IL PREND SOIN. ET VOUS?

(He Cares. Do you care?)

 

21 juillet 1963, matin
Branham Tabernacle
Jeffersonville — Indiana, U.S.A.

 



[Le verbe «to care» qui a été traduit en général par «prendre soin» ou «se soucier» a en réalité une signification bien plus étendue: «se soucier, s’inquiéter, s’occuper, prendre soin, aimer, avoir un penchant pour…» qui est presque toujours présente dans cette prédication — N.d.T.].

 

Merci frère. Maintenant restons encore un moment debout pour prier. Gardons nos têtes baissées. Si des requêtes ont été présentées en les exprimant ou simplement en levant la main, veuillez lever la main pour présenter votre requête.

Notre Père céleste, nous nous approchons encore une fois de Toi pour Te présenter ces requêtes: vois ces mains levées. Et ce matin, Seigneur, ils sont dans le besoin pour bien des choses. Tu connais les pensées de leur coeur car Tu es la Parole et la Parole discerne les pensées et les intentions du coeur. Et je Te prie, ô Dieu plein de grâce, de répondre à chacun d’eux selon leurs besoins, sachant que Tu feras selon leur foi. Donne-nous la foi quand nous annoncerons Ta Parole, Seigneur, qu’Elle puisse leur apporter la foi. Aide-moi à annoncer Ta Parole (car Ta Parole est la vérité) afin qu’Elle puisse amener une foi telle que Tu puisses répondre à leurs requêtes. Seigneur, il y en a peut-être ici quelques-uns qui sont sortis du chemin étroit et qui ne marchent pas dans la vérité du chemin. Nous Te prions, Père, que quelque chose soit fait aujourd’hui et révélé afin qu’ils reviennent vite sur ce chemin de communion avec Christ. Il se fait tard, le mal est partout, il y a une grande apostasie. Et nous Te prions, Père, de Te faire connaître à nous aujourd’hui par la guérison des malades qui sont au milieu de nous et en faisant des miracles. Ce n’est pas que Tu sois obligé, Seigneur, de nous faire connaître que Tu es Dieu, mais c’est parce que Tu l’as promis. Et nous savons que Tu nous accorderas Tes promesses si seulement nous les croyons et que nous connaissons qu’elles sont la vérité. Nous demandons ces faveurs au Nom de Jésus-Christ. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

Je vais juste prendre un moment pour lire quelques-unes des requêtes qui ont été déposées ici (il y en a deux ou trois dont l’une est une demande de prière). Il y a bien sûr quantité de mouchoirs posés ici sur lesquels nous nous réjouissons de pouvoir prier dans un moment, quand nous sentirons que la présence du Saint-Esprit est à son sommet. C’est alors que j’essaie de prier sur ces mouchoirs quand toute l’assemblée, quand tous sont oints de Sa présence.

Nous sommes vraiment désolés qu’il y en ait tant qui doivent rester debout parce qu’il n’y a pas assez de place pour que tous puissent s’asseoir. Et nous sommes dans les jours les plus chauds de l’année; la chaleur est à son maximum! Quand il fait pas loin de quarante degrés et qu’avec cela l’humidité est voisine de cent pour cent, cela donne un temps très chaud et moite.

Ce matin j’ai annoncé un service de guérison. La raison pour laquelle je fais ces services de guérison, c’est que je mets ma foi dans ce qu’Il a promis. Vous voyez? Je ne peux pas dire simplement qu’Il le fera, mais je crois qu’après avoir entendu Sa Parole et pouvant ainsi fonder notre foi sur ce qu’Il a promis, nous avons le droit de réclamer Ses promesses de guérison exactement comme nous le faisons pour Ses promesses de salut.

Pour ces requêtes, je ne sais pas s’ils ont mis les enregistreurs en marche. Cela pourrait être bien de le faire. Eh bien, je crois que ce sera très bien pour ceux de l’extérieur, pour ceux qui écouteront ces bandes d’entendre cela. Voici une requête.

Avez-vous prophétisé qu’il y aurait un million de Noirs qui seraient tués ou avez-vous simplement annoncé qu’il en serait ainsi?

Oh, vous voyez, je vous ai toujours demandé de faire très attention à ce que vous écoutez. Vous comprenez? Là-dedans il y a tellement qui n’est que le côté humain! Mais chaque fois que quelque chose sortira, cela sera annoncé comme étant «Ainsi dit le Seigneur», pour les visions comme pour tout le reste. Les visions que l’on a sur la plate-forme, et dans l’auditoire, on les produit soi-même. Ce n’est pas Dieu: c’est vous. Vous voyez? Ce n’est pas Dieu qui produit cette vision, c’est vous-même par votre foi dans un don divin.

C’est comme cette femme qui toucha Son vêtement: Il ne savait pas qui elle était ou ce qu’elle avait, mais elle, elle le savait. Vous voyez? Ce n’était pas AINSI DIT LE SEIGNEUR. Mais ce fut AINSI DIT LE SEIGNEUR lorsque Jésus lui répondit et lui dit que sa foi l’avait sauvée. Vous voyez, vous devez faire attention.

Non, je parlais simplement de Martin Luther King et de cette grande calamité qui bouleverse les gens de couleur dans le Sud. Je disais: «Si ces gens étaient des esclaves, je prendrais mon assemblée et nous irions dans le Sud pour les aider à sortir de l’esclavage». Je le ferais certainement parce que ce n’est pas Dieu qui a fait les esclaves, c’est l’homme. Nous sommes tous du même sang. Nous venons tous d’un même arbre: Adam. Dieu, par un seul sang, a fait toutes les nations. Et que notre peau soit brune, noire, jaune, rouge ou de n’importe quelle autre couleur, nous sommes tous des créatures du Tout-Puissant, vous voyez, et il ne devrait y avoir aucune différence entre nous.

10 Là-bas la question est la ségrégation dans les écoles. J’étais là-bas lors des premiers soulèvements, j’ai vu ce qui s’est passé et je sais de quoi je parle. Les gens de couleur ont de belles écoles, des écoles souvent bien meilleures que les autres. Par exemple à Shreveport, les écoles des noirs sont meilleures que les écoles des blancs. Mais quelqu’un leur a donné l’idée qu’ils devaient se mélanger ensemble. Moi je pense que c’est très bien, mais s’il y en a qui s’y opposent parmi les gens du Sud, de toute manière quelle différence cela fait-il?

11 Je pense que Martin Luther King est inspiré par des idées communistes, ce qui va conduire sûrement un million de gens vers un piège mortel. Vous voyez? Je ne dis pas que c’est le Seigneur qui me l’a dit. C’est moi qui crois cela. Et je crois qu’il ne faudrait pas faire cela. Je pense que ces gens devraient être des chrétiens et se reconnaître mutuellement comme étant frères.

12 Et maintenant le gouvernement des Etats-Unis me dit que je n’ai même pas le droit de signer un chèque qui m’est adressé personnellement! Vous voyez? Mes droits constitutionnels me sont ôtés, mais qu’y puis-je? Allons simplement de l’avant, c’est tout. Vous voyez? Et il faut passer par un autre système avant que moi, citoyen des Etats-Unis, puisse encaisser un chèque; il faut que cela passe par cette église, sinon je ne peux pas l’encaisser. Vous voyez? Ce n’est pas juste. C’est contraire à la constitution. Mais qu’y puis-je? Rien! C’est le receveur des contributions lui-même qui me l’a dit: c’est donc ainsi. Si c’est ainsi alors tant pis, laissons tomber!

13 Je pense que ce devrait être pareil pour mes frères et soeurs de couleur dans le Sud; ils ne devraient pas prendre les armes contre leurs frères et faire tout cela pour une chose de si peu d’importance. Frères, quelle différence cela fait-il si vous allez dans telle ou telle école? J’ai vu ce matin une brave femme de couleur qui m’a parlé de cette révolte qu’il y a eu là-bas à Shreveport quand ce vieux pasteur noir s’avança vers la milice et leur dit: «Laissez-moi leur parler». Alors ce pieux vieillard alla vers ceux de sa race et leur dit: «Je n’ai jamais eu honte de ma couleur. Mon Créateur m’a fait comme je suis et je n’en ai jamais eu honte jusqu’à ce matin. Mais, mon peuple, lorsque je vous vois agir ainsi, c’est alors que j’ai honte d’être un homme de couleur». La milice avait été appelée et on le hua pour le faire taire.

14 Alors une femme de couleur d’une grande distinction se leva et dit: «Je vous dis tout de suite que je ne veux pas que mes enfants soient enseignés par une femme blanche!».

   On lui demanda: «Pourquoi?».

15 Elle répondit: «Parce qu’elle ne s’intéressera pas à mes enfants comme le ferait une institutrice de couleur. D’ailleurs regardez nos écoles ici. De quoi vous plaignez-vous? Nous avons des piscines et tout ce qu’il faut dans nos écoles. Eux n’ont pas tout cela! De quoi vous plaignez-vous?». Mais les gens la huèrent et la firent taire, vous voyez.

16 Ces gens sont mal inspirés, vous voyez. C’est la raison pour laquelle je dis cela et non pas parce qu’il y aurait une prophétie quelconque à leur sujet. Je n’ai rien reçu du Seigneur les concernant. Maintenant c’est moi qui vous parle. Mais quand c’est Lui qui parle, je vous dis: «Ce n’est pas moi, c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR». Et je ne peux pas le dire tant qu’Il ne me le dit pas. Peut-être que je me trompe complètement au sujet de Martin Luther King. Je ne sais pas, je ne peux rien dire. C’est simplement mon opinion. Toutes ces choses qui causent des troubles, c’est ce qui doit arriver dans les derniers jours. Et tout cela est inspiré par Satan afin de détruire la chose publique et tout ce que nous avons: c’est le but de tous ces soulèvements. Mais je suis pour ces gens là-bas; ne pensez pas que je suis contre eux! Je suis pour la liberté et toutes ces choses, mais ces gens ne sont pas dans l’esclavage. Mais je crois que ce qui va se passer si personne ne l’arrête, c’est que cela déclenchera une nouvelle révolution. Vous comprenez, ce sont les communistes qui agissent parmi ces gens.

17 J’étais en Afrique lorsqu’ils firent la même chose. Vous voyez? Et je sais que des communistes étaient venus dire à ces gens de couleur: «Oh, vous êtes ceci et cela! Vous êtes ceci et cela!». Et le premier résultat fut la mort de milliers de personnes. Où cela les a-t-il menés? Nulle part. Vous voyez, nulle part!

18 J’aime la vie de l’homme. Servons le Seigneur! Notre royaume est d’En-Haut; nous n’avons rien dans les choses d’ici-bas. Du moment que nous avons à manger et à boire et les choses nécessaires à la vie d’ici-bas, que pouvons-nous désirer de plus? Vous comprenez? Je sais ce que cela donne: je me rends compte que cela ne fait que causer du trouble. Mais voici encore une autre question:

Pourquoi, lorsque Jésus rencontra Jean-Baptiste au Jourdain, Il lui dit: “Laisse faire maintenant, car il est convenable que nous accomplissions ainsi tout ce qui est juste?”. Qu’est-ce que cela signifie?

19 Cela me rappelle un ami personnel, le docteur Roy Davis qui me baptisa la seule fois où j’aie jamais été baptisé. Je me rappelle que dans leurs écoles ils enseignent que Jean était conscient qu’il n’avait jamais été baptisé lui-même, alors il permit d’abord que Jésus le baptisât. En cela je ne suis pas d’accord avec ce grand docteur.

20 Je ne veux pas susciter de controverse, mais pour l’amour de la vérité je dois dire ceci. Il y avait là deux hommes, les deux chefs spirituels de l’heure: le Messie et Son prophète. Ils se rencontrèrent dans l’eau. Rappelez-vous maintenant que Jean ne baptisait pas pour la rémission des péchés mais pour la repentance. Il ne baptisait pas pour la rémission des péchés parce que l’offrande n’avait pas encore été faite, vous comprenez, il n’y avait pas encore de sacrifice. Et le Sacrifice vint à lui dans l’eau. Maintenant remarquez ceci: Jean, levant les yeux et voyant Jésus dit: “C’est moi qui ai besoin d’être baptisé par Toi et Tu viens à moi!”.

21 Mais Jésus lui répondit: “Laisse faire maintenant, car il est convenable que nous accomplissions ainsi tout ce qui est juste”. Or Jean était un prophète à qui la Parole de Dieu venait, car Elle ne vient qu’au prophète. C’est pourquoi Jean, étant prophète, comprit que c’était là le Sacrifice. Et selon la loi le sacrifice devait être lavé avant d’être présenté. C’est la raison pour laquelle il baptisa Jésus. Vous comprenez? Il dit: “Il est convenable que nous accomplissions tout ce qui est juste”. Le Sacrifice (ce qu’Il était) devait être lavé dans le bassin avant d’être présenté pour être sacrifié. Jésus était le Sacrifice et Jean le savait; Il savait qu’Il devait être lavé avant d’être présenté. Et immédiatement après, Il fut présenté au public pour le jugement et fut le Sacrifice pour toute vie humaine. Que le Seigneur vous bénisse.

22 Maintenant nous allons vous donner un court petit message en croyant que le Seigneur nous accordera Ses bénédictions. La semaine prochaine je vais m’en aller dans les montagnes avec les enfants pour prendre quelques vacances. Si je reviens à temps, nous parlerons ici dimanche prochain, si Dieu le permet et si le pasteur le veut bien. Nous le ferons savoir par lettre dans le courant de la semaine à ceux de l’extérieur. Je voudrais parler sur ce sujet: Pourquoi exactement croyons-nous les choses que nous croyons au sujet de Christ, pourquoi cela doit-il être ainsi et que cela ne peut pas être autrement. Vous voyez? Et nous le prouverons par les Ecritures. Donc si le Seigneur le permet. Si ce n’est pas possible, j’essaierai de vous voir cet hiver ou l’été prochain quand nous rentrerons, si le Seigneur tarde jusque-là. Nous allons maintenant rentrer en Arizona pour ramener les enfants à l’école.

23 Ce matin, avant de prier pour les malades, nous allons lire un peu de la Parole de Dieu. Nous savons que sans cette Parole, c’est impossible, rien ne peut se faire. Et seule la Parole peut produire ces bénédictions que nous demandons pour les malades et les nécessiteux. Je veux lire un passage dans 1 Pierre au chapitre 5. Nous commencerons au premier verset. Nous lirons ensuite dans le Livre des Hébreux. Nous lirons Hébreux 2.2-4.

“Voici les exhortations que j’adresse aux anciens qui sont parmi vous, moi, ancien comme eux, témoin des souffrances de Christ, et participant de la gloire qui doit être manifestée: Paissez le troupeau de Dieu qui est sous votre garde, non par contrainte, mais volontairement, selon Dieu: non pour un gain sordide, mais avec dévouement; non comme dominant sur ceux qui vous sont échus en partage, mais en étant les modèles du troupeau. Et lorsque le souverain pasteur paraîtra, vous obtiendrez la couronne incorruptible de la gloire.

