Message court et rapide qui secouera les nations entières.

95 Lorsque je reprends les femmes, c’est simplement que je veux établir quelque chose qui serve à faire rentrer cela dans la tête des gens. J’essaye de leur dire ce qui est juste. Et je tiens la main là-devant comme ceci, comme s’il s’agissait de la bouche, et elles Le recrachent. Qui peut alors porter la faute sur le médecin?

96 Que direz-vous au Jour du Jugement, lorsque l’enregistrement de ces voix mêmes qui ont crié contre cela se fera entendre aux gens? Comment alors feront-ils pour s’en sortir?

97 Ils L’ont recraché entre vos doigts. Vous en avez versé encore; mais finalement après avoir secoué la tête, ils sont retournés en arrière; cela n’a pas marché. Pourtant vous êtes revenu; vous en avez versé de nouveau. A qui donc est-ce la faute? Pas au médecin, pas au médicament, mais à l’attitude de la personne. C’est exact. Quel jour horrible ce sera lorsque cette génération pécheresse et adultère se tiendra devant le Dieu Tout-puissant.

98 Je vois que le nombre de mes années augmente insensiblement; mes épaules se voûtent; et je sais que cela fait trente ans que je me tiens sur cette estrade, oui, trente-trois ans que je travaille dans le champ. C’est une longue vie. C’est trente-trois ans de service. Je n’ai qu’un regret; c’est de ne pas avoir pu le faire pendant cent trente-trois ans. Car c’est là la dernière chance que j’aurai, tandis que je suis ici en tant que mortel, de prêcher l’Evangile. Que Dieu m’aide à demeurer aussi fidèle que possible à cette Parole et à dire exactement ce qu’Il dit.

99 Comment se fait-il que cette femme méthodiste…? Comment pourriez-vous le lui faire accepter? Elle se trouve là, dans cet Age de l’Eglise de Laodicée.

10 Prenons maintenant le cas d’une femme pentecôtiste. En principe elle ne porte pas de shorts, elle ne se maquille pas, elle ne se coupe pas les cheveux; et elle regarde d’un air méprisant la femme méthodiste et dit: «Regardez comme cette femme agit!». Elle dit que la femme ne doit pas porter de shorts, et elle-même se coupe les cheveux à la Jeanne d’Arc. Vous voyez?

101 Plus vous vous élevez en Dieu, plus tout vous apparait rempli de péché. Et vous pouvez imaginer que, lorsque dans la prière le Saint-Esprit vous emmène dans une sphère, tout ressemble alors au chaos. Et lorsque vous redescendez, vous avez l’air d’un garnement aux yeux des gens; il semble que vous n’êtes rien d’autre qu’un homme sarcastique. Vous êtes un fou, car vous vous comportez comme un vieil original qui réprimande toujours les gens. Mais s’il vous arrivait une fois de vous élever dans ces sphères où vous pouvez être en présence de Dieu (non au travers de l’émotion mais par la véritable élévation du Saint-Esprit), vous verriez qu’il est écrit de tout cela “ICHABOD”. La gloire de Dieu s’en est allée de tout cet équipement dénominationnel. C’est juste. Il n’y en a aucun qui ait raison.

102 Laissez-moi maintenant vous dessiner un petit cercle. Si j’avais un tableau… Mais j’aimerais que vous regardiez ici. [Frère Branham dessine sur un papier les anneaux dont il parle — N.d.R.] Je vais faire un anneau comme ceci, puis je vais faire un autre anneau à l’intérieur; cela en fait deux, puis je vais faire encore un anneau à l’intérieur de cela. Cela fait trois anneaux, trois cercles. Maintenant, cela, c’est vous.

103 C’est Dieu. Dieu est Un dans la trinité; et sans trinité, Il n’est pas Dieu. Il ne peut pas être manifesté d’une autre manière.

104 Vous non plus, vous ne pouvez être manifesté sans manifester la personne trinitaire que vous êtes, c’est-à-dire: corps, esprit et âme. S’il en manque un seul, vous n’êtes pas complet. Vous voyez? Si vous n’aviez pas d’âme, vous ne seriez rien; si vous n’aviez pas d’esprit, vous ne seriez rien; si vous n’aviez pas de corps, vous ne seriez qu’un esprit, pas un corps.

105 Dieu est donc complet dans la tri-unité de l’Etre; non la tri-unité des êtres; mais Un Etre dans une tri-unité. Père, Fils et Saint-Esprit sont un seul vrai Dieu manifesté. Dieu!

106 Attendez ici, je crois que j’ai lu cela il y a quelques minutes. Ecoutez ceci.

    “… à l’ange de l’assemblée, qui est à Laodicée, écris: Voici ce que dit l’Amen, le témoin fidèle et véritable, le commencement de la création de Dieu…”.

107 Dieu est le Créateur. Et comment a-t-Il Lui-même été créé? Mais c’est cela, le “commencement de la création de Dieu”. Lorsque Dieu, l’Esprit fut créé sous la forme d’un homme, c’était Dieu qui était créé; Dieu le Créateur devenant Lui-même une création. Dieu, qui avait fait la boue, le calcium, le potassium, la lumière cosmique, le pétrole, mélangea tout cela et se créa Lui-même; c’était “le commencement de la création de Dieu”.

108 “L’Amen”, le final. Amen signifie “ainsi soit-il”. “Le final de Dieu”, lorsque Dieu eut été complet dans Sa création.

109 Maintenant, comment cela se pouvait-il? “Aucun homme n’a jamais vu Dieu, mais le seul engendré du Père L’a fait connaître”. Comprenez-vous?

110 Voyons cela une minute; ne vous précipitez pas. Retournons une minute dans les Colossiens. Il me vient une Ecriture à l’Esprit. Retournons dans le Livre des Colossiens, je crois que c’est le premier chapitre. Il faut que je regarde car ce n’était pas prévu. Quand j’étais un jeune prédicateur, je pouvais me rappeler de ce genre de choses juste comme cela [frère Branham claque une fois des doigts — N.d.R.]; mais maintenant que je me fais vieux, je n’y arrive plus. Commençons au verset 9, je crois. Paul parle de Christ aux Colossiens, il leur explique qui Il était.

    “C’est pourquoi nous aussi, depuis le jour où nous en avons ouï parler, nous ne cessons pas de prier et de demander pour vous que vous soyez remplis de la connaissance de sa volonté, en toute sagesse et intelligence spirituelle, pour marcher d’une manière digne du Seigneur pour lui plaire à tous égards, portant du fruit en toute bonne oeuvre, et croissant par la connaissance de Dieu: étant fortifiés en toute force, selon la puissance de sa gloire, pour toute patience et constance, avec joie, rendant grâces au Père qui nous a rendus capables de participer au lot des saints dans la lumière; qui nous a délivrés du pouvoir des ténèbres, et nous a transportés dans le royaume du Fils de son amour…”.

111 Nous y venons maintenant. Observez.

    “en qui nous avons la rédemption, la rémission des péchés; qui est l’image du Dieu invisible…”.

112 Vous comprenez? Au verset 15, Colossiens 1.15:

    “… le premier-né de toute la création”.

113 Amen! Le quoi? “Le premier-né de toute la création”. Il est le premier-né de toute la création, que ce soient des anges, ou quoi que ce soit.

    “Car par lui ont été créées toutes choses, les choses qui sont dans les cieux et les choses qui sont sur la terre, les visibles et les invisibles, soit trônes ou seigneuries, ou principautés, ou autorités: toutes choses ont été créées par lui et pour lui”.

114 Quoi que ce soit, il n’y a pas d’autre être vivant! Remarquez:

    “… et lui est avant toutes choses, et toutes choses subsistent par lui”.

115 Que ce soit le Père, le Fils, le Saint-Esprit, quoi que ce soit, “Il est avant toutes choses”. “Avant toutes choses qui sont dans le Ciel, sur la terre, visibles, invisibles, ou quoi que ce soit,” ce Fils de Dieu était avant toutes choses. Est-ce juste? Peu m’importe que ce soit des trônes, des seigneuries ou quoi que ce soit; des trônes célestes, des royaumes ou quoi que ce soit dans les grands royaumes surnaturels de l’au-delà, ou dans l’Eternité, que ce soit des Anges, des dieux ou quoi que ce soit: “Il est avant toutes choses”. Amen! Ne pouvez-vous Le voir? “Il était avant toutes choses; et toutes choses furent créées par Lui…”. Verset 17: “Et lui est avant toutes choses, et toutes choses subsistent par lui”.

116 Il n’y a rien qui puisse faire fonctionner cela si ce n’est Lui. Que ce soit Dieu le Père, Dieu, l’Esprit Saint que ce soient des anges, des principautés, des puissances, des seigneuries; quoi que ce soit, toutes choses subsistent par Lui. “Toutes choses subsistent par Lui. Et il est le chef du corps, de l’assemblée, lui qui est le commencement, le premier-né d’entre les morts, afin qu’en toutes choses il tienne, lui, la première place”.

117 “Qu’il tienne la première place”, vous savez ce que cela signifie? Cela veut dire “qu’Il est au-dessus de tout”. Il est au-dessus de tout ce qui a été créé; au-dessus de tout ange, de tout être vivant, de toute chose qui existe. Il est au-dessus de toute chose. Quelle Créature est-ce donc? Qui peut-Il bien être? Au-dessus de toutes choses! “Et ayant fait la paix…”. Voyons cela une minute.

    “… car en lui, toute la plénitude s’est plu à habiter”.

118 “Toute la plénitude”. Toute la plénitude de Dieu, toute la plénitude des anges, toute la plénitude du temps, toute la plénitude de l’Eternité; tout habitait en Lui. Tout cela était en cet Homme.