De même, vous qui êtes jeunes, soyez soumis aux anciens. Et tous, dans vos rapports mutuels, revêtez-vous d’humilité; car Dieu résiste aux orgueilleux, mais il fait grâce aux humbles. Humiliez-vous donc sous la puissante main de Dieu, afin qu’il vous élève au temps convenable; et déchargez-vous sur lui de tous vos soucis, car lui-même prend soin de vous”.

24 C’est de là que je tirerai le titre de ma prédication: Déchargez-vous sur Lui de tous vos soucis. Mon sujet sera: Il prend soin. Et vous? Nous allons maintenant lire dans Hébreux au chapitre 2.1-4 afin que vous puissiez bien comprendre la signification de ces mots, de ce sujet.

“C’est pourquoi nous devons d’autant plus nous attacher aux choses que nous avons entendues, de peur que nous ne soyons emportés loin d’elles. Car si la parole annoncée par des anges a eu son effet, et si toute transgression et toute désobéissance a reçu une juste rétribution, comment échapperons-nous en négligeant un si grand salut qui, annoncé d’abord par le Seigneur, nous a été confirmé par ceux qui l’ont entendu, Dieu appuyant leur témoignage par des signes, des prodiges et divers miracles, et par les dons du Saint-Esprit distribués selon sa volonté?”.

25 Je voudrais parler sur ce sujet: Il prend soin. Et vous? Quand Il était ici sur terre Il prenait soin des gens. Cette pensée m’est venue à l’esprit juste avant de commencer la prière pour les malades, ne sachant pas quel genre de ligne de prière nous allions avoir.

26 Pour commencer et pour s’approcher de cela, l’assemblée doit être ointe de foi. Vous-mêmes si vous n’avez pas la foi, il ne sert à rien de venir pour que l’on prie pour vous parce qu’il faut qu’il y ait votre foi et ma foi ensemble. Ma foi pour croire en Lui, votre foi pour croire en Lui. C’est pourquoi nous n’oublierons pas cela tandis que je parlerai. Nous avons besoin de quelque chose d’évident sur quoi fonder notre foi dans ce que nous allons faire. Parce que si un homme veut entreprendre ce qu’il désire faire sans une foi suffisante, il ne peut rencontrer qu’un échec. Par contre, s’il peut entreprendre quelque chose avec une foi suffisante, il ne peut avoir que du succès si c’est conforme à la volonté et au plan de Dieu.

27 Je pensais à la manière dont Il prend soin de nous. Hier soir, je fus conduit d’une manière étrange par le Saint-Esprit. J’attendais quelques personnes qui devaient venir pour aider le frère Wood à accrocher à son camion une roulotte qu’il avait construite. Je ne savais pas pourquoi je me mis à la recherche de mon cher ami, frère Evans, et je partis sur la route. Ma femme et ma famille qui sont assis là-bas au fond savent que c’est vrai. Sans bien comprendre pourquoi je fis demi-tour et retournai à un endroit où il y avait un motel.

28 Et oh, comme cela fit tressaillir mon coeur de joie lorsque je vis se rassembler là des amis en si grand nombre qu’au bout de deux minutes au plus tous les passages étaient encombrés de voitures au point que personne ne pouvait plus passer. Tous ces gens étaient de vrais amis qui avaient roulé des centaines de miles, venant de Géorgie, de Tennessee, de l’Alabama et de partout pour assister à la réunion. Alors une pensée me vint à l’esprit: «Que vais-je dire à ces gens sachant que le jour du jugement j’aurai à répondre de ce que je leur aurai dit?». Moi aussi j’aime cette vie glorieuse qui doit venir et je désire être là.

29 Assez étrangement, au lieu d’aller là directement, j’ai fait un détour. Mes phares éclairèrent deux jeunes femmes qui se tenaient à l’extérieur. Il n’y avait pas longtemps que j’avais célébré leur mariage à deux jeunes pasteurs, de braves gens. Mais Satan s’était attaqué à l’un d’eux. Un de ces deux pasteurs s’était uni à sa compagne pour la vie ici même à cet autel. Ils étaient partis heureux en voyage de noce et c’est là que l’ennemi assaillit ce jeune homme. Si je vous dis tout cela c’est pour illustrer mon sujet: «Est-ce qu’Il prend soin de nous?». D’une manière ou d’une autre, avec une foi qui ne voulait pas répondre «non» à cette question, ils avaient fait demi-tour et étaient revenus ici (ils avaient été jusque dans l’Est du pays), interrompant leur lune de miel. Ils étaient assis là et attendaient. En entrant je vis ce brave jeune homme; sa femme était assise dehors, toute en pleurs, avec sa compagne. Alors arrivèrent l’autre homme et l’autre frère qui était un ami de ce jeune homme et ils me dirent: «Oh, frère Branham, il est arrivé telle ou telle chose».

30 Je voyais ce brave jeune homme assis là; il était au point culminent de sa vie, c’était un chef parmi les jeunes gens, et il était là, assis, et Satan l’avait lié. Il ne remarqua pas que je lui serrai la main droite dans ma main gauche pour voir si quelque maladie l’avait frappé. Mais je ne ressentis aucun signe de vibration. Je venais de sortir de la pièce après avoir prié et jeûné, m’attendant au Seigneur; l’onction du Saint-Esprit était là et c’est pourquoi Elle nous conduisit, vous voyez. Alors je vis cette ombre de ténèbres au-dessus de lui. Je ne lui dis pas ce que j’étais en train de faire, mais en quelques instants tout fut terminé, le froid de ses mains s’était dissipé et il criait et louait Dieu. En quelques minutes il s’était retrouvé. Ils sont ici ce matin, assis dans cette salle. Vous voyez comment Satan essaya de renverser ce jeune homme en lui parlant de quelque complexe qui allait revenir; mais le Saint-Esprit connaissait cela et je le vis dans une vision que me donna le Seigneur. Dieu aimait cet homme. Dieu avait pris soin de ce jeune homme.

31 Il y a juste quelques instants une dame est entrée (je vois qu’elle a pu trouver une place et s’asseoir). Elle m’a dit: «Neuf ans, frère Branham!». Il y a neuf ans que j’essaie de vous atteindre! Je suis désespérée! Je suis venue en retard et je n’ai même pas pu obtenir une carte de prière pour être dans la ligne!».

32 Bien sûr, Billy a reçu l’ordre de faire en sorte que je ne sois pas dérangé. Ne lui en voulez pas, il a été chargé par le conseil de l’église de faire ce qu’il fait. S’il ne le faisait pas, je ne pourrais même pas entrer et m’approcher de la ligne de prière. Vous comprenez bien cela. Il faut bien que nous fassions les choses un peu systématiquement. Nous devons faire ainsi. Mais lui me dit: «Viens, papa, dépêche-toi!».

33 La dame revint en arrière et dit: «Frère Branham, juste un mot!». Comme je me tenais là, une vision me vint. Je vis une jeune femme de belle apparence; je vis qu’il y avait un fardeau sur son coeur. Elle essayait de travailler pour vivre. Une chose importante lui était arrivée du temps où elle vivait encore avec ses parents; le Seigneur Jésus me le révéla et me montra de quoi il s’agissait. Et à l’instant même Il l’ôta de cette femme. Elle s’en alla dans la joie. Et maintenant elle est assise ici dans cette salle, elle se réjouit, ses larmes coulent et elle s’essuie les yeux car elle sait que la vérité au sujet de cette chose a été révélée. Cette pauvre femme névrosée qui était si nerveuse qu’elle ne savait plus que faire d’elle-même, qui pensait qu’elle était perdue, qu’il n’y avait pas de Saint-Esprit et que ce jour était son dernier jour! Elle avait essayé pendant neuf ans et elle avait touché le fond du désespoir. Mais Dieu prit soin de cette femme dont personne ne voulait prendre soin. Vous voyez? Quel jour glorieux! Dieu prend soin de nous!

34 Quand Il était ici sur cette terre, comme je l’ai déjà dit, Il aimait tellement les gens qu’Il guérissait les malades, réconfortait les coeurs et leur disait qu’Il allait leur préparer une place et qu’Il reviendrait pour les recevoir auprès de Lui. Il prenait soin d’eux, Il les aimait tellement que, sachant qu’Il allait devoir les quitter pour nous donner cette chose glorieuse, Il dit: “Je ne vous laisserai pas sans consolation, mais Je vous enverrai le Saint-Esprit et Il continuera Mes soins pour vous”, et ceci jusqu’à Son retour. Personne n’aime et ne prend soin comme Jésus, sachant que Son Corps, en tant que Souverain sacrificateur dans l’oeuvre médiatrice qu’Il est en train d’accomplir maintenant, que ce Corps doit être dans la Présence de Dieu en tout temps pour faire l’intercession, afin que Dieu ne puisse pas voir le péché du pécheur mais qu’Il voie seulement le Sang de Son propre Fils. Sachant cela, Il a envoyé le Saint-Esprit pour continuer à réconforter Son peuple. Prend-Il soin de nous? Certainement! Or Il allait continuer à prendre soin de Son peuple, Son peuple qui est ici sur la terre, de la même manière qu’Il s’occupa d’eux quand Il était ici. Parce qu’Il l’a dit dans Jean au chapitre 15. Si vous voulez le noter, c’est dans Jean 15.26,27.

35 Je vois que vous êtes nombreux à noter les passages de l’Ecriture. Il vaut donc la peine que je vous cite les références bibliques si vous ne les connaissez pas. Je note les passages de l’Ecriture dont je parle, ainsi je sais d’où viennent ces passages parce que tout vient de la Parole de Dieu. Vous comprenez?

36 Il dit que lorsque serait venu le Saint-Esprit que le Père enverrait en Son Nom, Il lui rendrait témoignage. En d’autres termes, Il ferait la même chose que ce qu’Il avait fait alors. Le Saint-Esprit viendrait faire Son oeuvre au travers d’un tabernacle sanctifié par Lui et ferait les mêmes oeuvres que Lui. Oh, que cela ne devrait-il pas nous faire! C’est pourquoi nous savons qu’au milieu de nous aujourd’hui nous avons le même Consolateur, le Seigneur Jésus sous la forme du Saint-Esprit, une autre fonction dans laquelle Dieu Lui-même agit.

37 Il était un Consolateur pour Israël quand le peuple pouvait lever les yeux et regarder vers la Colonne de feu et entendre le prophète annoncer des paroles de vérité que Dieu confirmait. Il était leur Consolateur.

38 Il était un Consolateur quand Il était ici sur terre en tant qu’homme, Dieu fait chair, Dieu Se représentant Lui-même et S’exprimant au travers d’un homme, Jésus-Christ, qui avait fait cette promesse: “Les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi. Et Je m’en vais au Père, et Je vous enverrai le Saint-Esprit qui sera Moi sous forme d’Esprit. Et Je serai avec vous et Je demeurerai en vous. Et les choses mêmes que J’ai faites ici, le Saint-Esprit les fera de nouveau en Mon Nom lorsqu’Il viendra”. Vous comprenez? C’est pourquoi Il a dit: “Parler contre cela après que l’expiation aura été faite est un péché impardonnable: c’est blasphémer contre le Saint-Esprit”.

39 Et Il l’a fait de la même manière afin que nous sachions si c’est une consolation donnée d’un point de vue terrestre, si c’est une consolation qui vient d’une personne d’âge mûr qui nous serrerait dans ses bras et nous donnerait un sentiment de réconfort, si c’est une consolation venant par un terme théologique quelconque d’une dénomination qui nous dirait: «Maintenant vous appartenez à notre groupe et nous avons la vérité. N’appartenez jamais aux autres, car ils ne l’ont pas!».

40 Vous voyez, Il nous a donné quelque chose de parfaitement sûr: “Il parlera en Mon Nom. Lorsqu’Il sera venu, vous ferez aussi les oeuvres que Je fais”. Vous voyez, Il nous consolera de la même manière en nous pardonnant tous nos péchés, en guérissant toutes nos maladies et en nous parlant de la consolation d’un Royaume à venir. Vous voyez, Il Se confirmera au milieu de nous comme Dieu S’est confirmé au milieu de nous par Jésus-Christ. Dans 1 Timothée 3.16 il est écrit ceci: “Sans contredit le mystère de la piété est grand: Dieu qui a été manifesté en chair…”. Nous avons vu Dieu dans la chair. C’est cela la consolation de Dieu: savoir qu’Il nous aimait tant qu’Il S’est abaissé jusqu’à devenir l’un de nous; c’est ainsi qu’Il a pris soin de nous. Ce n’était pas simplement une autre personne, mais Dieu Lui-même!

41 Et pour S’approcher d’un pas encore, Il envoie le Saint-Esprit pour veiller à ce que nous soyons consolés, et Il demeure EN nous. Oh, comme Il prend soin de nous!

42 Maintenant, pour étayer cela, nous devons encore voir un autre passage de l’Ecriture, une autre pensée. Avant d’aller plus loin je devrais dire ceci: tous n’ont pas ce Consolateur. Il y en a qui ne L’ont pas. La raison pour laquelle ils ne L’ont pas est qu’ils ne L’acceptent pas. Il est pour eux, mais ils ne L’acceptent pas. J’espère que vous êtes assez spirituels pour comprendre ce que je vous dis. Vous voyez? Je suis en train de parler à un groupe de gens pour qui nous devrons prier dans quelques minutes. Et nous avons cette consolation dans le Saint-Esprit qui a envoyé le Consolateur, mais tous ne veulent pas Le recevoir. Ils n’y croient pas. Vous comprenez? Pour leur consolation ils ont d’autres ressources, d’autres moyens. S’ils n’acceptent pas le Consolateur fourni par Dieu il faut qu’ils aient alors quelque autre consolateur: vous ne pouvez en effet vivre sans quelque chose pour quoi vous vivez.

43 J’espère que chacun de vous comprend cela, particulièrement vous les malades pour qui nous allons bientôt prier, vous qui êtes dans une situation si inconfortable ce matin et dont quelques-uns peut-être souffrent de maladies pour lesquelles les médecins ne peuvent rien faire.

44 Nous croyons que les médecins aident les gens. Je crois que Dieu guérit au moyen de la médecine. Que Dieu guérit par la chirurgie. Dieu guérit par la compréhension. Dieu guérit par l’amour. Juste un tout petit peu d’amour peut faire beaucoup. Si quelqu’un est tout sens dessus-dessous, montrez-lui simplement que vous vous souciez de lui. Vous voyez? Dieu guérit par l’amour. Dieu guérit par la prière. Dieu guérit par les miracles. Dieu guérit par Sa Parole. Dieu guérit! Quelle que soit la source à laquelle vous puisez, Dieu guérit par elle. C’est Dieu qui guérit car Il a dit: “Je suis le Seigneur qui guérit toutes tes maladies”. C’est pourquoi tous devraient agir ensemble; les hommes dans les différents ministères devraient travailler ensemble à cela. Vous comprenez? Mais ils ne le font pas parce que quelquefois il leur est interdit de prendre certaines positions sur la Parole de Dieu; en effet certaines dénominations ne leur permettent pas de faire cela. Mais de toute façon cela n’arrête pas la vérité et Dieu continue à guérir pareillement.

45 Ils essaient donc de tirer leur consolation d’autres sources. Parlons de l’âme pour commencer.

46 Nous savons que bien des gens cherchent une consolation dans la boisson. Il y a un fait bien connu aujourd’hui, c’est que de nombreux prédicateurs boivent quelquefois avant de monter en chaire. Ils boivent une bonne quantité d’alcool qui les enivre. On a vu des prédicateurs monter en chaire en titubant sous l’influence de l’alcool. Cela ne devrait pas se passer. Cela ne devrait pas exister. Cela vient de ce que nous condamnons souvent l’homme au lieu de chercher ce qui le tourmente. Beaucoup d’entre eux sont des alcooliques convertis. S’ils se conduisent ainsi, c’est une honte et un opprobre. Mais pas plus que s’ils mentaient, volaient, convoitaient les femmes ou quoi que ce soit d’autre qui est condamné dans le commandement. Vous comprenez? Si un homme naît avec beaucoup de tempérament, lorsqu’il voit toutes ces strip-teaseuses dans la rue, cela le trouble continuellement. Comprenez-vous cela? L’homme, lui, est né ainsi. Ce qu’il devrait faire, le prédicateur qui boit, ce qu’elle devrait faire, la femme qui fume ou qui…

47 Elle s’habille immoralement, essayant de tirer une consolation du fait qu’elle est si bien faite; elle essaie de faire en sorte que les hommes la regardent. Il n’y a pas d’autre raison. Elle est partiellement aliénée. Aucune femme normale ne voudrait se déshabiller devant un homme si elle est dans son bon sens. Vous comprenez? Elle n’aurait aucune raison de le faire. Mais ces toutes jeunes filles qui se promènent dans la rue aujourd’hui, ce qu’elles essaient de faire… ce sont de vraies… pardonnez-moi l’expression. Et rappelez-vous que cette bande n’est pas seulement pour les gens d’ici mais qu’elle va aller dans le monde entier. Vous comprenez?

48 Une femme se dévêt parce qu’elle pense qu’il fait trop chaud. Elle sort nue au soleil puis elle sort en ville vêtue. Lequel des deux est le plus frais? Chez les Indiens Papagos et Navajos, spécialement chez les Papagos, là-bas dans les réserves, leurs femmes se couvrent de grandes couvertures tissées et s’asseyent au soleil pour se rafraîchir. Pourquoi font-elles cela? Elles transpirent et le vent en soufflant leur fait un conditionnement d’air, vous comprenez. Mais pour ce qui est de nos femmes blanches, elles n’ont pas d’autre raison que… elles ne le voient pas, elles ne s’en rendent pas compte. Je ne dis pas qu’elles s’en rendent compte! Beaucoup d’entre elles sont de très braves femmes et je ne dis pas ces choses pour être dur avec elles. Je le fais pour essayer de les réveiller, vous comprenez?

49 Tout cela ne vient que de Satan, vous voyez. Tout cela a une telle influence sur l’autre sexe, sur les hommes, que cela leur fait donner de grands coups de frein bruyants et émettre de longs sifflements admiratifs. Pourquoi font-ils cela? Les femmes font tout ce qu’il faut pour les faire se comporter ainsi. Pourquoi sortez-vous à quatre heures de l’après-midi en pleine chaleur pour tondre votre gazon, à l’heure même où les hommes rentrent du travail? Cela démontre un esprit d’insanité! J’en connais qui ont un quotient intellectuel infiniment supérieur au mien, mais moi, c’est avec la Parole de Dieu que je mesure votre quotient intellectuel pour voir ce qu’il donne. Vous comprenez? Ce quotient intellectuel est quelque chose de moderne, mais ce qui compte, ce sont le témoignage et les fruits de la vie. Mais voilà pourquoi elles essaient de trouver une consolation.

50 Beaucoup diront: «Oh, moi je ne fais pas cela!». Mais vous vous habillez de manière à être plus à la mode que la femme qui s’assiéra à côté de vous dimanche prochain, vous tâcherez de porter un plus beau chapeau ou des vêtements un peu mieux qu’elle parce que vous, vous en avez les moyens. Vous comprenez? Vous voyez, le péché descend jusque-là. Elles essaient de trouver une consolation en faisant ainsi.

51 Les choses en sont arrivées à un point tel que toute notre nation est touchée par cet état d’esprit et non seulement notre nation, mais le monde entier. Je pourrais dire encore bien des choses, mais à cause du service de guérison nous devons gagner du temps. Je pourrais parler longuement là-dessus, mais je ne le ferai pas. Je suis sûr que vous comprenez ce que je veux dire. Cet esprit a frappé le monde politique, la vie politique, la vie sociale et la vie morale de tout le pays et de tous les peuples de la terre. Cela est arrivé à un point tel qu’un homme ne veut plus être politicien que pour avoir le titre d’être un politicien. Avec l’argent qu’ils ont ils peuvent attirer les votes, louer des machines, etc. et dépenser des millions de dollars juste pour avoir le nom d’être un grand politicien. On a dit assez de choses là-dessus et vous savez de quoi je parle.

52 Et pour ce qui est de la vie sociale! Les gens essaient de se rassembler dans cette vie sociale démente. N’allez pas me dire que le monde n’est pas fou de faire les choses comme il les fait! C’est certain. C’est un monde névrosé. Et la grâce de Dieu est le seul moyen pour nous d’y échapper. Remarquez que dans la vie sociale les gens en sont arrivés à se grouper par petits clans où chacun dit: «Notre groupe est mieux que l’autre!». Vous voyez? C’est ainsi que cela se passe. Et cela a atteint la moralité du peuple à un point tel que, mes amis, je ne crois pas que dans le monde le sens du mot «moralité» soit aujourd’hui connu de plus de dix pour cent de la population. Le monde ne sait même pas ce que signifie le terme «moralité». Il en a perdu le sens: il y a eu une telle tromperie dans la morale!

53 Satan est très subtil, vous savez. Il rend les choses si aisées, si subtiles, un petit peu ici, un petit peu là, et il laisse les choses suivre leur cours. Il a tout le temps! Alors il pousse un petit peu ici et un petit peu là et petit à petit les gens entrent dans ces choses. Lorsque j’étais un garçon de seize ans, que serait-il arrivé à une femme qui se serait promenée dans la rue en faisant son strip-tease comme elles le font aujourd’hui? On l’aurait mise en prison! Si c’était mal autrefois, c’est encore mal aujourd’hui. Vous comprenez? Mais vous voyez, Satan a juste commencé par raccourcir les jupes un petit peu, puis il a abaissé le haut un petit peu jusqu’à ce que quelqu’un finisse par créer quelque chose qui aille encore plus loin que le bikini et revienne à la simple feuille de figuier. Souvenez-vous bien de cela! C’est vrai, cela reviendra comme au commencement. D’ailleurs nous y sommes pratiquement maintenant.

54 Et nous voyons que toutes ces choses arrivent parce que les gens cherchent une consolation. Ils essaient de trouver quelque chose qui les… Rappelez-vous que votre consolation, c’est elle qui est votre religion, et que vous faites de ces choses votre religion. Vous comprenez? Quel dommage quand vous réalisez que la mort est juste devant vous, vous voyez? Cela est arrivé au point qu’il semble qu’il ne reste plus à ce peuple le moindre fondement solide sur lequel bâtir quoi que ce soit.

55 Permettez-moi de vous demander quelque chose. On ne peut pratiquement rien croire d’autre que la Bible. Nous avons toujours Christ, que Dieu en soit loué! Vous comprenez? On ne peut pas croire n’importe quoi. Quand vous allumez votre télévision (ceux qui en ont une) et que vous voyez la publicité, eh bien, si quelqu’un essayait d’appliquer ne serait-ce qu’un centième de ce qu’ils disent, il mourrait dans la semaine! On ne pourrait pas faire cela. Un certain fabricant vante un certain produit et dit: «Achetez celui-ci et pas celui-là!». Mais c’est la même maison qui le fabrique… et dans une autre émission on entend l’inverse! Et tout le peuple américain tombe dans le piège, et cela à un point tel que tout est pourri et qu’il n’y a plus aucun espoir. Plus personne ne sait plus ce qu’il faut croire. Mais dans quelques instants, si vous désirez une consolation et si le Seigneur le permet, je vous dirai où la trouver.

56 Les gens mentent, trichent, volent au point que vous êtes presque obligé de donner une caution pour emprunter cinq dollars à quelqu’un. Vous savez, la Bible dit que dans les derniers temps il n’y aurait plus d’amour, si ce n’est parmi le peuple élu. C’est vrai. L’Ecriture en parle, disant que le mari se dresserait contre sa femme et la femme contre son mari, que les enfants se dresseraient contre leurs parents, etc. Il ne restera plus d’amour que parmi les élus du Seigneur.

57 Les églises ont suivi la même voie: elles l’ont empruntée à la vie sociale. Elles ont introduit dans l’église leur vie sociale, leur politique et tout le reste jusqu’à ce qu’il y ait une telle confusion dans l’église qu’elle ne sait plus que faire. Ils ont introduit la politique dans l’église. Ils ont introduit leur vie sociale dans l’église, leurs activités sociales, lotos et autres, leurs soupers et leurs danses et tout le reste, tout cela dans la maison du Seigneur. C’est une pitié! Ils vous répondront: «Nous ne le faisons pas dans l’église, mais dans L’ANNEXE!».

58 Rappelez-vous que c’est aussi dans l’annexe que Jésus frappa les marchands et les chassa avec leur marchandise en leur disant: “Il est écrit: Ma maison sera une maison de prière, mais vous, vous en avez fait une caverne de voleurs!”. Vous comprenez? C’est mal, et peu importe qui le fait! L’église n’est pas tellement la salle mais plutôt les gens qui sont dans la salle. Et si ces gens se réjouissent dans ces pratiques, c’est mal. Mais ce sont eux qui les ont introduites.

59 Nous voyons que les églises aussi promettent toujours quelque chose comme le fait la télévision, mais elles ne tiennent jamais ce qu’elles ont promis. J’ai souvent cité ce vieux dicton: «L’homme est toujours en train de louer Dieu pour ce qu’Il a fait, de louer Dieu pour ce qu’Il fera (se réjouissant de ce qu’Il va faire), mais il méconnaît ce qu’Il est en train de faire». Vous voyez, ils passent à côté. C’est ainsi qu’ils entrent bientôt dans l’histoire comme des gens souillés parce qu’ils ont manqué de reconnaître le moment présent. Vous pouvez parler de la consolation que Christ donna autrefois et de celle qu’Il donnera dans les âges à venir, mais refuser la consolation qu’Il a préparée pour vous ici maintenant. Vous comprenez? Et c’est sur cette même base que nous avons découvert ces choses qui sont devenues quelque chose de glorieux.

60 Et cela a été jusque dans les églises de Pentecôte. Cela est devenu le domaine de la Pentecôte: ils sont toujours en train de promettre quelque chose à quoi ils ne peuvent jamais parvenir. Chacun a des sensations différentes et juge si c’est scripturaire ou non, et ils promettent des choses qu’ils ne peuvent jamais tenir; cela va jusqu’au point où il semble qu’il n’y ait plus la moindre sincérité. Les gens ne peuvent pas aller jusqu’au fond de la sincérité. Le mot sincérité lui-même a perdu sa valeur pour les gens. Ou plutôt ce sont les gens qui, par leur manière de vivre, lui ont fait perdre son sens. Mais ils ne semblent pas le comprendre.

61 Cela se retrouve jusqu’à notre confession! Maintenant je voudrais que tous, que vous soyez ici ou que vous écoutiez l’enregistrement, vous écoutiez très attentivement ce que je vais dire.

62 A moins que vous ne soyez profondément sincère (et vous ne pouvez pas être sincère à moins de comprendre parfaitement), si vous présumez, supposez ou espérez il ne peut y avoir la profondeur de sincérité que Dieu requiert. La foi n’est pas un «j’espère que» ou un «peut-être que c’est juste». Cela doit être un «amen!» absolu. C’est votre absolu. C’est la chose à laquelle vous êtes lié. Vous comprenez? Vous devez arriver jusqu’à votre absolu qui vous dit que «c’est la vérité et rien que la vérité et il faut qu’il en soit ainsi». Et quand vous réalisez cela dans votre pensée, vous devez vous en approcher de toute votre vie, de toute votre âme, de tout votre corps, de tout ce qui est en vous et tout vendre pour cela. Jésus dans Sa grâce nous a parlé de l’homme qui avait trouvé une perle d’un grand prix et qui vendit tout le reste pour l’obtenir. Toutes les vérités et tout ce qu’il avait, bien que ce fussent de bonnes perles… mais celle-là était tout pour lui. Et quand vous découvrez l’Absolu de Dieu, Sa Parole qui vous fait une promesse pour quelque chose, vous devez savoir premièrement que c’est la Parole de Dieu et que la chose que vous voyez en train de se faire vient de Dieu. Il n’y a pas de «peut-être que… il est possible que… il semble que cela pourrait bien être…». Non: «C’est Dieu!». Alors quand vous en arrivez à ce point, quand vous voyez qu’il y a là la Perle d’un grand prix, vous devez vous séparer de tout ce que l’on vous dira de contraire à Cela. Vous ne devez pas regarder à ce que l’homme a accompli. Vous devez regarder à ce que Dieu a dit et à ce qu’Il a promis et Le voir l’accomplir: voilà votre absolu. Et tout ce que vous êtes, tout ce que vous avez été, tout ce que vous espérez être, tout cela doit être placé sur cette Chose comme s’il s’agissait pour vous d’une question de vie ou de mort à cet instant même.

63 Je crois que ce qui empêche les gens d’être guéris, c’est un manque de confession, un manque de confession sincère. Je vais vous donner un exemple qui vous semblera peut-être un peu mauvais, mais je ne voudrais quand même pas que ce soit le cas. Si j’allais vers une autre femme, que je la prenne dans mes bras et que je me mette à lui conter fleurette, je saurais après cela que j’aurais fait quelque chose de mal, de très mal. Bien sûr, mon Consolateur me gardera de faire une chose pareille, vous comprenez? Mais je fais une hypothèse, disant: si je faisais cela ou quelque chose de semblable, je sais que la première chose à faire serait de le confesser à ma femme, avant même de le confesser à Dieu en disant: «Pardonne-moi!». Parce que c’est contre elle que j’ai péché. Si vous venez à l’autel et que vous vous souvenez qu’il y a quelque chose, mettez cela en ordre avant de faire votre offrande. C’est pourquoi je devrais d’abord aller vers ma femme. Je crois que la confession c’est mettre les choses au point. Autrement ce n’est pas une vraie confession.

64 Que diriez-vous si je disais: «Je vais confesser que j’ai fait le mal. Je dirai: Bon Seigneur, ô mon meilleur Ami, Tu sais que je Te connais très bien. Dieu soit loué! Alléluia! Je pense que Tu es un bien brave Ami. Pardonne-moi! Tu sais, mon cher vieil Ami, je ne voulais pas faire cela!». Vous voyez?

65 Vous diriez: «C’est un langage sacrilège!». C’est vrai! Faire une telle confession serait un sacrilège.

66 Et si je disais: «Seigneur, je n’avais pas l’intention de faire cela, aide-moi et je ne le ferai plus». Il refuserait mon sacrifice jusqu’à ce que j’aie mis les choses en ordre avec ma femme.