    “… ayant fait la paix par le sang de sa croix, par lui, soit les choses qui sont sur la terre, soit les choses qui sont dans les cieux”.

119 Voilà ce qu’était ce glorieux Etre dont nous parlons: “le commencement de la Création de Dieu”.

120 Maintenant tout Son objectif même était l’Eglise. Comment entrons-nous dans cette Eglise? “Par un seul Esprit nous sommes tous baptisés dans un seul Corps,” l’Eglise, le Corps de Christ. Cela ne peut faillir.

121 Maintenant, voici ce qui arrive. Observez ce petit dessin explicatif. [Frère Branham montre de nouveau son dessin représentant les trois anneaux — N.d.R.]

122 Maintenant ce que l’homme est extérieurement c’est la chair, le corps. C’est cela que nous voyons. Et ce corps a cinq moyens de communiquer avec l’extérieur. N’importe quel enfant du niveau de l’école primaire, comme moi-même, saurait qu’il y a cinq sens qui contrôlent le corps: la vue, le goût, le toucher, l’odorat et l’ouïe. Sans cela vous ne pouvez toucher le corps. Ce sont les seuls moyens qu’ait le corps de communiquer; voir, goûter, toucher, sentir, entendre. Vous pouvez le voir, le goûter, le sentir… Maintenant, cela, c’est le mauvais côté qui se trouve à l’extérieur.

123 Maintenant, à l’intérieur de cela il y a l’esprit que vous recevez lorsque vous naissez sur la terre et que le souffle de vie est insufflé dans le corps. Cet esprit est de nature mondaine car il n’a pas été donné de Dieu, mais il a été permis (donné) par Dieu. Maintenant vous comprenez? Car chaque enfant qui naît dans le monde “naît dans le péché, est formé dans l’iniquité, il vient au monde en disant des mensonges”. Est-ce juste? Ainsi donc cette personne, là à l’intérieur, est un pécheur dès le commencement.

124 Maintenant cet esprit a cinq moyens de communiquer. Et ces cinq moyens… Je me demande si je vais arriver à m’en souvenir maintenant. Tout d’abord je crois qu’il y a la pensée, puis la conscience et l’amour… Non, c’est la conscience, l’amour, la raison… L’esprit a cinq moyens de communication. Vous ne pouvez pas penser avec votre corps; vous devez penser avec votre esprit. Vous ne pouvez pas avoir de conscience dans votre corps. Le corps n’a aucune faculté mentale; il n’en a pas. Vous devez donc penser avec votre esprit. Vous devez raisonner. Vous ne pouvez pas raisonner avec votre être physique, puisque la raison ne voit pas, ne goûte pas, ne touche pas, ne sent pas et n’entend pas. Le raisonnement est ce que vous pouvez produire avec votre esprit. Si vous dormez ou que vous êtes hors de vous-mêmes, votre corps est allongé là comme mort, pourtant votre esprit peut toujours raisonner. Il y a cinq sens qui contrôlent l’homme intérieur.

125 Voyons maintenant cette dernière partie de l’homme, qui est l’âme; un seul sens contrôle cela et c’est le libre arbitre qui va choisir ou bien refuser.

126 Maintenant nous allons voir pourquoi aujourd’hui les gens… N’oubliez pas cela, et vous verrez ce qu’est la preuve initiale du Saint-Esprit. Vous voyez?

127 Maintenant il se peut que les gens vivent dans cet esprit, il se peut qu’ils dansent dans l’esprit. Ils crient dans l’esprit. Ils vont à l’église dans l’esprit et il se peut très bien que le véritable Saint-Esprit de Dieu oigne cet esprit. Mais pourtant ils sont perdus et possédés du démon, avec cet esprit.

128 Car observez pour quelle raison vous ne pouvez pas dire à cette femme qu’elle a tort de porter des shorts. Vous ne pouvez pas lui dire qu’elle a tort de se couper les cheveux. «Eh bien qu’est-ce que les cheveux ont à voir avec cela?». En tous cas ils eurent une influence sur Samson. Vous voyez?

129 “Quiconque y ajoutera une parole, ou en retranchera une parole”. Il faut que vous ayez un Absolu quelque part.

130 Maintenant, si par exemple j’étais baptiste et que vous veniez me dire que je dois être baptisé dans le Nom du Seigneur Jésus-Christ (c’est ce qui est écrit dans la Bible), eh bien, vous savez, la première chose que je dirais, c’est: «Je vais demander à mon pasteur».

131 Alors je vais vers le pasteur et il me dit: «Oh, je vois, c’est quelque chose qui remonte à une période très éloignée. Oui, voyez-vous, voici ce que nous croyons, nous les Baptistes; nous croyons qu’il nous faut être immergés dans les titres de “Père, Fils et Saint-Esprit”. C’est ainsi que l’église a toujours fait. C’est ainsi que cela se pratique depuis que John Smith l’a fondée. Au diable ce que raconte ce bonhomme!». Eh bien, c’est là votre absolu.

132 Que se passe-t-il si vous êtes méthodiste, que votre système est donc l’aspersion et qu’on vous dit que vous devez être immergé? Vous voyez ce que je veux dire? Vous retournez vers le pasteur méthodiste qui va écrire à l’évêque pour lui demander ce qu’Untel a dit à ce sujet. «Mais l’église méthodiste a été fondée il y a trois ou quatre cents ans en Angleterre par John Wesley, Whitefield, Asbury et tous les autres. Nous avons trouvé ce document qui indique que d’après John Wesley, nous devons être aspergés car il ne s’agit que d’une forme extérieure. Nous pensons que l’aspersion est une forme tout aussi valable qu’une autre». Si l’église méthodiste est votre absolu, vous n’irez pas plus loin.

133 Si vous êtes catholique… Je vais vous dire: il n’est pas écrit dans la Bible de ne pas manger de viande le vendredi et toutes ces autres choses comme cela, et “la Sainte Eucharistie n’est pas une hostie puisque c’est un esprit” et ainsi de suite. Et vous allez vers votre prêtre qui va vous dire: «Tout est là, inscrit dans notre document». Et si l’église est votre absolu, vous ne prêterez aucune attention à ce que quiconque peut dire. C’est cela votre absolu.

134 O Dieu, fais en sorte que tout ceci s’écroule! Pour moi, c’est tout le système qui est faux. Alors que c’est la Parole de Dieu qui est l’absolu. Tout ce que dit la Parole est juste.

135 Maintenant, c’est le seul chemin qui puisse vous conduire là-haut dans ces sphères, dans ce petit homme qui se trouve là à l’intérieur; et pour cela il faut que vous ayez été prédestiné. Du fait que vous étiez avec Dieu, vous êtes une partie de Dieu.

136 Je me trouvais en mon père. Je me trouvais aussi en mon grand-père, et dans le grand-père de mon grand-père. Je me trouvais en eux sous forme de semence.

137 Et je me trouvais en Christ. Vous étiez en Christ avant la fondation du monde. Il est venu racheter les Siens, les Siens qui étaient en Lui. Alléluia! Les enfants qui étaient en Lui.

138 Il n’est jamais venu sauver les enfants du diable. Ils ne connaitront jamais cela. Ils sont tellement instruits dans leurs connaissances intellectuelles que vous ne pouvez faire aucune comparaison avec eux. Vous ne pouvez pas leur parler. Mais par la foi vous le voyez.

139 Maintenant, la science n’a pas besoin de foi. La science peut prouver ce qu’elle avance. Elle n’a pas besoin de foi.

140 Le prêtre catholique va vous dire: «Voyez depuis combien de temps l’église catholique a navigué. Voyez pendant combien de temps elle a dû supporter les persécutions du paganisme».

    L’église méthodiste va dire: «Voyez depuis combien de temps…».

141 Hier dans la rue, j’ai vu une église dont l’inscription était hypocrite. Elle disait: «Eglise de Christ établie en l’an 33», alors qu’il s’agit d’une dénomination qui existe depuis à peine cent ans. Oh, mon Dieu! “Doctrine des apôtres”? C’est tout juste s’il en reste quelque chose. Ils sont les Sadducéens de ce jour. Pas d’Esprit, rien. Et vous ne pouvez pas le leur dire. Vous ne pouvez pas leur parler, vous ne pouvez pas raisonner avec eux.

142 Car nous allons au-delà du raisonnement. “Ne vous reposez pas sur votre propre entendement”. La foi ne raisonne absolument pas. La foi croit Cela.

143 Ils disent: «Maintenant, regardez ici, croyez-vous que nous devions faire toutes ces choses dépassées? C’est un non-sens!».

144 Mais c’est ce qu’a dit la Bible. Je ne peux pas expliquer comment cela arrive, mais cela arrive. Dieu l’a dit ainsi. Je ne peux rien vous dire à ce sujet. La foi ne peut pas L’expliquer. Le saviez-vous? La foi Le croit tout simplement.

145 Nicodème, qui faisait partie du conseil oecuménique du temps de Jésus, vint un soir vers Jésus et Lui dit: “Rabbi, nous savons que Tu es un docteur venu de Dieu, car aucun homme ne peut faire les choses que Tu fais à moins que Dieu ne soit avec Lui”.

146 Il dit: “En vérité, je vous le dis, à moins qu’un homme ne naisse de nouveau, il ne peut même pas voir le Royaume de Dieu”.

147 Il dit: “Comment moi, un vieil homme, pourrais-je rentrer dans le sein de ma mère pour naître de nouveau?”.

148 Il dit: “Maintenant, comment pourrais-je vous parler des choses célestes alors que vous ne voulez même pas croire les choses terrestres?”. Vous voyez?

149 Puis un jour Il dit: “A moins que vous ne mangiez la chair du Fils de l’Homme et que vous ne buviez Son Sang, vous n’avez pas la Vie en vous”. Il ne donna pas d’explications.