67 Et si j’allais vers ma femme avec le même manque d’égards et que je lui dise: «Ma chère petite femme, mère de mes enfants, nous sommes de vieux amis. Que dirais-tu si je prenais une autre femme dans mes bras? Qu’est-ce que tu penserais de cela? Est-ce que tu me pardonnerais?».

68 Je peux m’imaginer son attitude! Elle penserait: «Qu’est-il arrivé à mon mari?». Vous comprenez? Elle commencerait par se demander si je plaisante.

69 Ce n’est pas ainsi que l’on va se confesser à son frère ou à Dieu. On y va avec une profonde sincérité, avec la sainte affliction que nous cause notre péché. Il faut pour commencer que vous soyez vraiment affligé. Je dois aller lui parler et lui dire: «Ma chérie, écoute-moi; ce que je vais te dire va peut-être changer le cours du reste de notre vie conjugale. Tu es la femme avec laquelle je vis: tu es celle que j’aime, que j’ai aimée, et combien! pendant toutes ces années. Mais dès cet instant tu peux me quitter, tu peux refuser de rester avec moi, tu peux ne plus m’accepter. Et je sais cela! Mais il faut mettre les choses en ordre et il faut que je mette cela en ordre». Je devrais aller lui parler du plus profond de mon coeur.

70 Ensuite je devrais aller dire la même chose à Dieu. Et à Dieu comme à elle je devrais dire en toute sincérité que, par la grâce de Dieu, je ne le ferais plus jamais. Vous comprenez? Il ne suffit pas simplement… Peut-être que je pourrais le cacher à ma femme et qu’elle n’en saurait jamais rien. Peut-être que mes paroles la convaincraient; mais elles ne convaincraient pas Dieu. Lui voit dans mon coeur et Il sait. D’autre part, ce ne serait l’affaire que de quelques années que nous aurions encore à passer ensemble sur cette terre, si Dieu le permet, puis nous serions de toute manière enlevés de ce monde. Mais avec Dieu il s’agit de l’éternité; c’est pourquoi je dois être profondément sincère avec Dieu. Si je suis sincère, Il m’écoutera. Mais si je ne suis pas sincère, il est inutile de Lui faire perdre Son temps à m’écouter.

71 Et c’est là où les gens en sont aujourd’hui: ils ne semblent pas avoir la profondeur de sincérité qu’ils devraient avoir.

72 Je crois qu’un homme ou une femme qui vient pour que l’on prie pour son cas devrait premièrement confesser tout ce qu’il ou elle a fait et mettre toutes choses en ordre. Parce que, remarquez ce qui se passe ici sur la plate-forme, comme le AINSI DIT LE SEIGNEUR peut aller loin! Vous comprenez? Vous voyez, les visions se matérialiseront par la foi des gens, selon leur foi, c’est certain: c’est Dieu qui l’a promis par un don. Mais la guérison est quelque chose de différent, vous comprenez; alors Dieu le reconnaît.

73 On voit donc que celui qui se confesse doit le faire avec une profonde sincérité. Je n’ai pas le temps de vous en parler en détail, mais je crois que c’était à Binghamton, près de New York. Ou bien est-ce que je me trompe? Oui, je crois que c’était à Binghamton. Cela se passait dans l’auditoire de l’Endicott Shoe Company. Oui, c’est bien là. Nous étions dans la grande salle de la fabrique de souliers Endicott-Johnson où nous avions une réunion. Un matin, un vent très froid soufflait (Billy Paul logeait dans la chambre voisine). J’avais découvert comme un manque de sincérité dans l’assemblée. Je me demandais pourquoi. Je parle ici d’un homme en particulier. Cet homme était monté sur la plate-forme et avait été guéri d’une grave maladie. Mais cinq jours plus tard, avant que nous nous en allions, la maladie était revenue. Vous voyez? Parce qu’en présence du Saint-Esprit cette maladie était sortie de lui. Exactement comme avec cette jeune femme ici dans la cour il y a quelque temps et ce jeune homme hier soir. Il faut qu’il y ait une profonde sincérité pour savoir que le Dieu qui peut ôter cela de vous peut, avec la même onction, le garder éloigné de vous. Vous comprenez? Et un matin à l’aube, le Saint-Esprit me parla, disant: «Monte sur la plate-forme ou là où tu dois aller, et fais confesser à ces gens tout ce qu’ils ont fait avant de prier pour eux». Vous voyez? La profondeur de la sincérité!

74 Si le monde ne se repent pas, il périra. Vous comprenez? C’est d’une confession que le monde a besoin aujourd’hui, d’une honnête confession.

75 C’est comme lorsqu’on prend un médicament pour une maladie. Tout le monde peut lire sur l’étiquette de la bouteille de quel médicament il s’agit et pour quelle maladie il a été préparé. Mais vous voyez, pour ce qui est de lire le mode d’emploi, je vais appliquer cela à la Bible: nos écoles de théologie et nos séminaires ont tous la possibilité de lire toute la Parole. Mais vous voyez, lire simplement le mode d’emploi et la dose ne guérira pas la maladie. Vous comprenez? C’est le médicament qui guérira la maladie, c’est pourquoi il faut le prendre! C’est pourquoi un homme peut bien dire: «Je suis théologien, c’est pourquoi ne me parlez pas de ces choses… Je suis ceci et cela, je connais les Ecritures, je sais que la Bible dit ceci et cela…».

76 Par exemple, Jean 5.24 dit: “… celui qui écoute ma Parole, et qui croit à celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle…”. Il a la vie éternelle parce qu’il a cru. Beaucoup de gens disent qu’ils croient. C’est vrai, l’Ecriture est juste. Je lis le mode d’emploi, ce que dit l’ordonnance qui me montre quel est l’antidote de mon péché. Mais est-ce que je peux le prendre? Est-ce que je peux croire? Je peux bien dire: «Je crois!» mais est-ce que je crois? C’est ce qui vient après! Simplement lire et prendre connaissance de l’ordonnance ne guérit pas la maladie. L’ennui, dans notre cas, est que nous ne voulons pas prendre ce que le Remède nous dit de prendre. Nous avons le Remède, mais nous ne voulons pas le prendre. Nous disons que nous le prenons parce que nous pouvons lire l’ordonnance, mais pour ce qui est de le prendre réellement, nous ne le prenons pas. Vous voyez, dans ce cas, l’Evangile est comme un médicament. Il a été prouvé que le remède pouvait guérir le patient; le patient peut lire l’histoire de la découverte du médicament, il peut connaître tous les composants de ce médicament, le nom du savant qui l’a découvert (comme pour le vaccin Salk), etc. Si nous connaissons tout ce que dit la Parole à ce sujet mais que nous refusons de la prendre, Elle ne nous sera d’aucun secours. Elle ne nous servira à rien.

77 Pourtant vous dites: «Mais nous l’avons pris!». Si le malade dit qu’il l’a pris et qu’il n’y a aucun résultat, c’est qu’il ne l’a pas pris! C’est tout. Oh, si cette horloge au mur nous laissait un peu de répit! J’aimerais pouvoir rester ici pour insister fortement sur ces choses pour les gens d’ici parce que l’Evangile a prouvé ces choses et qu’ils prétendent avoir pris le médicament alors qu’ils montrent qu’ils ne l’ont pas pris! Comment peut-on lire les Ecritures au sujet de ces petites choses dont je parle, des femmes qui se coupent les cheveux et portent des shorts, etc., comment ces gens peuvent-ils se dire chrétiens alors que le Médicament Lui-même dit qu’il faut faire autrement? Vous comprenez? Comment peut-on faire cela? Vous direz: «Mais j’ai dansé dans l’Esprit, j’ai parlé en langues!». Cela ne veut strictement rien dire! Votre vie elle-même prouve que vous ne l’avez pas pris. Vous voyez? Vous avez dit que vous l’avez pris, mais vous ne l’avez pas pris. En effet, vous manifestez encore tous les symptômes de la maladie que le Médicament est censé guérir! Et pourtant ce Médicament, pris dans la ligne de l’Evangile, donne des résultats garantis! C’est bien normal. C’est pourquoi, vous voyez, il faut que vous manifestiez les résultats.

78 Il y a des gens qui disent qu’ils sont des croyants. Ils disent: «Je suis un croyant; je crois!». Mais que la Lumière de l’Evangile les frappe, frères, et qu’ils prennent le Remède à l’instant même: alors on verra des résultats! Certainement! On ne verra plus cet homme dans les salles de jeux, on ne le verra plus la cigarette à la main, on ne le verra plus boire. Oh non! On ne le verra plus flirter avec d’autres femmes. Oh non! Peu importe à quel point elles étaleront leur chair féminine devant lui, il tournera la tête vers le Ciel et regardera à Christ. Qu’est-ce que cela signifie? Que le Remède a fait effet. Et s’Il ne fait pas effet, vous dites: «Mais pourtant je l’ai pris!». Mais alors où en êtes-vous maintenant? Vous êtes en train de mourir. Vous manifestez ce qui se passe. En vous regardant, je peux diagnostiquer par la Bible que vous êtes encore dans le péché. Et le salaire du péché est la mort. Ne pensez pas que cela doive être expliqué encore plus clairement! Vous voyez, vos propres actions prouvent que vous n’avez pas pris le Remède. Vous PENSEZ que vous l’avez pris. Amen! Vous pouvez avoir cru sincèrement que vous l’avez pris, mais vous ne l’avez pas pris! Parce que si vous l’aviez pris, Dieu a promis qu’il ferait effet. Et le vieux péché est toujours là, la vieille nature d’Adam traîne toujours par là, cette vieille incrédulité. Vous essayez de vous forcer à dire devant votre prochain: «Je suis un croyant! Oh gloire à Dieu, oui, je suis un croyant!». Mais vous voyez, cela ne vous apporte aucun secours.

79 Peut-être que le patient lui-même n’était même pas prédestiné pour ce Remède. Alors s’il le prend, cela ne lui fait aucun effet. C’est vrai. Vous comprenez?

80 Mais voyez ce qui se passa lorsque la Lumière toucha cette femme de mauvaise vie: il y avait là quelque chose pour prendre soin de son état. Vous comprenez? Si nous croyons et que nous confessons sincèrement, ce Remède selon les voies de Dieu agira. Dieu a un moyen qu’Il a fourni pour ces choses.

81 Mais cet homme dira: «Mais je me suis joint à l’église: cela règle la question en ce qui me concerne!». Mais ce n’est pas le moyen que Dieu a donné.

82 La voie préparée par Dieu est: la repentance, la confession et manifester des résultats; porter des fruits dignes de la repentance et manifester de la sincérité. Si ceux pour lesquels nous allons prier ce matin veulent bien faire cela! Et pour vous dans le monde entier qui écouterez cette bande, que ce soit dans la jungle ou dans quelque endroit que vous soyez, que le pasteur ou la personne qui vous fera écouter cette bande vous fasse faire une confession claire afin qu’ensuite il n’y ait rien d’autre dans votre coeur que la foi; alors, quand on priera pour vous, le Remède pourra faire son effet.

83 Pierre dit le jour de Pentecôte: “Repentez-vous et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ pour le pardon de ses péchés; et vous recevrez le don du Saint-Esprit”. Si vous vous repentez complètement en croyant au Seigneur et que vous êtes baptisé au Nom de Jésus-Christ, vous faites Dieu menteur si vous ne recevez pas le Saint-Esprit. Les derniers ordres que Jésus a donnés à Son Eglise sont: “Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru… ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris”. Quand vous voyez ces miracles accompagner un croyant et que vous venez vers ce croyant pour qu’il vous impose les mains, si rien ne se passe, c’est qu’il y a quelque chose qui ne va pas avec VOTRE foi. Vous comprenez? “… CEUX QUI AURONT CRU!”. Dieu a promis qu’Il pourvoirait en donnant un moyen.

84 Nous essayons de trouver une consolation en disant: «Je n’ai pas besoin d’écouter». C’est vrai, vous n’avez pas besoin d’écouter.

85 Mais si vous êtes prédestiné à la Vie éternelle, vous L’écouterez et vous vous réjouirez en Lui. Il est votre Consolateur. C’est ce vers quoi vous avez soupiré tout au long de votre vie. C’est cette Perle pour laquelle vous êtes prêt à tout abandonner. Vous voyez? Vous désirez cela parce que vous savez que c’est l’amour de Dieu qui prend soin de vous. C’est quelque chose qui est destiné à régler la question du péché, à régler la question de l’incrédulité, à régler toutes choses pour vous si vous le voulez. C’est celui qui est vraiment malade, et qui sait qu’il est malade, qui courra à la recherche d’un médecin. Vous voyez? Jésus a dit que ce ne sont pas les bien-portants qui ont besoin de médecin; ce sont les malades. Si vous pouvez vous rendre compte de votre état, alors vous ferez ce qu’Il a dit. Quelque chose devra se passer, sinon Dieu a dit quelque chose de faux. Vous comprenez?

86 Dans les services de guérison il y a parfois tellement de gens qui ne partent pas de la base! Votre vie doit être purifiée, vous devez remplir les conditions, vous devez réellement pouvoir dire: «Oui, je crois!». Et cela doit venir de votre coeur. Alors personne n’aura besoin de vous traiter comme un bébé et vous dire: «Cher frère, chère soeur, vous devriez faire ceci, vous devriez faire cela!». Vous êtes un croyant et personne ne peut ôter cela de vous. Peu vous importe ce que diront les gens et les consolations qu’ils vous donneront, peu importe ce que dira le médecin, l’hôpital, le diagnostic: ce n’est pas cela que vous croirez. Vous connaissez la Parole! Il n’y a pas besoin de vous dire quoi que ce soit parce que vous La connaissez. C’est cela la réalité.

87 Il y a tellement d’imitations de toutes choses! Il faut d’ailleurs qu’il en soit ainsi. Que cela ne vous trouble pas: il faut que l’imitation soit là. Cela a toujours été et cela sera toujours. Mais ce que je vous dis ce matin, c’est la vérité et ce sont des faits. Nous sommes au temps de la fin. Nous devons ramener les choses à la vérité et faire connaître ce qui est la vérité.

88 Mais nous voyons que les gens ne veulent pas suivre les voies de Dieu dans ces choses. Mais Dieu a pourvu à votre consolation, Dieu a pourvu à toutes ces choses. Mais les gens n’en veulent pas, ils veulent suivre d’autres voies. Et chaque fois qu’ils font les choses autrement qu’à la manière de Dieu ils attirent sur eux la colère de Dieu. Chaque fois.

89 Toutes ces choses dont je vous ai parlé, cette recherche de réalisations scientifiques, cette recherche de réalisations dans l’église, toutes ces choses diverses que l’homme recherche, tout cela a conduit le monde à sa fin. Nous sommes à la fin. Il n’y a plus d’espoir. Nous n’avons pas la moindre espérance de survie. Il n’y a aucune chance. Je vais vous montrer cela en détail pendant quelques minutes et vous le prouver.

90 Chacun de vous, si vous ne l’avez pas encore fait, vous devriez lire un journal médical ou le Reader’s Digest ou d’autres encore où l’on parle de ces réalisations.

91 Voici un prédicateur qui envoie ce message partout dans le monde. Pour affirmer ainsi que la situation est sans espoir, que le monde est au-delà de la rédemption, qu’il a passé la ligne séparant la rédemption du jugement, il faut que je donne à cette assemblée quelques bases pour justifier de telles affirmations. Il doit bien y avoir une raison pour qu’un homme dans son bon sens (comme je crois l’être) puisse dire à son pays, à son assemblée et aux gens en général, sachant que cela sera diffusé dans trente ou quarante pays et que cela fera peut-être le tour du monde parmi toutes sortes de peuples et de langues, que «nous sommes au temps de la fin»; il convient donc que nous expliquions un peu cela avant de passer à notre sujet principal de ce matin.

92 Voyez ce que la science et l’instruction nous ont apporté: c’est cela que l’homme a accepté au lieu de la Parole de Dieu; il a préféré une approbation scientifique. Et pourtant la science doit toujours reprendre ce qu’elle a affirmé pour le corriger. J’ai lu dernièrement un texte écrit par un savant français il y a deux ou trois cents ans. Il disait: «Si l’on roulait une balle autour de la terre ou si l’on inventait un véhicule qui puisse aller à une vitesse de trente miles à l’heure au moins, la force centrifuge compenserait la force de gravitation et le véhicule s’élèverait dans les airs!». Et il le prouvait scientifiquement! Vous voyez? Est-ce que vous pensez que la science se réfère encore à ce qu’a dit cet homme? Bien sûr que non! Pour eux c’est du passé.

93 Pensons à ceci maintenant: nous aimerions tous dire: «J’aimerais pouvoir prouver cela scientifiquement!». C’est ce qu’un grand nombre de dénominations et de gens religieux disent aujourd’hui. Ils veulent une preuve scientifique. Je pourrais me retourner contre eux et leur dire: «Prouvez-moi scientifiquement que Dieu est dans votre assemblée! Donnez-moi des preuves scientifiques que toutes ces choses sont réelles! Prouvez-le-moi!».

94 Qu’est-ce qui est réel? La vie! J’aimerais que vous me donniez ne serait-ce que pour quatre sous de vie, ou plutôt je vendrais tout ce que je possède pour quatre sous de vie. Est-ce que la vie est réelle? Si elle ne l’est pas, pourquoi sommes-nous ici?

95 La vie, la foi, l’amour, la joie, la paix, la longanimité, la douceur, la mansuétude, la patience, à tout cela la science ne peut toucher. Et ce sont les seules choses qui soient réelles et durables. Toute l’armure du chrétien regarde vers les choses invisibles. Bien que les sens ne discernent pas ces choses, elles sont là. C’est pourquoi il faut la foi pour croire ces choses et cela produira en vous ce que la foi a déclaré être là. C’est elle qui vous apporte la guérison divine et toutes ces choses. Ils ne peuvent démontrer ce qui apporte la guérison divine mais ils savent qu’il y a une guérison divine. Ils ne peuvent démontrer ce qui sauve du péché mais ils savent que les gens sont sauvés du péché. Cela ne peut être prouvé scientifiquement mais ils regardent ces choses selon la manière de voir de Dieu selon Sa science.

96 Alors qu’est-ce que la science nous a apporté? Peut-être que vous allez être choqués un instant parce que je vais dire: la science nous a apporté la souffrance, la maladie et la mort! On ne vous a enseigné qu’un côté des choses. Mais il y a deux côtés! Vous nous direz: «Mais la science a inventé ceci et cela!». Je vous l’accorde bien volontiers! Mais regardons l’autre côté: la science nous a apporté la souffrance; la science nous a apporté toutes sortes de maladies et la mort.

97 Considérez ceci: l’hybridation scientifique a apporté à cette génération la mort par la nourriture et tout le reste. Cela a ramolli les gens à un point tel qu’ils ne sont plus qu’un paquet de saleté qui n’a plus de charpente. Ils n’ont pas plus de consistance qu’une méduse. Pour vivre ils ont besoin d’air conditionné, sinon ils périssent. Lors d’un match de base-ball, lorsqu’un joueur est frappé il en meurt; c’est pareil avec la boxe et les autres sports; l’humanité est devenue si ramollie que cela pervertit les hommes et les femmes.

98 Cette hybridation qu’ils ont introduite dans le bétail est en train de revenir dans la race humaine maintenant (c’est la science qui le dit) et produit des perversions dans l’espèce humaine. Quand une vache est une hybride ou quand un aliment quelconque vient d’un hybride… cet aliment fabrique nos cellules sanguines; et nos cellules sanguines sont notre vie. Vous voyez ce que nous avons fait? Et vous voyez, ils font des injections dans la viande et il est prouvé maintenant que ces injections ont un effet sur l’espèce humaine. C’est scientifique!

99 Ils aspergent les champs de DDT et j’ai vu l’autre jour que dans leur communauté cela a rendu malades huit cents personnes après qu’elles aient mangé des oeufs. Vous rappelez-vous ce que j’avais prophétisé (il y a des années de cela) quand nous n’avions ici qu’une petite baraque: «Il arrivera des choses dans les derniers jours: n’habitez pas dans une vallée et ne mangez pas d’oeufs». Cela est écrit dans mon livre. Je pensais qu’il y avait quelque chose à tirer de cela et j’ai regardé: «Ne pas manger d’oeufs». C’était en 1933! Il y a quelque chose dans les oeufs aujourd’hui et la science dit qu’un homme ne devrait plus manger d’oeufs à partir de cinquante ans parce qu’il n’y a rien de pire pour son coeur. Maladies!

100 Autrefois le lait était notre aliment le plus équilibré. Mais aujourd’hui les médecins disent: «N’y touchez pas!». Cela donne la sinusite et toutes sortes de maladies. Les mêmes êtres humains en buvaient autrefois et vivaient de nombreuses années sans connaître la sinusite, mais l’hybridation et tout le reste a dégradé la structure de la nature humaine au point qu’elle n’est plus qu’un paquet de saleté et de maladies. Qu’est-ce qui a fait cela? La science!

101 Vous voyez, cela a affaibli les gènes de l’homme et de la femme. Le nombre des enfants atteints de paralysie spasmodique a augmenté de trente pour cent. Les cas de mongolisme augmentent fortement. Et cette faiblesse qui est dans les aliments hybridés que nous prenons pour entretenir notre vie affaiblit notre corps, ce qui cause le cancer, les troubles mentaux et toutes sortes de maladies qui s’installent dans le corps humain à cause de sa faiblesse. Par la science les hommes se détruisent eux-mêmes en s’éloignant du plan de Dieu.

    Dieu avait dit: “Que chaque semence produise selon son espèce”.

102 Vous voyez où nous en sommes? Je pourrais continuer indéfiniment sur ce sujet mais notre temps passe. Avez-vous remarqué ce qui cause ces choses? La science a apporté la mort, la maladie et la destruction.

103 Comme je l’ai vu l’autre jour dans un journal (j’en parlais avec mon cher ami le docteur Lee Vayle qui est assis ici) il y a des gens qui meurent à cause de la pénicilline. En réalité ce n’est pas la faute de la pénicilline mais des impuretés qui s’y mêlent lorsqu’on la fabrique. C’est une question d’argent, de cupidité. Il y a des médecins qui prescrivent de la pénicilline alors qu’ils ne connaissent même pas la formule de l’aspirine. Leur père leur a payé des études pour devenir spécialistes en telle ou telle matière mais ils ne savent même pas soigner un enfant qui a mal au ventre! Et qu’est-ce que cela nous donne? Il n’y a plus que la cupidité, le «coup de piston» et le reste. On ne trouve plus chez ces gens-là le caractère du médecin de campagne d’autrefois qui venait chez vous, vous consolait et faisait tout le nécessaire. Ils laissent Dieu hors de tout cela parce qu’ils veulent suivre leurs propres voies. Pour éliminer Dieu, ils L’ont expliqué. Voilà où nous en sommes.

104 C’est ce que nous avons fait par l’hybridation. Vous voyez, le corps… Un germe de maladie ne peut pas entrer facilement dans une plante saine. Mais ces plantes de serre, ces hybrides, doivent tout le temps être traitées. Beaucoup parmi vous ont lu mon message intitulé Religion Hybride: ces plantes doivent être traitées et soignées sans cesse. Mais la plante authentique n’a pas besoin d’être traitée: elle est l’original.

105 Qu’est-ce qui fait venir les maladies dans le corps humain? Un cher ami médecin (je ne veux pas le nommer ici) me l’a dit; c’est un cher frère et il me lisait dernièrement un article dans un journal médical. Il a un bureau avec une grande et belle bibliothèque où il tient toutes sortes de livres traitant des derniers progrès de la médecine. Ces maladies viennent de notre faiblesse. Le corps est affaibli et on attrape un refroidissement pour un rien. D’où cela vient-il? La faiblesse de notre corps produit des mucosités qui viennent de nos glandes. Là-dedans les germes des refroidissements viennent se loger et c’est ainsi que vous attrapez un rhume. Mais si notre corps était fort, il rejetterait ces germes de rhume et ceux-ci ne pourraient nous toucher.

106 C’est pourquoi lorsque Dieu créa l’homme au commencement, il était immunisé contre toutes les maladies. Vous comprenez? Mais l’incrédulité et la science, la science et l’instruction, tout cela a éloigné l’homme de Dieu dès le commencement et l’éloigne encore aujourd’hui.

107 Considérez simplement ce que la cigarette, la boisson, le strip-tease et toutes ces choses ont fait pour entraîner le déclin de cette génération! Je suppose que vous vous demandez toujours… Je vais maintenant vous dire quelque chose. Je ne voulais pas le faire, mais je crois que je le ferai quand même.

108 Les gens se demandent quelquefois… ils me font toujours des remarques comme celles-ci: «Frère Branham, pourquoi soulevez-vous toujours ce genre de sujets? Pensez aux gens qui viennent à l’église! Quand j’amène ici les femmes de ma famille elles ne peuvent même pas être en paix parce que vous parlez tout le temps contre les femmes, vous les réprimandez au sujet de leurs cheveux courts, vous leur reprochez de porter des vêtements d’homme et toutes sortes de choses pareilles. Pourquoi faites-vous cela?».

109 Peut-être que ce message d’aujourd’hui sera le dernier jusqu’à l’été prochain, mais je veux quand même vous dire ceci: c’est l’Esprit de discernement pour ces derniers jours qui sait que ces choses sont une malédiction devant Dieu. Je me demande quelquefois s’il y a encore des prédicateurs qui ont un peu de discernement dans les derniers jours? Ce même Dieu qui parle ici sur l’estrade, qui vous dit ce qui ne va pas en vous, ce que vous avez fait et quel est votre problème, ce même Esprit en vous regarde et peut discerner les signes des temps et Il ne peut pas s’empêcher de le proclamer. C’est l’Esprit de discernement, parce que le Saint-Esprit Lui-même dit que ces choses sont un péché et que quiconque participe au péché mourra. Comment pourrais-je être justifié aux yeux de Dieu lorsque, voyant mes frères et soeurs dans cette situation, je ne crie pas contre ces choses? Même s’ils doivent être furieux contre moi je dois élever la voix contre cela. C’est le discernement. Quelquefois ils divergent en ce qui concerne la Parole: c’est un manque de discernement. Mettez les choses face à face avec la Parole. Vous comprenez? Vous voyez, cela, nous savons que c’est juste. Il faut savoir que c’est la vérité. C’est le discernement pour les derniers jours.

110 Nous avons vu ce qui concernait la science et je n’irai pas plus loin dans ce sens parce que le temps passe si rapidement. Maintenant nous allons jeter un coup d’oeil sur l’instruction et voir ce qu’elle a fait. Vous voyez? Il y a deux églises dans le monde.

111 Nous nous rendons compte que c’est le raisonnement, le bon sens commun qui au commencement a donné le coup d’envoi au grand bal du péché. Sur quoi raisonna-t-on? Sur la Parole de Dieu! Dieu avait dit à Adam et Eve: “Le jour où tu en mangeras, tu mourras”. Cela réglait la question, il n’y avait rien à rajouter. Il les avait retranchés derrière Sa Parole contre l’ennemi. Mais quand Eve, écoutant les raisonnements de Satan (culture, intelligence, instruction, avancement) sortit de derrière le retranchement (elle fit cela en écoutant les raisonnements de Satan) elle fit ce que Dieu lui avait dit de ne pas faire. Et si un seul raisonnement, si d’avoir écouté un seul raisonnement contre la Parole a causé tout ce chaos autrefois, un raisonnement contre la Parole aujourd’hui ne vous ramènera pas dans la position première car ce serait folie de la part de Dieu s’Il nous faisait rentrer aujourd’hui pour la même raison qu’Il nous a chassés autrefois. Comprenez-vous cela? Vous devez venir au Sang répandu de Christ. Votre dénomination ne peut rien faire, vos raisonnements ne peuvent rien faire. C’est le Sang et la nouvelle naissance et cela produit en vous une nouvelle créature, Christ, et alors vous vivrez à la manière de Christ parce que le Médicament que vous prenez alors montre qu’Il tue le péché d’incrédulité et qu’Il s’oppose à tout ce qui n’est pas la Parole de Dieu.

112 Nous pouvons voir deux églises ce matin. L’une est l’église de Pentecôte qui fut organisée le jour de Pentecôte par le Saint-Esprit, la seconde est l’église Catholique Romaine qui fut organisée à Nicée, Rome. La première vient d’une naissance spirituelle; la seconde par une communion intellectuelle. De cette église viennent les Protestants et toutes les dénominations. Ce fut la première dénomination. Toutes les autres viennent de celle-là et sont ses parentes selon ce que dit Apocalypse 17: elle était une prostituée et mère de prostituées. C’est ainsi. Le pot ne peut pas dire à la marmite qu’elle est sale car il l’est lui aussi. Cette église s’est organisée, elle est allée à Rome. Peu importe ce qu’elle était, elle y est allée! Dans la Bible nous venons d’étudier les sept âges de l’église qui prouvent cela. L’une de ces églises est fondée sur le discernement spirituel, l’autre sur la formation et une conception intellectuelle.

113 Cela nous ramène tout droit au jardin d’Eden, au même point. La femme (l’église) fut celle qui écouta: non pas Adam, mais la femme! Maintenant ils veulent être l’église-mère. C’est ainsi. Tout arrive en son temps. Ils ont leur propre confession de foi. Vous voyez, ils retournent exactement à la même chose, ne croyant pas à la Parole de Dieu. A Nicée, à Rome, quand on souleva la question du baptême d’eau et d’autres points semblables comme le baptême du Saint-Esprit, les évêques tous ensemble organisèrent ce qui fut appelé l’église Catholique Romaine, qui était l’église romaine «royale» comme on la nomma. Je viens de relire cette histoire hier et de réexaminer ces choses. J’ai vu que cela ne concernait que Rome; c’est à Rome qu’était l’église royale. Les autres n’étaient que de petites églises soeurs qui étaient appelées simplement «catholiques».