150 Les apôtres de ce jour avaient été prédestinés à la Vie et ils le savaient. Il dit: “Tout ce que le Père m’a donné va venir. La seule chose que vous ayez à faire est de faire connaître ma Voix; ils la reconnaîtront, car mes brebis connaissent ma Voix”. Or une voix est l’expression d’une parole. [Il y a un blanc sur la bande — N.d.R.] “Ils La croient de toute façon. Ils n’ont pas besoin d’une preuve scientifique quelle qu’elle soit; ils n’ont pas besoin de demander quoi que ce soit aux Sadducéens ni aux Pharisiens. Ce que je dis, ils le croient, car Mes brebis entendent Ma Voix”.

151 Et voici la Voix de Dieu sous forme de lettre, car ceci est l’entière révélation de Jésus-Christ, le Nouveau et l’Ancien Testament mis ensemble. Amen. Nous y voici.

152 Pourquoi cela? Vous dites: «Ce sont des gens bien. Qu’est-ce qui fait que…». Il y a une chose, c’est qu’ils sont rattachés à une église. Vous souvenez-vous de la prédication de dimanche dernier, il y a une semaine? Combien étaient ici et ont entendu le sermon sur “Les oints du temps de la fin”? Je crois que vous y étiez tous. Vous voyez, ce sont des oints. Dans cette deuxième sphère, leur esprit est oint.

153 Revenons maintenant à cette première femme. Elle ne prête pas attention à ce que dit l’église, à ce que dit quiconque. Elle se croit maligne. Elle a le niveau du collège. Elle a pu cacher tout cela à son mari et elle se croit maligne d’avoir fait cela.

154 L’autre femme est “nue, aveugle et ne le sait pas”. [Frère Branham frappe deux fois sur le pupitre — N.d.R.] Oh, c’est désolant, mais c’est ainsi que nous le dépeint la Bible. Or elle va à l’église. Cette femme vit une vie propre, en ordre. On ne peut rien dire contre cela. Dieu en sera juge. Je ne sais pas. Je ne suis pas le Juge.

155 Je n’ai que la responsabilité de ce qu’Il me montre. C’est ce qu’ont dit les apôtres. “Nous disons ce que nous connaissons, ce que nous avons entendu, ce que nous avons vu”. C’est tout ce dont je suis responsable. C’est tout ce dont vous êtes responsable.

156 Mais vous voyez, il faudrait que cette même femme… Où a-t-elle fini? Vous voyez? Certainement qu’elle est allée et venue. Elle a entendu sans doute; souvent elle a allumé la radio. Souvent la Voix de Dieu a parlé. Eh bien, vous voyez maintenant, elle a été dans ce culte, ce clan. Toutes les églises sont des clans. C’est absolument vrai, toutes ne sont que des loges où les gens se regroupent en tant que membres. Et c’est là qu’elle va; eh bien cela lui convient parfaitement. Maintenant si vous allez lui dire ce qu’elle doit faire, elle ne va pas vous écouter. Même si vous le lui montrez dans la Bible, elle ne L’écoutera pas.

157 Maintenant, mon cher frère, ma soeur, encore un ou deux commentaires avant de terminer. Il est moins le quart; il reste un quart d’heure avant l’heure de sortir.

158 Maintenant regardez, je veux vous demander quelque chose. Pourquoi cette femme ne peut-elle pas voir cela? Pourquoi ne le peut-elle pas? Pour ce qui serait d’être en état d’adultère physique vis à vis de son mari, elle n’est pas coupable; elle n’a rien à confesser. Elle est aussi pure que le jour où elle est née; aucun homme ne l’a touchée.

159 Je vais maintenant faire un parallèle entre la femme et l’église. Cette femme est aussi pure que le jour où elle est née. Et bien, il en est exactement de même pour l’église; elle se trouve dans le même état que lorsqu’elle est née, seulement elle est “née dans le péché; elle a été conçue dans l’iniquité…”. Vous voyez ce que je veux dire?

160 Maintenant vous lui dites qu’il est faux de se couper les cheveux; c’est ce que dit la Bible. Il est faux de porter ces shorts; c’est ce que dit la Bible. Elle vous dira: «Non-sens!». Pourquoi? Son absolu ne se trouve pas là dans ce troisième homme, dans l’âme qui est prédestinée et envoyée de Dieu. Son absolu se trouve dans une organisation mise en place par un homme en dehors de cette Parole. Vous voyez?

161 Mais si la Parole de Dieu se trouve dans cette âme, elle dira: «Amen! je vois cela». L’âme s’alignera sur cette Parole. Maintenant regardez ici. Par conséquent l’homme qui est né de l’Esprit de Dieu…

162 Vous voyez, là à l’extérieur, se trouve la chair. Maintenant je m’adresse à une assemblée mixte; mais je parle comme le ferait votre pasteur ou votre frère. Voici la chair; elle est faible et sujette à… Une jeune dame descend la rue; un jeune homme de dix-sept ans peut-être, ou dix-huit, vingt, vingt-cinq ou trente ans se promène par là. Et cette jeune dame vient en se dandinant, montrant ainsi toutes les formes de son corps lorsqu’elle marche avec une paire de chaussures à talons hauts. Elle est toute bombée devant et derrière et sa robe lui arrive au-dessus des genoux à moins qu’elle ne porte des shorts. Savez-vous que la Bible a dit qu’elle agirait comme cela? Vous savez, la Bible a dit que c’est ainsi qu’elle agirait, qu’elle serait tellement souillée.

163 Avez-vous lu ce qui est écrit dans le Reader’s Digest de ce mois: «Des femmes et des jeunes filles de vingt à vingt-cinq ans ont la ménopause». Or, d’après la science, ce changement de vie, la ménopause, se produit normalement au milieu de la vie; et maintenant cela se produit entre vingt et vingt-cinq ans. De mon temps, cela se produisait autour de trente, trente-cinq ans. Et du temps de ma mère, une femme n’avait jamais la ménopause avant d’avoir quarante ou quarante-cinq ans.

164 Que se passe-t-il? Par la science, qui a introduit des hybrides, la nourriture a perverti tout le corps humain au point que nous sommes devenus une masse corrompue. Eh bien, l’être physique est corrompu; or les cellules de l’esprit ne se trouvent-elles pas dans cet être physique? [Frère Branham frappe quatre fois sur le pupitre — N.d.R.]

165 Maintenant observez l’Esprit; suivez bien cela. Il viendra un temps, selon ce qu’a dit le Seigneur, où les gens deviendront complètement fous. C’est ce qu’a dit la Bible. Ils crieront et hurleront; leur esprit s’imaginera des choses monstrueuses et hideuses. Ce sont les radios et nos programmes de télévision qui produisent cela. Il s’élèvera sur la terre des choses comme des fourmis aussi grandes que quatorze arbres; un oiseau survolera la terre et ses ailes auront une envergure de six ou sept kilomètres. Et les gens verront ces choses et ils crieront et hurleront et ils demanderont grâce. Mais ce seront “les plaies”. Attendez que je prêche sur la venue de ces plaies.

166 Observez ce que fit Moïse en tant qu’être physique et non sous l’Esprit. Dieu dit à Moïse, à Son prophète: “Va là-bas, ramasse une poignée de poussière et jette-là en l’air en disant: Ainsi dit le Seigneur, qu’il vienne des mouches sur la terre”. A ce moment-là, il n’y avait pas de mouches. Tout d’abord, vous savez, ils commencèrent à voir quelque chose qui remuait sur un buisson. Ils regardèrent encore et il y avait quelque chose d’autre. Et au bout d’un moment, il y en avait une telle épaisseur qu’on ne pouvait même pas se frayer un chemin.

167 D’où venaient-elles? Dieu est le Créateur. Il peut faire ce qu’Il veut. Il est souverain. Il pourrait créer un oiseau dont les ailes s’étendent d’un côté de la terre à l’autre.

168 Il dit: “Qu’il vienne des mouches et qu’elles remplissent toute la terre”. Il n’y avait pas une seule mouche dans le pays. Tout d’abord, une grosse mouche à viande, vous savez, se mit à voler par là autour. Au début, il y en eut huit ou dix, puis douze. Ensuite, on ne pouvait même plus avancer tellement il y en avait. Dieu, le Créateur, garde Sa Parole.

169 Et au commandement de Dieu, il étendit sa verge et dit: “Que des grenouilles viennent et recouvrent la terre”. Et il vint tellement de grenouilles qu’ils durent les empiler et que la puanteur s’étendait partout. Il y avait peut-être une hauteur de douze ou quinze mètres de grenouilles. Il y en avait dans le placard de Pharaon; lorsqu’on enlevait les draps, il y en avait cinq cents cachées dessous. Il y en avait sous le lit, dans la nourriture. Partout où ils allaient, il y avait des grenouilles, des grenouilles, des grenouilles. D’où venaient-elles? [Frère Branham frappe quatre fois sur le pupitre — N.d.R.] Dieu, le Créateur est souverain. Ce qu’Il dit, Il le fera!

170 Et Il a dit qu’on verrait des choses hideuses sur la terre. Il y aurait des “sauterelles avec de longs cheveux de femme” afin de hanter ces femmes qui se coupent les cheveux. Ces bêtes auraient des dents semblables à celles des lions, des dards sur la queue comme ceux des scorpions et pendant des mois ils tourmenteront les hommes. Attendez simplement que nous en arrivions à ces plaies et à l’ouverture des Sceaux ainsi qu’à ces Sept Tonnerres; observez ce qui va arriver. Oh, frère, vous feriez mieux d’aller à Goshen pendant qu’il est temps d’aller à Goshen. Ne faites pas attention à tout ce qu’il y a autour.