114 Notre église est aussi l’église catholique, universelle; c’est une foi universelle de tous les croyants. L’une d’elle est née de l’Esprit de Dieu et a le Saint-Esprit en elle. Elle prouve par sa vie, sa doctrine et ses actions que le Saint-Esprit est en elle car Il est le Consolateur que Christ a promis, travaillant dans Son Eglise, accomplissant les mêmes choses que celles qu’Il fit au commencement. C’est ainsi que le Virus du salut de Christ agit dès le commencement. C’est ainsi qu’Il agit aujourd’hui, produisant les mêmes résultats.

115 L’autre église est la conception intellectuelle d’une dénomination fabriquée par un groupe d’hommes et qui a «une forme de piété» comme l’a dit le prophète, mais qui renie la puissance de la vérité. Je ne pourrais pas vous le dire plus clairement.

116 Voici donc les deux églises. L’une naquit à Nicée, l’autre le jour de Pentecôte. Elles se sont toujours opposées l’une à l’autre. Nous l’avons montré dans les âges de l’église. Chacune s’oppose à l’autre. L’une est une belle église intellectuelle et dignifiée, ayant en son sein de distingués érudits, l’autre est taxée de «bande de fanatiques». Au début ils étaient traités d’ivrognes et de pêcheurs illettrés. C’est pareil aujourd’hui; ils sont toujours classés dans la même catégorie. L’une est scientifique, l’autre, spirituelle. L’une est un arrangement scientifique, l’autre un discernement spirituel de la Parole. L’une est organisée scientifiquement par ce que disent des groupes d’hommes, des évêques intellectuels. L’autre est totalement née de l’Esprit de Dieu, vit par l’Esprit de Dieu et accomplit les promesses que Dieu a faites. Cela montre quel virus vous recevez: le virus de la formation ou le Virus du Saint-Esprit. Vous voyez? Bien!

117 Oh, cette subtilité de Satan! Comme il peut peindre ce tableau! Comme il peut, par l’intellect, faire tourner tout autour un homme qui n’est pas né de l’Esprit de Dieu! Et il n’existe aucun moyen intellectuel de les confondre. Aucun.

118 C’est un discernement par la foi, vous comprenez, un discernement. Nous voyons ce que dit la Parole et nous le croyons.

119 — «Mais, frère Branham, ils disent qu’ils ont le discernement!». Eh bien, que le Saint-Esprit accomplisse exactement ce qu’Il a promis d’accomplir et nous le croirons. Vous voyez? Il y a des preuves de cela.

120 Comment agit le Virus lorsqu’Il frappe un homme? “Ces signes accompagneront ceux qui auront cru…” dit-Il. Si le Virus produit ce résultat, c’est bien, vous voyez?

121 Cela nous amène, pour conclure, à parler pendant quelques instants d’Abel et de Caïn jusqu’au jugement du temps de Noé et jusqu’à ces jours de Noé qui sont tout près d’arriver. Maintenant, avant que nous fassions la ligne de prière, soyez très attentifs pendant que je parcours encore quelques passages des Ecritures en traitant ce petit sujet.

122 Nous voyons qu’après que le monde eut adopté cette conception intellectuelle de la Parole, ces hommes devinrent de grands hommes, des hommes de renom. C’est la Bible qui le dit (Gen. 6.4). Ces hommes de renom poursuivaient les jolies femmes comme cela se passe aujourd’hui dans le monde entier. J’en ai parlé dans Le signal rouge de Sa venue; nous avons vu l’autre soir comment les femmes deviendraient de plus en plus belles dans les derniers jours et que les hommes de renom… comme ces scandales qu’il y a eu en Angleterre et aux Etats-Unis. Et on en découvrira encore un de ces jours. Vous ne savez pas ce qui en est de ces «call-girls» et de toutes ces choses. Savez-vous que sur quatre barmaids, trois ont fait des études secondaires ou supérieures? Les trois quarts! Savez-vous qu’un certain pourcentage (je ne me rappelle plus exactement combien, je ne l’ai jamais noté), qu’environ un tiers des filles des écoles sont immorales ou doivent rentrer à la maison pour accoucher? Savez-vous que prendre de la pénicilline contre les maladies vénériennes n’a fait qu’installer la corruption sans faire mourir la maladie? Dieu a dit qu’Il visiterait jusqu’à la quatrième génération, d’où ces mongoliens et autres. Comme le péché est une chose subtile! Comment ces pasteurs peuvent-ils ne pas prêcher contre ces femmes qui font du strip-tease dans la rue, mais qu’au contraire ils les laissent toutes chanter dans le choeur et faire tout cela en même temps, alors que c’est cela même qui envoie notre nation, notre race en enfer? C’est vrai! Aussi nous voyons que lorsque Dieu en eut assez, comme je crois que c’est le cas aujourd’hui…

123 Je vais venir maintenant à mon sujet. J’ai une drôle de façon de l’amener: j’aime parler d’un tas de choses pour commencer, puis ensuite seulement attaquer mon sujet. Nous voyons qu’au temps de Noé, quand Dieu allait juger le monde (ce monde qui était devenu comme aujourd’hui parce que Jésus l’a dit), en prit-Il soin, S’en soucia-t-Il? Certainement! De quoi prit-Il soin? Sachant que le jugement allait venir (Il avait décrété le jugement), Il prit soin de ceux qui se souciaient de Lui. C’est pareil aujourd’hui. Il prenait soin de ceux qui étaient disposés à se soucier de Lui. Et nous voyons qu’Il a envoyé un prophète pour conduire Ses élus sur la voie qu’Il avait ouverte pour qu’ils échappent au jugement. Il est le même hier, aujourd’hui, et éternellement. Nous voyons que Dieu prend soin de Son peuple. [Partie non enregistrée — N.d.R.]

124 Nous sommes à la fin et nous voyons que nous sommes à la fin. Il n’y a aucun moyen de construire sur cette corruption. Comment pourrions-nous bâtir une ville sur les ruines carbonisées de ces Sodome et de ces Gomorrhe? Comment le pourrions-nous? Il n’y a qu’un seul Phénix, c’est la venue du Seigneur Jésus. [Phénix: oiseau fabuleux qui renaissait de sa cendre — N.d.T.] Oh, frères, il y a une purification pendant la période de la tribulation afin de restaurer un monde pour un peuple qui est juste devant la face de Dieu et qui vit par Sa Parole.

125 Remarquez ceci: Il prit soin de ceux qui tenaient à échapper du temps de Noé et leur envoya un prophète. Celui-ci les conduisit dans la voie que Dieu avait préparée. Voilà la manière de faire de Dieu. Dieu parla à Noé, lui apportant la Parole (il n’y avait pas de Parole écrite en ce temps-là) et dit à Noé de préparer une arche pour le salut du peuple et pour l’avertir que Dieu avait une voie de salut. Et cet homme était un prophète confirmé qui leur prouva que c’était le chemin du salut. Remarquez que ceux qui étaient humbles et sincères entendirent cet homme et le crurent: ils échappèrent. Ils échappèrent à quoi? A la mort du monde pécheur qui allait être détruit ce jour-là. Ils échappèrent à la voie de la mort qui s’étendait sur le monde entier. Dieu prit tellement soin d’eux! (O Dieu, aide-nous à entrer profondément dans ces choses maintenant, avant la ligne de prière). Dieu prit soin d’eux.

126 De nos jours Dieu regarde le monde; Il a appelé, Il a appelé, mais les hommes L’ont rejeté avec mépris. Au commencement il y eut une occasion de se repentir. Quand Dieu envoya Esaïe avertir Ezéchias qu’il allait mourir, il se repentit et il y eut un pardon. Quand Dieu envoya Jonas à Ninive avertir que dans quarante jours Il détruirait la ville, ils demandèrent grâce et il y eut un repentir. Mais quand on le rejette, il ne reste que le jugement. Et cette nation a rejeté Christ. Elle n’a pas pris garde à l’appel, aussi ne lui reste-t-il plus qu’à affronter le jugement.

127 Dieu prend-Il soin de ceux qui se sont repentis? Leur ouvre-t-Il un chemin? Voyons ce qu’Il fit autrefois.

128 Du temps de Noé Il prit soin d’eux. Il envoya le prophète. Il leur apporta le chemin et le leur montra, Il leur établit une voie pour échapper et ils échappèrent au jugement. Il prit également soin d’eux. Nous découvrons qu’Il les conduisit dans une position où Lui, dans les derniers jours, avant que le grand jugement tombe… Il les aimait tellement qu’Il leur prépara une voie afin qu’ils pussent y entrer et échapper à tous les jugements à venir.

129 Il fit cela aux élus, nous le savons. Il fit cela pour les élus et pour eux seuls. Ce sont eux qui avaient accepté ce germe de vie. Ce sont eux qui furent prédestinés à voir ces choses. Ce sont eux. Nous tous, si nous croyons la Bible, nous devons croire à la prédestination. Vous voyez? C’est vrai! Dieu ne veut pas que quiconque souffre, mais Il connaissait ceux qui accepteraient et ceux qui refuseraient.

130 Il a également pris soin de Son peuple élu du temps de la destruction de l’Egypte. Il était devenu esclave en Egypte. Du temps de Moïse Dieu prit soin du peuple. Que leur envoya-t-Il? Un prophète, encore une fois! N’est-ce pas? Et Il sépara Son peuple du monde incrédule, du jugement qui devait venir en ce temps-là. Il prit soin quand l’Egypte eut amoncelé ses péchés si haut que Dieu dut envoyer un jugement, parce qu’Il avait déjà dit à Abraham: “Je m’occuperai de cette nation”. Aussi, au lieu d’exercer Sa colère contre eux tous, Il prit soin de Son peuple. Il leur envoya le Consolateur, Il leur envoya la Parole. Et c’est toujours par Son prophète qu’Il envoie Sa Parole, comme Il le fit du temps de Noé. Il fit la même chose aux jours de Noé. Nous voyons qu’il en fut de même du temps de Moïse. Il leur envoya Son prophète et ils se séparèrent de l’incrédulité. Ce sont ceux-là qui sortirent. Ce sont ceux-là qui crurent. Ils crurent que Moïse était un… Aux yeux de Pharaon il n’était qu’un fanatique, un magicien, un hypocrite, quelque chose d’horrible. Mais pour le peuple qui était élu et qui sortit conformément à la Parole de Dieu (“Je le délivrerai”) il était leur prophète. Il était le moyen donné par Dieu. Ils crurent en lui et échappèrent au jugement de ce jour. Ils crurent en Moïse.

131 Il dit qu’Il prit aussi soin d’eux pour les faire sortir et Il prit encore soin d’eux pendant le voyage, après qu’ils furent sortis. Amen! Cela se passe aujourd’hui dans le domaine spirituel comme autrefois dans le domaine matériel. Dieu prit soin d’eux. Comment? Il leur fournit tout ce dont ils avaient besoin au cours du voyage, n’est-ce pas? Il les guérit quand ils étaient malades. Il leur donna la guérison, un moyen de sortir de leur maladie. Il leur donna un serpent d’airain; ils n’avaient qu’à regarder ce serpent d’airain (symbole du péché) pour être guéris. Il les nourrit en chemin, là où il n’y avait pas de pain. Il fit pleuvoir du pain du ciel. Il les nourrit. Non seulement cela mais Il les vêtit, montrant qu’Il prend soin de ceux qui se soucient de Lui.

132 S’ils sont prêts à confesser leurs fautes, à se repentir, à croire et à accepter, Dieu prend soin d’eux! Mais vous devez d’abord vous soucier de Lui et accepter ce qu’Il vous envoie. Il prit soin d’eux de manière qu’il n’y ait aucune erreur: Il confirma Son prophète par le signe d’une colonne de feu afin que le peuple voie que ce n’était pas seulement cet homme qui marchait là, mais que Dieu était juste au-dessus de lui, montrant que c’était Lui-même, Dieu, qui les conduisait sur le chemin. Dieu prend soin des gens qui se soucient de Lui. Dieu prend soin de ceux qui se soucient de Lui. C’est ainsi qu’Il confirma cet homme et prouva qu’il était le serviteur de Dieu en envoyant une colonne de feu pour les guider vers la Terre promise. Et ils savaient qu’aussi longtemps que cette colonne de feu, que cette colonne de nuée et de feu les suivait… Dieu dit “qu’Il ne retira pas la colonne de feu et de nuée”. Il resta avec eux pendant des années et des années dans le désert, quarante ans. N’est-ce pas vrai? Cette colonne de feu les conduisait! Nous sommes dans notre trente-troisième année; il en manque sept pour que ce soit pareil au type. Donc une colonne de feu les conduisait. Il prit soin d’eux. Il prit soin d’eux à un point tel qu’Il leur fit savoir que ce n’était pas quelque manifestation scientifique ou une erreur quelconque, mais Il confirma le message en le prouvant.

133 Il a même pris soin d’une femme qui était une étrangère et non pas une Israélite. Elle n’appartenait pas au groupe, elle était une étrangère, une presbytérienne, une méthodiste ou autre; elle était d’un autre bord. Mais quand elle entendit!… Son nom était Rahab, c’était une prostituée. Mais quand elle apprit comment Dieu était dans une colonne de feu et les conduisait, elle en appela à Dieu et épargna les espions qui étaient venus pour observer le pays. Et parce qu’elle prit soin d’elle-même et de sa famille, Dieu prit soin d’elle. Cette prostituée aurait été jusqu’à donner sa vie à Christ, pour Sa cause, parce qu’elle avait vu le signe d’un Dieu surnaturel. Pourtant elle servait ses dieux correctement dans sa propre dénomination. Mais quand elle vit ce glorieux signe surnaturel elle cria et demanda grâce pour elle-même et pour sa famille, et Dieu prit si grand soin d’elle que lorsque la ville s’écroula tout entière, pas une pierre de sa maison ne fut ébranlée. Il prend soin! Bien qu’elle n’eût été qu’une étrangère, qu’elle ne fît pas partie de leur groupe en ce temps-là, Dieu prit soin d’elle. Il le fait toujours.

    Il prit soin d’Elie quand lui, et lui seul, se souciait de Dieu.

134 Alléluia! — “Rejetez sur Lui vos soucis car Il prend soin de vous!”. Pierre, parlant aux élus, aux élus anciens et aux frères dans l’assemblée, dit: “Déchargez-vous sur Lui de tous vos soucis car Il prend soin de vous. Déposez tout car vous êtes purs devant Dieu. Vous marchez comme des serviteurs de Dieu”.

135 Dieu s’occupa d’Elie parce qu’Elie se souciait de Dieu. Tous les autres prêtres avaient perdu la vision pour ce jour, ils avaient perdu de vue la volonté de Dieu et l’amour de Sa Parole; ils étaient tous devenus des «modernistes». Mais peu importe comment cette Jézabel, la première dame du pays, s’était emparée d’eux et les avait «modernisés», peu importe à quel point les prédicateurs avaient laissé ces femmes agir, Elie cria contre cela au Nom du Seigneur. Il se souciait de ce que Dieu disait, c’est pourquoi Dieu se soucia de ce qu’Elie disait parce qu’Elie proclamait la Parole du Seigneur. Dieu prend soin quand vous vous souciez de Lui, mais vous devez le faire premièrement. Oui!