171 Regardez ici. Voici cette jeune dame qui descend la rue en se dandinant; il y a là un jeune homme dont les yeux s’accrochent à cela. Il est membre d’une église. C’est un Pentecôtiste. Il est ce qu’il est. De toute façon, vous savez, il n’y a rien là-bas pour le retenir. Elle va dire «salut!». Lui a les cheveux frisés et est agréable à regarder; c’est un jeune homme aux épaules droites. Il essaye peut-être de vivre de manière juste. Elle s’avance vers lui; il est peut-être même prédicateur. Vous savez, tout d’abord…

172 Qu’est-ce que c’est? C’est ce cercle extérieur, le désir de la chair; et là, l’esprit, qui est oint dit: «Ne fais pas cela, ne le fais pas». Mais que va-t-il faire? Il va tourner là autour; il va être attiré et il va y aller. Vous savez, tout d’abord, il va essayer de prendre un rendez-vous avec elle. Il s’est rendu coupable d’adultère, qu’il l’ait touchée ou non.

173 Mais un véritable fils de Dieu, né de nouveau! Amen! Il ne peut pas lutter lui-même. Il est absolument impossible à un homme vigoureux de marcher vers une femme ainsi sans qu’il ne se passe quelque chose. Mais lorsqu’il y a Quelque chose à l’intérieur, ce petit Quelque chose né de nouveau là ici…!

174 Pourtant il se peut que cet homme ait crié, parlé en langues, qu’il ait sauté, dansé et toutes ces autres choses, qu’il ait été oint de l’Esprit, qu’il ait eu tous ces signes et ces miracles dont Dieu a parlé ici, et cela par Son Esprit! [Frère Branham frappe trois fois sur le pupitre — N.d.R.] Jésus a dit: “Beaucoup en ce jour-là viendront à moi et diront: Seigneur, n’ai-je pas prophétisé en Ton Nom? N’ai-je pas chassé les démons en Ton Nom? N’ai-je pas…”. Il a dit: “Eloignez-vous de moi, vous qui commettez l’iniquité”. Qu’est-ce que l’iniquité? C’est lorsque vous savez que vous devez faire quelque chose mais que vous ne le faites pas. “Eloignez-vous de moi, vous qui commettez l’iniquité; je ne vous ai jamais connus”.

175 Mais là, à l’intérieur de cet homme, il y a ce petit lien, cette Semence de Dieu qui a été prédestinée avant la fondation du monde; peu importe ce qui arrive, ce lien le retient. Il reste là.

176 C’est pourquoi cette femme va porter des shorts. Elle est considérée comme une prostituée au même titre qu’une femme qui commet l’acte. Vous voyez? Elle ne sait pas que cet esprit… Comment pourrait-elle savoir? par son absolu.

177 Qu’est-ce qu’un absolu? C’est le dernier mot. L’absolu est l’amen. C’est la fin de tout conflit, votre absolu.

178 Et si votre église, l’église pentecôtiste vous dit: «Les cheveux longs et tout ce fatras, ce n’est que du fanatisme. Qu’est-ce que c’est que cette roue de secours que vous avez derrière la tête?» et ainsi de suite, avec toutes ces sortes de choses. Eh bien, cet homme est possédé du démon.

179 Car la Parole de Dieu dit: “Il est honteux pour la femme qu’elle se coupe les cheveux. Elle déshonore son chef”. Si elle déshonore son mari, et que son mari est l’Eglise, et que l’Eglise est Christ, alors elle est une prostituée religieuse déshonorée; elle est nue et ne le sait pas. Nue! La Bible n’a-t-elle pas dit: Le voile de la femme est sa chevelure”? Ses cheveux ne lui ont-ils pas été donnés comme voile?

180 Un jour, de l’autre côté, lors du Jugement! J’ai essayé de verser le médicament; je L’ai tenu de mes mains et ils L’ont aussitôt recraché entre leurs doigts. Un jour, Dieu les jugera. C’est le AINSI DIT LE SEIGNEUR. Il ne s’agit pas d’un tas de folies édifiées par quelque vieil homme fou. Non, ce n’est pas cela. Car c’est la Parole de Dieu.

181 Et un véritable, un authentique chrétien va savoir se débrouiller avec cet homme qui se trouve là à l’intérieur, cet Esprit qui se trouvait là au commencement et qui est la Parole.

182 Comme Il était la plénitude de vous tous, vous vous trouviez en Lui là-bas au Calvaire. Il savait d’avance que vous seriez là. Il avait prévu ce qui arriverait. Et vous étiez en Lui; vous êtes morts avec Lui. Vous êtes morts à votre fierté, vous êtes morts à vos modes, vous êtes morts au monde. Vous êtes morts avec Lui au Calvaire, et vous êtes ressuscités avec Lui lorsqu’Il ressuscita le troisième jour. [Frère Branham frappe trois fois sur le pupitre — N.d.R.] Et parce que vous avez accepté cela, vous êtes maintenant assis dans les lieux célestes en Jésus-Christ. Alléluia!

183 Nous y voici. C’est cet homme intérieur. C’est cet homme intérieur qui va ponctuer la Parole, qui va s’accrocher à la Parole quoi qu’il arrive. Vous ne pouvez pas l’empêcher. J’ai appris cela il y a de nombreuses années.

184 Mon petit bébé était étendu là en train de mourir. Ma femme était étendue là dans la morgue; elle avait été embaumée et on l’avait déposée là. On m’a fait appeler et je suis sorti de là; Sharon était en train de mourir. C’est la plus grande épreuve que j’aie eue dans ma vie. J’avais environ vingt-cinq ans. Je me suis mis à marcher là-dehors; Billy Paul était sur le point de mourir.

185 Le Docteur Sam vint et me dit: «Bill, je ne crois pas que nous pourrons sauver Billy. Il va tellement mal. Bill, je suis tellement désolé pour toi». Il mit ses bras autour de moi.

    Je dis: «Docteur, je n’ai plus de force».

186 Je me suis précipité là-bas pour la voir dans les spasmes; cela ne s’arrêtait pas. Ils lui ont mis une aiguille dans la colonne vertébrale; ils ont ponctionné la moelle et ont découvert la cause: méningite tuberculeuse. C’est tout.

187 Plus tard je me suis frayé un chemin vers l’hôpital. J’ai arrêté mon vieux camion là-bas; je suis sorti et je me suis dirigé vers la pièce. Et dans le hall, Sam est venu vers moi en pleurant, son chapeau à la main; il a mis son bras autour de moi et a dit: «Il faut t’en retourner, Bill».

    Je dis: «Que se passe-t-il?». Il dit: «Tu ne peux pas la voir. Elle est en train de mourir, Bill». Et je dis: «Non, Sam, pas mon bébé».

188 Il dit: «Oui. Bill, tu ne dois même pas demander qu’elle vive. Si elle vivait, elle serait handicapée. On a dû la réanimer et elle serait handicapée toute sa vie. Elle a la méningite. Tu ne dois pas t’approcher d’elle. Tu tuerais Billy en faisant cela».

    Je dis: «Sam, il faut que je la voie».

189 Il dit: «Tu ne peux pas le faire, Bill. Je te le défends. Tu sais combien j’ai d’estime pour toi. Tu es mon copain et tu sais combien j’ai d’estime pour toi et combien je te crois mais ne va pas vers ce bébé. Elle a la méningite et si tu fais cela… Elle va s’en aller en quelques minutes; nous l’enterrerons. Bill, je suis tellement désolé pour toi».

190 Il appela une infirmière pour qu’elle m’apporte un médicament. Il dit: «Je ne sais pas comment cet homme tient debout».

191 Je restai là un petit moment. Il me dit de m’asseoir. Je m’assis dans le hall. Et l’infirmière apporta le médicament en disant: «Buvez ceci, frère Branham».

192 Je dis: «Merci. Posez-le juste là une minute». Puis quand elle est partie, je l’ai versé dans le crachoir et j’ai reposé le verre.

193 J’étais installé là. «O Dieu, qu’ai-je donc fait? Tu es un Dieu bon. Pourquoi l’as-Tu laissée mourir alors que l’autre jour je lui tenais ses deux petits bras comme cela?». Je L’ai supplié pour elle. «Pourquoi l’as-Tu laissée partir? Et Billy est étendu là en train de mourir; et elle est là, mourante. Qu’ai-je donc fait? Dis-le moi! Eh bien, je ferais tout aussi bien de m’en aller avec eux».

194 J’ouvris la porte et il n’y avait pas d’infirmière. Je me glissai au sous-sol. C’était avant que l’hôpital ne soit rénové. C’est tout juste s’il y avait des vitres aux fenêtres, et il y avait des mouches sur ses petits yeux. Il y avait un morceau de voile de protection contre les moustiques posé sur son visage pour chasser les mouches. Elle souffrait tellement que ses petits yeux louchaient.

195 Alors Satan vint se placer à mon côté et dit: «As-tu dit que c’était un Dieu bon?». Je dis: «Oui, c’est ce que j’ai dit».

196 «As-tu dit que c’était un Dieu qui guérit? Eh bien, pourquoi ton père est-il mort dans tes bras là-bas alors que tu priais pour sa vie, lui un pécheur? Pourquoi ton frère est-il mort dans les bras de ton autre frère tandis que tu te tenais à la chaire et que tu prêchais, il y a de cela quelques semaines? Pourquoi ne t’a-t-Il donc pas répondu? Tu as dit qu’Il t’aimait et qu’Il t’avait sauvé».

197 Il ne pouvait pas me dire qu’il n’y a pas de Dieu car je L’avais déjà vu. Mais il était en train de me dire qu’Il ne s’occupait pas de moi.

198 Il dit: «Ta femme repose là. Tes bébés y seront très bientôt. Ton père est enterré. Ton frère est enterré. Et demain on va enterrer ta femme. Et ton autre bébé est là en train de mourir. Il est un Dieu bon? Hein? Il guérit?». Il dit: «Tu n’es qu’un nigaud!».

199 Que se passait-il? Cela oeuvrait de l’extérieur vers ce premier homme.

200 Il dit: «Regarde maintenant. Il y a à peu près deux ou trois ans, avant que tu n’acceptes Cela, tu étais bien considéré parmi les gens. Tu vivais une vie propre. Toutes les filles de la ville voulaient sortir avec toi car elles sentaient que tu étais propre et décent». Je pouvais me tenir devant n’importe laquelle d’entre elles. Je n’en ai jamais insulté aucune, je n’ai jamais rien dit. S’il y en avait une qui se comportait vraiment bien, je l’amenais à la maison. «Et les gens t’aimaient. Mais maintenant qu’es-tu? Un fanatique religieux».

201 «C’est juste. C’est ce que j’étais». Vous voyez comment ces choses commencent à se mettre en place? L’extérieur, le raisonnement de l’esprit, rassemblent ces choses. «C’est juste, Satan». «Et as-tu dit qu’Il guérissait?». «Oui, oh oui».

202 «Et tu as supplié et pleuré, et les gens t’ont dit qu’il n’en était pas ainsi, que tu étais en dehors de la ligne. Ta propre église t’a mis à la porte pour Cela. Ta propre église baptiste t’a mis à la porte pour la même raison». «Oui».

203 «Ton père est enterré. Ton frère est enterré. Ta femme est étendue là-bas; on va l’enterrer. Et voici ton bébé; d’ici quinze minutes, il sera parti. Et Il guérit? Ta propre chair et ton propre sang; une parole de Lui sauverait la vie du bébé. Il guérit, as-tu dit. Les gens ont essayé de te parler. Le prédicateur t’a dit que tu t’étais complètement trompé, que tu étais complètement fou et que tu étais en train de devenir un fanatique religieux. Et tu as dit que Dieu t’aimait. Comment pourrait-Il t’aimer?».

204 «Comme tu as crié pour ton père! Nuit après nuit, tu as jeûné Et pour finir, Il l’a laissé mourir dans tes bras, lui un pécheur».

205 «Et ta femme, comme c’était une gentille femme et combien tu l’aimais!». C’est la mère de Billy; beaucoup parmi vous se souviennent de Hope. «Quelle gentille fille c’était! Combien tu étais heureux dans ta petite maison là-bas avec sept ou huit dollars de meubles. C’était là tous les meubles que tu avais, mais tu l’aimais, vous vous aimiez l’un l’autre. Vous alliez prier pour les autres; votre esprit était ému, vous vous leviez et vous en alliez en disant qu’ils allaient très bien. Mais maintenant il s’agit de ta propre femme et elle elle est là, morte depuis deux jours, reposant dans le sous-sol de l’établissement Scott and Combs. C’est un Dieu qui guérit? Hein?».

206 «Et ton petit garçon Billy Paul est sur le point de mourir; il a dix-huit mois. Et ta petite fille de huit mois est étendue là en train de mourir de méningite. Et Dieu a fait tomber un voile en disant: tais-toi! Je ne t’entends pas. Je ne veux absolument pas t’entendre! Il t’a tourné le dos. Il est un Dieu bon? Hein? Il t’aime? Chaque fille avec qui tu étais sorti, chaque garçon avec qui tu t’étais associé, tes meilleurs amis se sont éloignés de toi et te considèrent comme un fanatique religieux».

207 Tout ce qu’il aurait pu dire était la vérité. Tout ce qu’il disait tombait juste, ici, vous voyez. J’étais sur le point de dire: «Alors si c’est ainsi qu’Il agit, je ne veux pas Le servir».

208 Juste comme je me préparais à dire cela, Quelque chose vint d’ailleurs et descendit à l’intérieur. Ce Quelque chose dit: «Et d’abord, qui es-tu, toi? Le Seigneur a donné, et le Seigneur a repris». Vous voyez, c’est cet homme intérieur qui ne raisonne pas du tout.

209 Je me retournai et pensai: «Comment suis-je venu sur la terre? Je sors d’un milieu d’ivrognes. Comment suis-je arrivé ici? Qui m’a donné la vie? Qui m’a donné cette femme? Qui m’a donné ce bébé? D’où ma femme est-elle venue? D’où ma vie est-elle venue?». Je dis: «même s’Il me tuait, je lui ferais encore confiance».

    Je dis: «Va-t’en loin de moi, Satan!».

210 Je posai ma main sur le bébé. Je dis: «Sharon, chérie, dans quelques minutes, lorsque les anges de Dieu viendront te prendre, je vais te déposer dans les bras de ta mère; mais un jour papa te reverra. Je ne sais pas comment cela se fera, chérie, je ne peux pas te dire; comme Il m’a tourné le dos, Il ne veut même pas m’entendre parler de toi».

211 Il a laissé ma femme mourir tandis que je lui tenais les mains en pleurant pour elle. Et mon père est mort sur ce bras là; il me regardait en essayant de trouver sa respiration. Et je priais tant que je pouvais. Comment pouvais-je de nouveau faire face au public et prêcher la guérison Divine? Comment pouvais-je prêcher qu’Il est un Dieu bon, alors qu’Il avait laissé mon père, un pécheur, mourir? Comment pouvais-je prêcher cela? Je ne sais pas comment cela se fait, mais je sais qu’Il a raison.

212 La Parole de Dieu ne faillira jamais. Elle triomphera quoi qu’il y ait. Alors je sus qu’il y avait Quelque chose à l’intérieur de tous les raisonnements, Quelque chose a l’intérieur de toutes les émotions, de toutes ces autres choses comme cela. Il y avait un homme intérieur et c’est cela qui comptait à cette heure. Rien d’autre n’aurait pu faire cela; on aurait pu invoquer n’importe quelle raison, montrer n’importe quoi qui aurait prouvé que Cette chose avait tort et que j’étais dans le faux. Mais la Parole de Dieu qui fut prédestinée avant la fondation du monde tenait bon dans cet homme intérieur.

213 Je sentis un petit vent traverser l’édifice. Son esprit alla à la rencontre de Dieu.

214 Frère, soeur, laissez-moi vous dire qu’il n’y a que cette Chose. N’essayez pas de raisonner Cela. N’essayez pas d’avoir de longs cheveux simplement parce que je l’ai dit. N’essayez pas de faire ces choses de manière simplement charnelle. N’essayez pas de le faire juste pour dire que vous avez réussi. Mais restez simplement en attente devant le Seigneur jusqu’à ce que Quelque chose se fraye un chemin à l’intérieur!

215 Beaucoup parmi vous pensent que du fait qu’elles ont de longs cheveux, elles vont aller au Ciel. Le fait d’avoir de longs cheveux ne signifie pas cela. Beaucoup pensent que du fait qu’elles sont des femmes bonnes et morales, elles vont aller…? Ce n’est pas ce que cela veut dire. Beaucoup pensent que c’est à cause de leurs églises et parce qu’ils appartiennent à ces grands groupes qui ont de grands docteurs de la Divinité qu’ils vont… Cela n’a pas de rapport. Vous voyez?

216 Beaucoup pensent que parce qu’ils parlent en langues, ils ont le Saint-Esprit. Cela n’a pas de rapport. Bien qu’effectivement le Saint-Esprit parle en langues. Mais il faut que ce véritable, cet authentique Saint-Esprit qui se trouve là-dedans soit en accord avec chaque Parole! Si ce Saint-Esprit est en vous, alors c’est Lui qui vous fera parler en langues; si lorsque vous examinez cela, vous vous rendez compte que cela ne concorde pas avec le reste de la Parole, alors c’est un esprit faux. Vous voyez?

217 Il faut que cela vienne de l’intérieur, de cette Parole, du commencement. “Au commencement de la création de Dieu”, lorsque Dieu commença à créer et qu’Il vous amena à l’existence, vous voyez. Vous avez débuté sous la forme d’une graine pour parvenir à ce que vous êtes maintenant. Et, à ce moment-là, vous étiez tout en Christ. Puis lorsque Christ mourut, ce fut pour vous racheter tous. Et vous êtes une partie de cette Parole; vous devez donc accepter la Bible en entier! “Précepte sur précepte, ligne sur ligne, ici un peu, là en peu”. “Pas un iota ni un trait de lettre ne faillira”. Comment alors étant une partie de cette Parole, se pourrait-il que vous puissiez être en désaccord avec le reste de cette Parole ou avec une partie de cette Parole?

218 Dieu vous bénisse. J’ai dépassé l’heure maintenant. Je n’avais pas l’intention de vous garder aussi longtemps. Je suis désolé de vous avoir retenus; mais pas pour ce que j’ai dit.

    Nous sommes juste à la fin de quelque chose, mes amis.

219 Je suppose que vous êtes tous membres de cette église. Je ne contrôle pas les membres qu’il y a. Je suppose que vous venez tous régulièrement ici. Laissez-moi vous dire ce qui est arrivé. Voulez-vous m’accorder encore, disons, six minutes? [L’assemblée dit: «Amen». — N.d.R.]

220 Est-ce le révérend O. Walker de l’Oregon qui était là ce dimanche où je me trouvais ici? Quelqu’un sait-il ce qui s’est passé? C’est vraiment une grande chose, une chose étrange.

221 Lorsque je suis venu ici, il y avait énormément de gens. J’avais toute une pile de rendez-vous, et tous étaient valables; c’étaient des gens qui venaient au sujet de leur garçon, de leurs enfants, ou de leur couple, ou qui avaient un problème de boisson et différentes choses qui étaient toutes valables. Il aurait fallu que je les voie toutes. Mais je ne peux pas faire tout cela. Alors je vous ai remis à Dieu et dans la prière j’ai tenu mes mains sur ces listes. J’ai dit: «Oh Dieu, je n’y arriverai pas. Seigneur, va jusqu’à eux. Tu sais comment le faire. Je prie pour chacun d’eux».