136 Remarquez ceci: Dieu prit soin d’Elie quand Il l’appela par Sa Parole hors des dénominations. Il semble qu’Elie devait mourir de faim car il ne recevait ni dîmes ni offrandes. Mais Dieu prit soin de lui au point qu’Il ne le laissa pas avoir faim durant tout le temps qu’il obéit à Sa Parole. Il commanda à des corbeaux de le nourrir. Il prit soin d’Elie parce qu’Elie se souciait de Lui: Il est la Parole.

137 Il prit soin de Daniel quand Daniel eut égard à la Parole de Dieu au point de prier sincèrement. Malgré ce qu’avait dit le roi: “Je ne veux plus rien de tout cela!”, Daniel ouvrit simplement les volets, se tourna vers Jérusalem et pria. Elie se souciait de Dieu et Dieu prit soin d’Elie. Daniel aimait la Parole de Dieu et Dieu prit soin de Daniel. Il envoya une colonne de feu qui effraya le lion et le tint éloigné de lui et qui resta là toute la nuit. Dieu prit soin de Daniel parce que Daniel se souciait de Dieu. Parfaitement! Il pria sincèrement tout en sachant que cela signifierait être jeté dans la cage aux lions s’il désobéissait aux ordres dénominationnels. Mais il s’agenouilla devant sa fenêtre parce qu’il ne craignit pas ce que l’homme disait. Il ouvrit toutes grandes ses fenêtres parce que c’était un commandement de Dieu et il priait honnêtement et sincèrement son Dieu chaque jour. Il se souciait de Dieu et de Son commandement, et Dieu se tourna vers Daniel et prit soin de lui et de sa position. Daniel avait eu égard à Dieu et à Sa Parole, alors Dieu se tourna vers lui et eut égard à la position qu’il avait prise pour la Parole. C’est ce qu’Il fera toujours. Amen!

138 Il prenait soin des enfants des Hébreux quand ceux-ci respectaient sincèrement et observaient la foi qui leur avait été une fois transmise, la Parole de Dieu. Ils avaient un commandement de Dieu: “Ne vous prosternez devant aucun dieu païen, devant aucune statue. Ne vous prosternez pas et ne les adorez pas”. Tel était le commandement. Et quand la trompette retentit et que l’on annonça: “Nous jetterons dans la fournaise ceux qui ne se prosterneront pas devant la statue!”. Daniel et ses compagnons respectèrent l’ordre de Dieu et tournèrent le dos à la statue. C’est vrai! Dieu prit soin d’eux quand la chaleur monta. Il envoya le quatrième Homme dans cette fournaise ardente et les garda au frais. Dieu prit soin d’eux parce qu’eux se soucièrent de Dieu.

139 Si vous voulez rester attaché à un credo, Dieu ne s’occupera pas de ce que vous faites. Si vous voulez faire cela, Il ne s’occupera jamais de vous parce que vous faites ce que disent les hommes. Mais si vous restez attaché à la Parole de Dieu, que vous en faites une confession vraie et sincère et que vous croyez que Dieu guérit, qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il prendra soin de vous.

140 Il prit soin des trois jeunes Hébreux et leur envoya le quatrième Homme pour les délivrer. C’était Christ, nous le savons.

141 Quand le lépreux cria: “Seigneur!”… Dix lépreux étaient sortis et avaient crié sincèrement: “Seigneur, aie pitié de nous!”. Ils en avaient assez de s’occuper de leurs propres besoins; Lui avait le pouvoir de s’occuper d’eux. Il s’occupa des lépreux parce que ceux-ci eurent soin de faire leur confession, qui fut de L’appeler: “Seigneur!”.

142 Il prit soin quand le centurion prit suffisamment soin de lui-même pour appeler Jésus à l’aide. Quand cet homme manifesta sa foi en dénonçant ses idoles de Rome et qu’il se soucia suffisamment (c’était un témoignage public) pour envoyer chercher Jésus afin que son fils fût guéri, Jésus prit soin de lui au point que son fils fut guéri. Il prend soin de vous quand vous vous souciez de Lui. Mais vous devez premièrement vous soucier de Lui. Lui prend soin.

143 Il prit soin quand Jaïrus se soucia suffisamment de Jésus. Il croyait en secret. Il donnait raison à Jésus mais ne pouvait pas le confesser ouvertement à cause de sa position dénominationnelle. Mais lorsque sa petite fille tomba malade et mourut, Jaïrus sut, voyant la mort de sa fille, montrer de qui il se souciait; il s’en souciait assez pour condamner les incrédules qui l’entouraient, revêtir la tiare de son ministère et aller à la rencontre de Jésus. Quand Jaïrus montra qu’il se souciait de Jésus, Jésus montra qu’Il se souciait Lui aussi de Jaïrus, et cela au point qu’Il vint chez lui et ressuscita sa fille de la mort. Rejetez sur Lui tous vos soucis car Il prend soin de vous! Peu importe de quoi Il s’agit, Il en prend soin!

144 Il se souciait tellement qu’alors même qu’Il n’avait donné aucun commandement à ce sujet, qu’Il n’avait rien dit, qu’Il n’en avait fait aucune mention… Il prit soin de cette pauvre femme parce qu’elle n’avait pu se joindre à la ligne de prière, mais qu’elle s’était dit: “Si je pouvais seulement toucher le bord de Son vêtement!… Je crois en Lui!”. Jésus prit soin de sa foi au point qu’Il se retourna, l’appela au milieu de l’assemblée et lui dit que sa foi l’avait guérie. Il prit soin d’elle parce qu’elle se soucia de Lui.

145 Il prit soin d’un homme névrosé lorsque celui-ci, nommé Légion, se soucia assez de Jésus pour s’extraire de dessous ces tombeaux des démons, aller à Sa rencontre et se prosterner à Ses pieds. Et il y avait une légion de démons! Mais ces démons ne seraient jamais venus si Légion ne s’était forcé à sortir à la rencontre de Jésus. Et quand il se soucia assez pour faire cet effort, pour prendre position dans sa foi, Jésus se soucia assez de lui pour chasser cette légion de démons: cet homme fut alors délivré de sa névrose. Dieu prend soin quand vous vous souciez de Lui. C’est certain! Dieu prend soin quand vous vous souciez de Lui!

146 Quand l’aveugle cria “Oh, Jésus!” à la porte de Jéricho… C’était un Juif orthodoxe, bien vu à la synagogue. Mais il demanda: “D’où vient tout ce bruit?” On lui répondit: “C’est Jésus de Nazareth qui passe, c’est un prophète”.

147 Alors il cria: “Jésus, Fils de David!”. Quelle réprimande pour son pasteur et pour les prêtres qui se tenaient là! Mais peu lui importait ce que pasteur, prêtre ou autre disait, son intérêt s’était éveillé! Il se souciait suffisamment de recouvrer la vue, c’est pourquoi il cria. Et quand cet aveugle fut prêt et qu’il se soucia assez pour crier, Jésus se soucia assez de lui pour le guérir. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il prend soin de vous quand vous vous souciez de Lui, mais vous devez le faire premièrement. Vous devez prouver que vous vous souciez.

148 Jésus prit soin au point qu’une femme qui avait eu six maris L’identifia et reconnut le signe messianique de Son don de discernement. Il se soucia d’elle suffisamment pour pardonner tous ses péchés et lui donner, parce qu’elle L’avait reconnu, une eau qu’elle n’était pas venue puiser. Quand Il dévoila ce qui n’allait pas en elle, elle dit: “Seigneur, je discerne en Toi un prophète!”. Comme les autres elle attendait ce jour, mais si elle était restée dans leur groupe d’église, elle n’aurait eu aucune chance de faire cela. Mais quand elle vit un homme qui put lui dire tout ce qu’elle avait fait de mal, elle dit: “Seigneur, je discerne que Tu es un prophète. Je sais que quand le Messie viendra, Il fera ces choses”. Jésus lui répondit: “C’est Moi!”.

149 Cela suffit! C’est de cela qu’elle se souciait. Elle abandonna sa cruche, courut à la ville et dit: “Venez voir un homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait! Ne serait-ce pas le Messie Lui-même?”. Elle était un peu comme Rahab. Elle se soucia au point d’alarmer la ville tout entière. Elle s’en souciait parce que quelque chose avait été fait, l’Ecriture confirmée s’était accomplie d’une manière tout à fait certaine et elle s’en souciait! Peu lui importait ce que les hommes pouvaient dire. Elle l’avait vu, elle était là quand cela s’était produit. Elle s’en souciait. Et elle se soucia de son peuple au point d’avertir chacun d’eux, ce qui eut pour résultat que la ville tout entière crut en Jésus-Christ. Elle se soucia et Il prit soin d’eux. C’est certain! Il l’a fait.

150 Jésus prit soin du message du jour au point qu’il se passa les choses mêmes qu’Il avait dites, qu’Il mourut et ressuscita afin de leur envoyer le Consolateur par le Saint-Esprit et qu’Il puisse ainsi montrer par Son ministère aujourd’hui qu’Il est toujours vivant. Il prit grand soin de tout cela. Ne voulons-nous pas nous soucier de ces choses? Là est la question. Ne voulons-nous pas nous soucier de ces choses? Il est mort pour ce ministère. Il est mort afin que le Saint-Esprit puisse être ici de nos jours pour nous montrer ces choses. Il prit soin de vous. Il prit soin d’apporter cela ici, Il prit soin de déclarer ces choses. Il prit soin de ces choses parce qu’Il vous aimait. Il s’en soucia assez pour envoyer le Saint-Esprit afin de créer ce ministère aujourd’hui.

151 C’est ainsi qu’en ce temps-là Il prouva qu’Il prenait soin d’eux parce qu’Il vint pour confirmer ce que Dieu avait dit qu’Il serait. C’est la raison pour laquelle la femme Le reconnut. Elle dit: “Je sais que quand le Messie viendra, Il sera un prophète. Quand le Messie viendra, Il nous dira toutes ces choses”. Vous voyez, Il prit suffisamment soin de la Parole de Dieu pour la confirmer à cette femme. Amen!

152 Il envoya le Saint-Esprit pour qu’en cette époque de conceptions intellectuelles Il puisse, par le même Saint-Esprit, prouver au travers de nous et de la même manière qu’Il est toujours le Même. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Maintenant la question est celle-ci: Vous en souciez-vous? Qu’en pensez-vous? Cela est ici, cela a été prouvé maintes et maintes fois. Vous souciez-vous assez de cela pour y croire? Vous en souciez-vous suffisamment pour confesser vos péchés, pour confesser que vous avez tort? Confessez votre incrédulité et acceptez cela. Vous souciez-vous assez de ces choses pour accepter cela? Lui, Il s’en soucia au point de mourir et de ressusciter pour vous l’apporter. Vous en souciez-vous assez pour l’accepter? Je pense que la preuve a été faite depuis le temps de Noé en remontant jusqu’à la Genèse, tout au long des âges. Nous n’avons pas le temps d’étudier tout cela. Mais vous voyez qu’Il se soucie de vous, et qu’Il mourut afin que vous puissiez vous soucier de Lui, que vous ayez une voie ouverte. Il a ouvert cette voie. Il a dit exactement ce que cette Voie, ce Chemin ferait, et Il est ici aujourd’hui pour nous montrer que c’est la vérité. Maintenant, dans ces heures mauvaises où nous vivons, vous souciez-vous assez de cela pour le croire de tout votre coeur?

153 Quand vous vous joignez à une ligne de prière ou à quoi que ce soit, vous souciez-vous de ces choses? Rejetez vos soucis sur Lui car Il prend soin de vous! Soyez sincère à l’égard de ces choses. Vous vous souciez suffisamment pour être sincère car Il a prouvé par Sa Parole confirmée qu’Il prend soin de vous. Il a promis de L’envoyer, Il l’a fait! Il l’a promis dans la Parole et Le voici! Lui prend soin de vous; et vous? C’est vous qui devriez ensuite vous en soucier.

154 Il s’est assez soucié de vous, Il s’est assez soucié de vous pour conquérir pour vous chaque ennemi afin que tout ce que vous ayez à faire soit simplement d’être sincère et de croire. Il a conquis la mort. La mort n’est pas une chose que j’aie à conquérir, elle est déjà conquise. La maladie n’est pas une chose que j’aie à conquérir ou que Christ ait à conquérir: elle est déjà conquise. Je dois simplement m’en soucier assez pour y croire. Avez-vous peur de ce que quelqu’un d’autre vous a dit? Redoutez-vous le diagnostic du médecin? Avez-vous peur de ce que l’église dira? Craignez-vous de résister pied à pied au diable? Dites: «J’ai confessé mes péchés; j’ai tout déposé. J’ai cru chaque Parole. Me voici, Seigneur. Crée en moi ce souci. Tu T’es soucié de moi, je me soucie de Toi».

155 Je pense à ce cher vieux cantique: Il prend soin de vous. Dans la lumière ou les ténèbres, Il prend soin de vous!

Courbons la tête maintenant. Nous ne pouvons aller plus loin.

Il prend soin de vous,
Il prend soin de vous;
Dans la lumière ou les ténèbres,
Il prend soin de vous.

Chantons-le pour Lui la tête baissée et de tout notre coeur.

Il prend soin (considérons tout ce qu’Il a fait),
Il prend soin de vous;
Dans la lumière ou les ténèbres,
Il prend soin de vous.

Il prend soin (si vous vous en souciez vous-mêmes, levez la main tout en chantant)
Il prend soin de vous;
Dans la lumière ou les ténèbres,
Il prend soin de vous.

156 Père céleste, dans ces temps et à cette heure tardive du jour dans lequel nous vivons, nous confessons du plus profond de nos coeurs que nous savons maintenant par la Parole que Tu as toujours pris soin des Tiens. Mais la difficulté, Seigneur, est celle-ci: est-ce que nous nous en soucions? Est-ce que nous ne voulons pas recevoir simplement une formation pour pouvoir dire: moi, j’ai un diplôme de docteur en théologie? Cela, c’est connaître l’ordonnance, ce n’est pas prendre le médicament.

157 O Dieu, je Te prie afin que chacun puisse prendre l’affliction de Christ dans son coeur, que nous puissions prendre Ses souffrances sur nous, que nous puissions nous rendre compte que nous devons nous aussi prendre sur nous l’opprobre de Son Nom, que nous devons souffrir. Puissions-nous être comme les disciples d’autrefois qui, revenant, se réjouissaient d’avoir été trouvés dignes de porter l’opprobre de Son Nom. Accorde-le nous, ô Père!

158 Je vais prier pour les malades, Seigneur, en leur imposant les mains. Beaucoup lèvent la main et nous allons prier pour beaucoup de personnes qui ont une carte de prière. Plusieurs ne sont pas arrivés à temps pour en recevoir, mais ils vont croire, Seigneur; ils peuvent aussi lever la main; il me semble que toute l’assemblée lève la main! Beaucoup sont malades. Il y a aussi ces mouchoirs posés ici. Je sens Ta divine présence par la Parole ointe. Guéris-les, Seigneur; accorde-leur l’exaucement de leur requête.