222 Billy m’a appelé. Et je suis venu avec frère Banks. Il a dit: «Papa, si tu…».

223 Il m’arrive de regarder parfois les gens sortir dans l’allée. Je les regarde et leur fais signe comme cela. Et ils tournent la tête en conduisant. Je ne veux pas que vous fassiez cela.

224 L’autre jour ils sont allés acheter cette maison là-bas à Tucson pour que j’y habite. Frère Tony avait vu un endroit et il voulait que je l’achète pour trois ou quatre fois le prix qu’il coûtait réellement. Il voulait même mettre lui-même plusieurs milliers de dollars sur cette affaire. Mais le seul moyen d’entrer là-dedans, c’est de passer par un portier, un grand gars, qui se tient là-dehors. C’est un “plus” en quelque sorte. Si vous voulez rendre visite aux gens qui habitent là, il vous faut avoir une autorisation écrite; alors le portier appelle les gens pour leur demander s’ils sont d’accord que vous entriez.

225 Je dis: «Tony, comment peux-tu imaginer que j’aille m’enfermer là-bas dedans alors que mes frères et mes soeurs veulent venir me voir, me serrer la main et invoquer les bénédictions de Dieu sur moi?». Il dit: «Eh bien, tu…».

226 Je dis: «Tony, cela montre que l’église et tous les autres ne veulent pas que les gens viennent là autour. Cela arrange les gens qui veulent que je fasse comme ils l’entendent».

227 Ils disent: «Eh bien, c’est le Seigneur qui me l’a dit. Alléluia! Je vais rester ici. Gloire à Dieu! Le Seigneur m’a dit que vous devrez organiser une rencontre là dans notre groupe. Certainement, gloire à Dieu! C’est ce que le Seigneur m’a dit. Si vous ne le faites pas, frère Branham, c’est que vous êtes un rétrograde». Il faudrait que je sois là-bas à essayer d’étudier, vous voyez. Et beaucoup de gens bien seraient empêchés d’entrer à cause de cela.

228 C’est comme un homme qui va à la chasse là-bas vers une ferme. Le fermier dit: «Entrez. Vous pouvez chasser». Et l’homme va tirer sur une de ses vaches. Tout cela parce qu’un lapin s’était précipité sous la vache et qu’il fallait absolument tirer sur le lapin. Au lieu d’entrer par le portail comme le ferait une personne bien élevée, il saute par-dessus la barrière et l’endommage. Vous voyez? Alors le fermier dit: «Je vais poster une sentinelle!». Je ne vais pas le blâmer, absolument pas. Eh bien, que fait-il? Il empêche le chasseur correct d’entrer. C’est toujours comme cela. Le méchant empêche le bon de profiter des faveurs qu’on pourrait lui faire. Cela se passe toujours comme cela.

229 Maintenant dans notre cas, ce sont des milliers de gens qui sont vraiment dans le besoin; ce sont des gens très bien, plein d’amour et remplis de la grâce de Dieu.

230 Et ces gens ont l’habitude de venir comme cela. Nous ne voulons pas supprimer cela, non.

    Mais cet homme est venu…

231 Billy a dit: «Viens vite, papa, dépêche-toi. Madame Waldorf est ici avec des gens qui sont en train de mourir; il faut que tu les voie tout de suite». Et je me suis dépêché de descendre ici.

232 Et quand je suis arrivé on m’a dit: «Il n’y a personne ici à part un homme qui dort là-dehors; il vient tous les jours s’installer sur un oreiller sur le côté de l’édifice. Il veut que tu pries pour lui».

    Je dis: «Très bien. Je vais le faire entrer». J’entrai.

233 Je crois qu’il y avait une Cadillac ou une grosse voiture parquée là-derrière. Je m’avançai et cet homme me dit: «Comment allez-vous?». Il ne me connaissait pas.

234 Et je m’avançai à l’intérieur. Et soeur Waldorf est entrée. Pauvre vieille dame!

235 Vous connaissez son cas, n’est-ce pas? Vous voyez, elle avait le cancer; elle était morte dans la ligne de prière à peu près une heure avant que je n’arrive à elle. Son médecin est venu et on lui a montré… Cela fait environ dix-huit ans; elle avait un cancer du coeur, vous voyez, et aujourd’hui, elle vit. Maintenant, elle vit dans l’Arkansas, là-bas.

236 Et l’autre jour elle était à Phoenix. Elle dit: «Frère Willy, je déteste venir comme cela, mais je n’avais nulle part où aller. Les gens ont dit que cette femme est sur le point de mourir, frère Willy».

237 Elle dit: «Je voulais vous apporter une petite offrande personnelle, frère Willy, mais je n’ai pas pu le faire. Alors j’ai fait des conserves de gelée de mûres».

238 Oh, quand je suis monté et que j’ai vu ces petits pots de gelée qu’elle avait posés là; ils m’ont paru trop sacrés pour que je les mange. Vous voyez? Cette chère vieille dame d’environ soixante-dix ans. Je dis: «Soeur Hattie…». Je n’ai pas pu refuser. Non. Jésus vit cette veuve qui avait mis trois petites pièces et il la laissa faire. Vous voyez? Non, je ne pouvais pas refuser. Dieu la récompensera pour cela. Oui.

239 Et le Seigneur guérit cette femme, il la guérit de tout ce qu’elle avait et Il révéla à son pasteur ce qu’il pensait et ce qu’il était censé faire. Et, oh, ils sont tous sortis en criant.

240 Alors Billy s’est précipité à l’intérieur. Il dit: «Papa, cet homme est parti. Je n’arrive pas à…».

    Je dis: «Qui se trouve dans la voiture là dehors?».

241 «Oh», dit-il, «c’est un gars qui est descendu de l’Oregon, il dit qu’il a eu une espèce de songe. Et je lui ai dit que je ne voulais pas lui donner de faux espoirs et qu’il y en avait trois cents en train d’attendre ici. Et je lui ai demandé de noter son rêve. Je lui ai dit que j’en avais toute une pile ici, haute comme cela, et que j’y ajouterais simplement son rêve».

    Je dis: «Fais-le entrer. Accorde-lui cinq minutes».

242 Eh bien, aussitôt que l’homme fut entré, il dit: «Je suis le révérend Walker (je crois que c’est cela son nom), et je viens de l’Oregon». Je crois qu’il vient d’une dénomination, je ne sais plus s’il est presbytérien ou autre.

243 Il dit: «Je vous ai rencontré il y a environ vingt ans. Je descendais au Grants Pass où vous…». Ce n’était pas Grants pass, mais j’ai oublié le nom de l’endroit. «Et là, tous les matins, il y avait des manchettes dans les journaux du pays à ce sujet. Tout le monde était au courant de cela. Je n’ai même pas pu parvenir jusqu’au bâtiment où vous vous trouviez, mais je vous ai vu monter, et un jour alors que je descendais la rue, je vis quatre ou cinq hommes qui vous entouraient et j’allai vous serrer la main. Je vous ai dit que j’étais frère Walker et vous m’avez dit qui vous étiez. Nous avons échangé deux mots, puis trois ou quatre hommes de grande taille sont venus vous faire avancer». Il dit encore: «Je ne vous critiquais pas, et je n’étais pas non plus pour vous. Je ne comprenais tout simplement pas».

244 Il dit: «Les choses continuèrent ainsi pendant quelques années; puis au bout de quelque temps un homme vint me dire d’écouter des enregistrements. C’était il y a environ trois ans. Cet homme faisait parler les enregistrements et il disait: ‹Moi-même je l’ai entendu parler› et M. Walker dit que cet homme croyait que vous étiez prophète. Et je lui ait dit que je ne connaissais rien de toutes ces choses mais que cela était tout à fait possible».

245 Puis il dit: «Ensuite un homme est venu habiter dans notre ville. Il a organisé une réunion et je l’ai rencontré. Et cet homme dit qu’il était le prophète de Dieu».

246 Il dit encore: «Combien êtes-vous ici de toute façon? J’ai entendu un homme qui écoutait des cassettes là-bas et qui disait: ‹Là-bas à l’Est, il y a un prophète pour ce jour et c’est William Branham,›» et il a dit d’autres choses comme cela.

247 Je ne vais pas donner le nom de cet homme car cela ne sonnerait pas très bien ici, vous savez. Et il a dit: «je connais frère Branham, mais sa doctrine est fausse. Il n’est pas pentecôtiste. Il ne croit pas à l’évidence initiale. Il y a encore autre chose qu’il dit, c’est qu’il y a de grands et de petits prophètes. Une chose pareille n’est pas possible. Ou vous êtes un prophète ou vous ne l’êtes pas. Un point c’est tout».

248 Et l’autre homme dit: «Eh bien, monsieur, ce n’est pas de cela que je discutais avec vous. J’ai simplement entendu cet homme dire que frère Branham était un prophète alors qu’il y en avait un qui se prétendait prophète aussi. Je me demandais simplement combien il y en avait».

249 Et l’homme dit: «Mais je veux que vous sachiez ceci. C’est que je suis le prophète de cet âge».

250 Il dit: «Ah oui! Alors que le Seigneur vous bénisse et soit avec vous».

251 Puis il continua son chemin et ne fit plus jamais attention à cela. Il dit qu’il se mit à organiser parmi ses frères une série de trois ou quatre rencontres. Il alla à la poste et dit: «Ne faites pas suivre mon courrier. Laissez-le ici jusqu’à ce que je revienne dans trois ou quatre jours».

252 «Très bien», ont-ils dit. Et ils ont mis un ticket pour ne pas qu’on le fasse suivre. Puis il s’en est allé voir sa fille.

253 Alors qu’il était en chemin, il s’arrêta à l’église. Or le soir il avait eu cette rencontre. Le lendemain matin, il dit qu’une pensée lui vint à l’esprit: «Va chercher à la poste restante». C’est ce qu’il fit; or une lettre était parvenue par erreur à sa fille qui la lui avait adressée poste restante.

254 Et il l’ouvrit. Et il dit qu’elle était d’un homme, M. Hildebrandt; c’est un de mes amis et c’était l’homme qui avait fait écouter les enregistrements. Il dit que M. Hildebrandt avait reçu un mot de Roy Borders (c’est l’un des directeurs, vous savez) lui disant que j’allais tenir une réunion ici depuis le vingt-huit jusqu’au premier.

255 Il dit: «Maintenant, regardez, tous ces gars essayent de m’attirer là-dedans!». Vous voyez? Et il jeta la lettre dans la corbeille à papier et poursuivit son chemin. Et ce soir-là il partit tenir cette réunion. Et le lendemain matin…

256 Là juste dans la pièce il se mit à pleurer, la main sur le coeur.

257 Il dit: «M. Branham, je réalise que j’ai dû me tenir devant Dieu. Je ne sais pas si je m’étais endormi ou ce qui est arrivé. J’ai rêvé. Je crois que je vais dire que je dormais et que j’ai rêvé».

258 Il dit: «J’ai rêvé que mon fils était au marché et qu’il avait fourré sa main dans un sac. Or, c’était un sac de pommes et elles se sont toutes retournées. Lorsque je suis allé les ramasser, je vis que c’était toutes des pommes vertes dans lesquelles on avait donné un coup de dent. Je les ai ramassées pour les remettre dans le sac. Et certaines ont roulé jusque dans l’herbe et j’ai essayé d’aller les récupérer. Elles ont roulé jusque sous une de ces barrières avec des chaînes de sécurité. Et de l’autre côté il y avait une grande autoroute. J’ai regardé vers l’Est et j’ai vu que la chaîne était accrochée à un gros rocher à l’Est. Je suis retourné en arrière et j’ai pensé décrocher cette chaîne, puis aller de l’autre côté récupérer les pommes et les rendre à l’homme. J’ai commencé à décrocher la chaîne».

259 Il dit: «C’est alors qu’une voix a secoué la terre entière. La terre a tremblé sous mes pieds. Après qu’elle eût cessé de trembler, j’ai entendu une voix. Frère Branham, c’était votre voix. Je l’ai reconnue. Il y eut quelque chose qui dit: ‹Je vais suivre ce chemin une fois de plus!›».

260 Et il dit: «J’ai regardé comme ceci vers le rocher; j’ai vu passer des nuages. Et là, se tenant sur le rocher qui allait de l’Est vers l’Ouest, il y avait quelque chose de forme pointue, comme une pyramide, qui se dirigeait en arrière vers l’Est. Et vous vous teniez là, sur un cheval dont je n’avais jamais vu le semblable dans ma vie. C’était un grand cheval blanc avec une crinière blanche. Vous étiez habillé comme un chef Indien avec toutes ces choses qu’utilisent les Indiens. Vous aviez un plastron et vous portiez tous ces bracelets aux bras et tout autour comme cela. Vous éleviez les mains comme cela, et ce cheval avait l’allure d’un cheval militaire et caracolait comme cela. Vous avez tiré sur les rênes et vous êtes dirigé vers l’Ouest».

261 Il dit encore: «Je baissai les yeux et vis qu’il y avait tout un groupe de scientifiques». Cela c’était le samedi. Et le lendemain matin, je prêchai sur les scientifiques, vous savez, comme quoi tout cela vient du diable. Et il dit: «Les scientifiques versaient des choses dans des tubes et faisaient des mélanges. Vous avez arrêté le cheval, levé de nouveau les mains et crié: Je suivrai de nouveau ce chemin! Et toute la terre a tremblé Tous ces gens ont tremblé. Ils ont regardé en haut, puis se sont regardés, ils ont regardé vers vous. Ils ont juste haussé les épaules et ont poursuivi leurs recherches scientifiques. Vous vous êtes alors dirigé vers l’Ouest».

262 «C’est alors que j’ai vu cet homme, celui qui se prétendait prophète, vous savez; il est venu sur un cheval blanc et noir. Il s’est élevé derrière ce grand cheval. Il se trouvait au-dessus des nuages et la route ne dépassait pas cette largeur. Le vent soufflait des plumes sur les habits. La crinière et la queue du cheval remuaient. Ce grand cheval avait l’air d’un grand maître qui avançait en droite ligne. Et ce gars qui venait du Canada vous poursuivait (cet homme vit au Canada). Il est revenu à la charge et a essayé de renverser votre grand cheval avec le sien. Il tournait autour de votre cheval, les jarrets de son cheval heurtant les… Mais il n’a pas réussi à ébranler le grand cheval qui continuait simplement à avancer».

263 «Puis tout à coup, vous vous êtes retourné. C’était la troisième fois que vous alliez parler. Mais la deuxième fois, vous aviez dit: Je suivrai le chemin. Or cette fois, vous n’avez pas parlé de la même manière. Vous avez ordonné. Vous vous êtes retourné et avez appelé l’homme par son nom en disant: ‹Partez d’ici! Vous savez qu’aucun homme ne peut suivre cette route si Dieu ne lui a pas ordonné de le faire. Partez d’ici!›».

264 «Alors l’homme s’est retourné. Et je vis que c’était l’homme qui m’avait écrit ces lettres. Sur les jarrets de son cheval noir et blanc était écrit son nom; c’était la même signature que sur sa lettre. Puis il est parti en direction du Nord».

265 «Alors vous avez continué. Ce grand cheval s’est retourné et a poursuivi loin en direction de l’Ouest. Vous vous teniez comme cela en élevant les mains». Alors il s’est mis à pleurer et a dit: «Frère Branham, c’est de voir ce cheval qui se tenait là, cette coiffure de guerre, ce plastron et toutes ces choses qui étincelaient. Vous avez élevé les mains pendant un moment. Puis vous avez baissé les yeux, avez repris les rênes en disant: Je suivrai ce chemin encore une fois! Et toute la terre a tremblé comme cela. Il n’y avait plus de vie en moi. Je suis tombé sur le rocher. Puis je me suis réveillé».

    Il dit: «Qu’est-ce que cela veut dire, monsieur?».

    Je dis: «Je ne sais pas».

266 Le lendemain, je rencontrai Junior Jackson qui avait eu un songe au sujet de la pyramide, vous savez, lorsque j’étais parti dans l’Ouest. Vous vous souvenez de cela? Il m’avait appelé un mois ou deux auparavant. Il avait eu un rêve et il lui brûlait de me le raconter. Et je dis…

267 Il y avait une vingtaine de personnes qui se tenaient là-dehors. Et Billy dit: «Junior Jackson là en-bas a dit qu’il aimerait te raconter ce rêve».

    Je dis: «Fais-le venir ici juste cinq minutes».

268 Il amena sa femme avec lui, comme témoin, a-t-il dit. Et il dit: «Frère Branham, j’ai rêvé que ma femme et moi, nous étions en train de chevaucher là-dehors. Je me suis retourné pour regarder vers l’est et j’ai vu au loin un point qui ressemblait à une de ces soucoupes volantes».

269 Vous savez, le monde ne sait pas ce que c’est. Vous, vous savez ce qui se passe. Nous savons ce que c’est. Vous voyez? Nous savons que ce sont les anges du jugement qui font des recherches. Nous savons ce qui en est du Pentagone et de tout le reste, comment tout est en train de sombrer; nous savons comment, malgré leur intelligence, ils peuvent disparaître comme un éclair [Frère Branham claque une fois des doigts — N.d.R.] et être arrachés à tout ce qu’ils ont. Ils ne réalisent pas ce que c’est, vous voyez. Qu’ils pensent ce qu’ils ont envie de penser. Ils appellent cela des soucoupes volantes, ou je ne sais quoi. Ils ne savent pas, vous voyez.

270 Et il dit: «Et j’ai vu cela venir, et je l’ai observé. Or, il s’agissait d’un homme à cheval. Il arrivait à la vitesse de la lumière. Je vis qu’il se dirigeait droit sur moi. J’arrêtai ma voiture et sautai dehors. Et à ce moment-là, le cheval se tenait sur la route; c’était un grand cheval blanc militaire qui caracolait». Et bien sûr, c’était la Parole qui caracolait ainsi.

271 Il dit: «Un homme était assis sur ce cheval. Il était habillé comme un cow-boy mais ce n’était pas un cow-boy. Il avait l’apparence d’un chef de la gendarmerie montée ou quelque chose comme cela». Vous voyez, il incarnait toute l’autorité de l’Ouest, l’autorité de la gendarmerie montée sur les Indiens. Et il dit: «Lorsqu’il se tourna et que je vis son profil, je me rendis compte que c’était vous, frère Branham. Vous n’aviez jamais parlé comme vous l’avez fait à ce moment-là. Vous avez dit: Junior! Vous m’avez appelé trois fois, et vous avez dit: je vais vous dire ce que vous devez faire. Puis vous avez tiré sur les rênes du cheval. Vous avez effectué trois boucles, puis vous vous êtes dirigé vers les cieux, en direction de l’Ouest».

272 Il dit: «Il s’est écoulé à peine une minute, puis j’ai regardé autour de moi et un cheval plus petit est arrivé. Il était de la même race, mais plus petit et il se tint là. J’ai tourné autour de ce cheval et je me suis dit: il doit l’avoir envoyé pour moi. Alors je suis monté». (Junior a aussi fait un peu d’équitation.) Lorsqu’il me raconta son rêve, il me dit: «Vous savez, frère Branham, comment votre selle est exactement à votre mesure ainsi que les éperons et tout le reste?». Puis il continua son rêve. «J’ai pensé: eh bien, ceci me convient parfaitement. Alors j’ai tiré sur les rênes et suis parti dans les cieux. Puis j’ai tiré les rênes pour l’arrêter. Je l’ai fait revenir en arrière. Après cela, j’ai arrêté le cheval, je suis descendu pour aller parler à ma femme. Et le cheval disparut». Il avait été élevé.

273 Puis, il y a trois jours Léo Mercier est arrivé et a raconté exactement le même rêve sans rien savoir à ce sujet. Il a raconté comment il a essayé d’accoupler un grand étalon blanc à une jument noire et comment il n’a pas réussi car ils étaient trop nerveux. Il raconta comment je suis venu et que je lui ai dit: “Léo” puis que je lui ai raconté ce que j’avais fait. Je ne veux pas en parler ici, mais je lui ai raconté ce que j’avais fait. Je lui dis: «Ne vois-tu pas? Maintenant tu connais cela; je ne savais pas que Ed Dalton a un beau-fils et que ce beau-fils a un chien de ce nom. Tu sais Léo, que tu es en train de rêver. Mais lorsque tu te réveilleras, souviens-toi de cela!». Et il dit: «Je n’ai jamais entendu un tel commandement».

274 A peu près à ce moment-là, Roy Roberson est entré et a dit: «Frère Branham, vous souvenez-vous de la première fois où vous êtes parti de l’église? Je vous ai vu assis comme du temps de la Palestine. Nous étions tous là, tout le comité. Nous étions assis comme à la table du Seigneur lors du souper, et vous avez parlé. Je n’étais pas sûr de quoi vous parliez. Un nuage blanc est descendu et vous a enveloppé et enlevé». Combien se souviennent du rêve de frère Roy? Il dit: «Le nuage blanc vous a enveloppé et vous avez disparu. Je me suis mis à errer dans les rues en criant et en pleurant».

275 Lorsque je suis sorti là-dehors, je le vis avec son pauvre bras estropié, comme vous le savez, et il était en train de lire ces choses. Lorsqu’il me vit arriver, il laissa tomber son râteau et se mit à pleurer. Je ne l’avais pas encore vu et il me raconta son rêve. Et il dit que tandis qu’il était en train de ratisser…

276 «Et alors vous êtes parti. J’ai fait toutes les rues pour essayer de vous trouver. Mais je ne pouvais vous trouver nulle part. Je sanglotai: Oh, frère Branham, ne partez pas! Un nuage blanc est entré, vous a enveloppé et vous a emmené loin de nous vers l’Ouest». C’était avant la pyramide et tout cela. Vous voyez? Il dit: «Ce nuage vous a emmené vers l’Ouest. Alors j’ai pleuré en errant dans les rues».

277 Il dit: «Au bout d’un moment, je suis allé m’asseoir à la table. Je ne voyais que cela de vous; cette partie que je voyais était blanche comme la neige. Vous vous teniez là. Vous parliez avec autorité. Il n’y avait pas d’interprétation possible. Tout le monde a compris exactement ce que vous disiez».

278 Oh, mon frère, ma soeur, je pense que chacun de vous est conscient de ce que je sais ce que cela signifie. Vous voyez?

279 Observez simplement! Tenez-vous près de Christ. En tant que ministre de l’Evangile, je dois vous avertir de cela. N’acceptez aucune folie. N’imaginez rien. Demeurez exactement ici jusqu’à ce que ce cercle intérieur soit ancré dans la Parole et que vous soyez exactement en Christ car c’est la seule chose qui va… Car nous sommes dans l’âge le plus trompeur qui ait existé. “Les élus même seraient trompés si c’était possible”, car ils pensent que du fait qu’ils ont l’onction, ils peuvent faire exactement comme les autres.

280 Purifiez vos vies. Payez vos dettes. “Ne devez rien à personne”, a dit Jésus. Maintenant ce que je veux dire, c’est que vous devez vous acquitter du loyer de votre maison et de toutes ces choses. Que toutes vos affaires soient en ordre. Que tout soit en ordre. Soyez prêts. Préparez-vous. Souvenez-vous, au Nom du Seigneur, quelque chose est en train de se préparer.

281 Cette semaine j’irai dans les collines; ce n’est pas exactement pour la chasse aux écureuils. Bien sûr, j’aime chasser les écureuils. Mais je vais aller là-bas dans le but de dire: «Oh Dieu, je ne sais pas de quel côté aller, et je ne veux pas manquer cela. Aide-moi».

282 Vous prierez pour moi. Vous le ferez, n’est-ce pas? Et je prierai pour vous. J’espère que par la grâce de Dieu, je retrouverai chacun de vous et que nous nous rencontrerons dans un meilleur Pays que celui-ci.

283 Pour quelle raison venons-nous ici? Que faisons-nous? Venons-nous ici pour jouer? Venons-nous ici comme pour une rencontre dans une loge quelconque? [Frère Branham frappe trois fois sur le pupitre — N.d.R.] Ce qu’il y a, c’est que Christ ne peut pas venir tant que son Eglise n’est pas parfaitement juste. C’est nous qu’Il attend. Je crois que nous sommes à la fin.

284 Regardez ce qui se passe en Californie. Regardez ces émeutes. Regardez ces dix-neuf personnes qui ont été tuées dans des émeutes raciales. Ne vous ai-je pas dit ici il n’y a pas très longtemps que ce Martin Luther King conduirait son peuple à un massacre? Combien se souviennent de cela? [L’assemblée dit: «Amen». — N.d.R.] Ce n’est pas de la faute de ces gens de couleur. C’est de la faute de ces leaders qui les excitent. Il ne s’agit pas d’intégration, de ségrégation ou je ne sais quel nom ils donnent à cela; tout cela vient du diable. C’est vrai. Cela ne vient pas seulement des blancs ou des noirs, cela vient de tous. C’est le diable.

285 Les capacités mentales et le raisonnement de l’homme ont été détruits. Il n’y a pas d’espoir possible. Tout cela est devenu une plaie en putréfaction. Les capacités mentales de l’homme ont été détruites; il ne peut pas prendre de décisions.

286 Je ne fais pas de politique. Je ne suis ni démocrate ni républicain. Ils sont tous souillés. Je suis pour un Royaume, et c’est le Royaume de Jésus-Christ. C’est tout. Mais comment est-il possible que nous ayons maintenant ce tas de marionnettes, comme tous ces Texans que nous avons maintenant? «Eh bien, disent-ils, nous faisons ce que les gens veulent! S’ils veulent le communisme, nous leur donnerons le communisme. S’ils veulent l’intégration, nous leur donnerons l’intégration. S’ils veulent la ségrégation, nous leur donnerons la ségrégation». Qu’est devenu l’homme?

287 Oh, Dieu! C’est comme en chaire. Où est l’homme, l’homme qui est véritablement un homme et qui défend des principes? Où est la femme qui défend un principe? Où est l’église qui défend un principe? Je ne veux pas perdre une seule minute avec un homme qui soit une lavette, qui cède devant l’adversaire et qui a l’esprit de compromis. Si une femme est une femme, qu’elle agisse comme une dame. Si un homme est un homme, qu’il agisse comme un homme.

288 En ce qui concerne notre président… Où est notre John Quincy Adams? Où est notre Abraham Lincoln, qui était un homme de principe? Où est notre Patrick Henry qui a dit: «Donnez-moi la liberté ou donnez-moi la mort?».

289 Où y a-t-il un homme qui défende ce qui est juste? Où est l’homme qui n’a pas peur de parler, qui ne se préoccupe pas de ce que le monde entier est contre lui, qui dit ce qui est juste, défend cela et ira jusqu’à mourir pour cela? Où est notre Arnold von Winkelried aujourd’hui? Où est l’homme intègre? Où est l’homme d’esprit? Ils sont tellement fades et molasses qu’ils ne savent même plus où ils se tiennent.

290 O Dieu, fais en sorte que je défende les principes d’un Homme, que mon ministère soit la Parole de Jésus-Christ. “Car les cieux et la terre passeront mais Cela ne faillira jamais. Sur ce Rocher je bâtirai mon Eglise; les portes de l’enfer ne prévaudront point contre Elle”. Levons-nous.

    Béni soit le lien qui unit
    Nos coeurs dans l’amour chrétien;
    La communion des esprits fraternels
    est semblable à celle d’En haut.

    Unissons maintenant nos mains à celles d’une autre personne.

Lorsque nous devons nous séparer,
Cela nous fait souffrir;
Mais nous serons toujours unis pas le coeur,

    Et nous avons l’espoir de nous retrouver.

Jusqu’à ce que nous nous retrouvions!
Jusqu’à ce que nous nous retrouvions aux pieds de Jésus!
Jusqu’à ce que nous nous retrouvions!
Que Dieu soit avec vous jusqu’à ce que nous nous retrouvions!

291 Inclinons nos têtes maintenant, tandis que frère Neville va clôturer par un mot de prière.

292 Soyez de retour ici ce soir. Nous nous attendons à un grand service ici ce soir au Tabernacle. Que Dieu vous bénisse. Et priez pour moi; je prierai pour vous.

293 Mes amis, ne pensez pas que je suis un fanatique. Ne croyez pas que j’essaye de vous pousser à faire quoi que ce soit. Je vous aime. Et j’ai un principe, c’est la Bible. Pas une Parole ne peut en être retirée. Pas une parole ne peut y être ajoutée. Et je La crois telle qu’elle a été écrite.

294 Inclinons nos têtes maintenant et notre bon et fidèle pasteur va congédier l’assemblée. Que Dieu vous bénisse, frère Neville