159 Et maintenant, depuis ces mouchoirs jusqu’à cet auditoire, à tous ces êtres humains souffrants qui sont assis ici, ô Père, laisse descendre la présence du Seigneur et qu’Elle les guérisse tous! Le veux-Tu, Seigneur, ce matin par Ta grâce divine, pendant que nous le confessons? Moi, ton serviteur, je confesse mon incapacité. Je n’ai pas une seule chose à T’apporter ici qui soit méritoire. Nous sommes indignes. Aucun de nous ne peut le faire, Seigneur. Nous sommes indignes des choses que nous allons Te demander. Mais nous savons, Seigneur, que Jésus est monté dans la gloire où Il prépare une place pour nous recevoir auprès de Lui. Il nous a dit qu’Il nous enverrait un Consolateur, le Saint-Esprit qui accomplirait Ses oeuvres et demeurerait avec nous pour toujours.

160 O Saint-Esprit, Esprit de Dieu, viens tout à nouveau sur nous ce matin et confirme Ta présence, Seigneur, de la même manière que lorsque Tu marchais ici sur cette terre, afin que cet auditoire sache que Tu es ici en ces derniers jours pour confirmer Ta Parole et pour prouver que “comme il en était du temps de Lot, ainsi en sera-t-il à la venue du Fils de l’Homme”. Seigneur, c’est pour Ton honneur et pour Ta gloire que nous le demandons tandis que nous nous soumettons à Toi dans notre confession. Purifie-nous par Ton Sang, Seigneur, lave-nous avec l’eau de la Parole et purifie-nous dans le Sang. Et présente-nous, Seigneur, comme des «modèles» pour le monde incroyant, comme Pierre le dit dans le texte que nous avons lu ce matin, car nous le demandons au Nom de Jésus-Christ. Amen.

161 Je vais demander à la soeur de jouer du piano un petit moment. Nous serons peut-être un peu en retard aujourd’hui, mais je ne viens pas ici trop souvent! Ayez un peu de patience. Que chacun reste à sa place pendant quelques minutes. Nous allons prier pour tout le monde. Billy Paul est-il ici? Où as-tu distribué les cartes de prières? Quelle série? B, de 1 à 100. Prenons-en quelques-unes de la série B et voyons s’Il nous donnera le discernement. Voyons s’Il est au milieu de nous. Adressez-Lui vos requêtes. Croyez-vous qu’Il vous exaucera? J’étais oint en prêchant, mais comme vous le voyez je me suis un peu éloigné de mon sujet.

162 Que tout le monde se lève. Nous allons de toute façon prier pour tout le monde. Commençons par le numéro 1. [Frère Branham appelle les malades jusqu’au numéro 10 — N.d.T.] … Bien, petit garçon.

163 Ce petit garçon me fait penser à une chose attendrissante. Il y a quelque temps, alors que j’entrais, un petit garçon qui se tenait là me dit: «Frère Branham, voulez-vous faire quelque chose pour moi?». Il était à peu près de la taille de celui-ci. Je dis: «De quoi s’agit-il, fiston?».

164 Il me répondit: «Priez pour ma mère. Elle prend le Nom de Dieu en vain et mène une si vilaine vie!».

    Je lui demandai: «Où demeures-tu? Ici en ville?».

    — «Oui, Monsieur».

165 Il voulait que sa maman soit une femme de bien. Esaïe n’a-t-il pas dit: “Un petit enfant les conduira”?

166 Numéro 10. N’est-ce pas le numéro 10? [Frère Branham continue d’appeler jusqu’au numéro 18 — N.d.T.] … Bien, soeur. Maintenant passez de ce côté, si vous voulez bien. Maintenant regardez la ligne de prière. Voilà! Cela suffit pour le moment.

167 Quand la ligne de prière diminuera, que Billy Paul ou l’un de ceux qui sont ici sur l’estrade… que frère Neville fasse signe comme cela, car je vais prier pour que le Saint-Esprit…

168 Voici maintenant cet homme dans une chaise roulante. Avez-vous une carte de prière? Bien! Placez-le directement dans la ligne de prière. Y a-t-il quelqu’un d’autre qui ne puisse se lever tout seul? Que quelqu’un les aide quand leur tour viendra. Maintenant continuez simplement où je me suis arrêté: 18 ou 20. Et placez-les en suivant. 21, 22. Vous reconnaîtrez votre place quand vous y arriverez.

169 Vous souciez-vous de ces choses? Croyez-vous qu’Il a toujours pris soin de vous? Croyez-vous qu’Il prend soin de vous maintenant? S’Il a pris soin de vous une fois, Il le fera toujours. Croyez-vous cela? [L’assemblée répond: «Oui!» — N.d.R.] Maintenant je voudrais que chacun se tienne véritablement dans une attitude respectueuse, reste à sa place et prie. Vous tous dans la salle, priez aussi. Comment prit-Il soin? Il ne pouvait le faire davantage! Et aucun homme, aucun prophète ne peut aller au-delà des limites de l’oeuvre que Dieu a promise, n’est-ce pas? Maintenant, peu importe que vous soyez venus dans la ligne de prière une centaine de fois, mais vous qui vous tenez debout ici et vous qui êtes assis, s’il y a un péché dans votre vie, de l’incrédulité, confessez-le tout de suite. Ne vous avisez pas de venir ici sans cela! Autrement, quelle que soit l’onction qui pourrait être sur l’homme qui vous impose les mains, vous manqueriez le but de centaines de miles si vous ne croyez pas! Vous devez croire, vous devez le confesser. Il le faut! J’espère que vous vous en rendez bien compte. Il est totalement impossible que Dieu ne tienne pas Sa Parole envers vous si vous tenez votre parole envers Lui. Vous voyez? Si vous croyez sincèrement, rien ne peut vous faire douter. Le temps, l’espace, rien ne peut vous faire douter: vous croyez! Croyez-vous? [L’assemblée dit: «Oui! Amen!» — N.d.R.]

170 Maintenant je vais regarder cette ligne de prière. Pour autant que je sache, à part cet homme ici et Gene Slaughter là-bas, je ne connais personne et je ne sais pas pour quelle raison ils sont ici. Je n’en ai pas la moindre idée. Dieu le sait. Et si vous savez que j’ignore tout à votre sujet, levez la main, vous tous qui êtes debout là. Combien dans cette salle savent que j’ignore tout d’eux? Levez la main. Et qui est conscient que Jésus sait tout ce qui vous concerne?

171 Combien parmi vous veulent répéter après moi: je crois… [l’assemblée dit: «Je crois» — N.d.R.] de tout mon coeur… [«de tout mon coeur»] que Jésus… [«que Jésus»] m’a guéri… [«m’a guéri»] quand Il fut crucifié… [«quand Il fut crucifié»] au Calvaire… [«au Calvaire»]. C’est vrai, donc s’Il l’a fait, c’est à votre foi de l’accepter. S’Il s’en est soucié au point de faire cela, vous en soucierez-vous assez pour rejeter tout doute et croire? Déchargez-vous sur Lui de tous vos soucis car Il prend soin de vous.

172 Si vous êtes malade, si vous êtes affligé, eh bien, vous savez, j’ai vu des dizaines de milliers de choses que le Saint-Esprit a faites. Vous le savez. Des paralysies spasmodiques et même des morts…

173 Un homme est tombé mort sur l’estrade droit devant nous il y a environ trois semaines. Sa femme, assise là, est infirmière diplômée. L’homme s’est affaissé tout à coup. Maintenant il est assis quelque part dans cette salle. Lui et sa femme sont ici ce matin. Oui! Le voici debout ici même. Ses yeux étaient révulsés, il était devenu tout bleu. Je me suis penché sur lui, sa femme l’a examiné. Son coeur ne battait plus. J’ai posé mes mains sur lui (il était parti) et j’ai simplement appelé son esprit au Nom de Jésus: alors il s’est relevé. Vous voyez?

174 Comment cela s’est-il fait? Jésus est la résurrection et la vie! Ce n’était pas moi. Ce fut le Consolateur qui agit, le Saint-Esprit intercédant pour nous. Vous voyez? Nous L’avons accepté et maintenant c’est à Lui de faire l’intercession. Que pourrais-je faire? Dieu peut-Il vous sauver contre votre volonté? Certainement pas! Il ne peut pas vous guérir contre votre volonté. Vous devez croire.

175 Que se passera-t-il s’Il peut prouver, si Dieu, par un don divin, me laisse vous montrer que Jésus-Christ est ici avec nous, que ce Consolateur est Jésus-Christ, qu’Il est la Parole: “Au commencement était la Parole…”. N’est-ce pas vrai? “La Parole était Dieu. Et la Parole fut faite chair et demeura parmi nous”. Et la Bible dit dans Hébreux 4 que: “La Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée à deux tranchants, Elle discerne les pensées du coeur”. N’est-ce pas vrai? Et c’est ce que Jésus fit pour prouver qu’Il était la Parole ointe, le Messie. Oh, frères! Ne le voyez-vous pas? Qu’est-ce que le Messie? L’Oint. Qu’est-ce qui est oint? La Parole. “Et la Parole fut faite chair”. Il était la Parole ointe. Comprenez-vous cela, frère Vayle? Il était la Parole ointe!

176 Et quand vous vous abandonnez à Lui, Il vous emploie au-delà de ce que vous pourriez penser pour prouver qu’Il est toujours la Parole ointe qui discerne les pensées du coeur. Oh, comment quelqu’un pourrait-il douter? Croyez simplement! Ne doutez pas! Et pour vous qui êtes encore assis, j’ai traité ce sujet ce matin: une pauvre femme qui se faisait du souci parce qu’elle ne pouvait peut-être pas être dans la ligne de prière, mais qui toucha le bord de Son vêtement. Alors Jésus se retourna. Le croyez-vous? Croyez-vous que cela peut se faire de nouveau aujourd’hui? Oui! Aimeriez-vous Le toucher?

177 La Bible dit que Jésus est le Souverain Sacrificateur, qu’Il est maintenant même un Souverain Sacrificateur assis à la droite de la majesté de Dieu pour faire l’intercession sur notre confession. Nous confessons que nous croyons en Lui, et nous désirons toucher le Souverain Sacrificateur. Et si nous Le touchons, comment agira-t-Il? Il est ici sous la forme du Saint-Esprit. Alors Il répondra et vous dira exactement ce qui en est. N’est-ce pas vrai? Croyez cela et restez simplement assis, restez tranquilles, restez dans le respect et observez ce qui se passe. Maintenant, s’Il veut bien le faire au moins trois fois, cela suffira. N’est-ce pas? Trois fois: une, deux, trois, s’Il veut le faire.

    Comment allez-vous, soeur?

178 Attendez un moment tandis que nous prions. Vous comprenez, c’est quelque chose d’un peu différent maintenant. J’ai prêché et maintenant je passe à cela. Je n’ai pas fait appel au Seigneur pour cela depuis longtemps, mais le Seigneur connaît mon coeur. Puisse-t-Il exaucer votre requête. Je crois qu’Il le fera.

179 Voici une femme. Nous sommes étrangers l’un à l’autre. Pour autant que je sache, je ne l’ai jamais vue de ma vie. Elle a peut-être été dans une salle ou une autre; peut-être me connaît-elle par une brochure, mais notre Père céleste sait que, pour autant que je sache, je ne l’ai jamais vue. Elle m’est étrangère.

180 S’Il est le même, voici un homme et une femme qui se rencontrent comme Jésus rencontra une femme au puits. J’en ai parlé récemment. Il se souciait d’elle. Peut-être que cette femme ici n’est pas coupable de la même chose, mais il y a quelque chose qui ne va pas. Mais Jésus prend soin d’elle tout autant que de la femme au puits. Vous voyez, Il prend soin. Quand cette dernière vit le signe, elle le reconnut. Nous voici en face l’un de l’autre. Je ne l’ai jamais vue.

181 Maintenant si le glorieux Saint-Esprit, l’Invisible, si les sens de la foi veulent me le révéler… C’est Lui qui a donné les sens de la foi, et Sa Parole s’est tellement approchée de nous ces derniers jours que maintenant nous en avons la photo ici. Il L’a apportée si près de nos sens (qu’Il a oints) que nous avons pu La voir ici se mouvoir près de nous sous la forme d’une colonne de feu, n’est-ce pas? Il est ici; je sais qu’Il est ici. Ma foi me dit qu’Il est ici. Maintenant, s’Il peut se matérialiser assez pour saisir la vie de cette femme selon Sa promesse, le Saint-Esprit fera la même oeuvre que Jésus fit.

182 Comme je viens de prêcher, je veux juste vous parler une minute pour y voir clair.

183 C’est comme lorsqu’Il parla à la femme au puits. Il lui dit: “Donne-moi à boire!”. Il était assis là, pensant probablement à ceux qui étaient allés chercher des vivres; il fallait qu’Il lui parlât un moment, vous comprenez. C’est le Père qui l’avait envoyé là. Il le fallait. Il allait à Jéricho; Il monta par la Samarie qui est sur la montagne. Il devait passer par là.

184 D’une façon ou d’une autre, je devais le faire; c’est le Père qui m’a envoyé d’Arizona ici et qui vous a fait venir. C’est exactement pareil: rien n’arrive par hasard. La grâce de Dieu fait ce qui est juste.

185 Madame, je ne vous connais pas et vous avez l’air d’être en parfaite santé. Et peut-être que ce n’est pas pour cela que vous êtes ici. C’est peut-être pour autre chose, un être aimé, un problème domestique ou financier. Je n’ai aucun moyen de connaître cela, vous le savez. Mais s’Il m’explique pourquoi vous êtes ici, vous saurez si c’est la vérité ou non. Et alors, l’auditoire croira-t-il d’un seul coeur? Vous nous entendez, c’est enregistré et nous nous tenons ici sur l’estrade.

186 Je vois cette dame tenir sa tête ainsi. Elle souffre de maux de tête, de migraines. Ce sont des douleurs persistantes, continuelles. C’est vrai. Si c’est vrai, levez la main. Vous voyez, c’est vrai! Autre chose. Elle a des ennuis thyroïdiens d’après ce qu’on lui a dit. En tout cas cela vous dérange. Le médecin a raison: c’est la thyroïde. Il y a des complications. Il y a bien des choses qui ne vont pas chez vous: les nerfs, vous êtes troublée. Vous vous sentez frustrée. — «Je ne sais plus où j’en suis, si je suis en moi ou hors de moi!». C’est exact. C’est la vérité. Dieu vous connaît. Vous ne pourriez pas vous cacher de Lui maintenant, même si vous le vouliez. Vous voyez? Croyez-vous qu’Il puisse me dire ce que vous avez et qui vous êtes? Eh bien, Viola, vous pouvez rentrer chez vous. Jésus-Christ vous guérit! Croyez-vous?

187 Moi, je ne sais rien. Jésus-Christ, Lui, connaît toutes choses. Voici une autre personne qui m’est étrangère. Dieu nous connaît tous les deux. Croyez-vous que je sois Son prophète, Son serviteur? Croyez-vous que ce que j’ai prêché sur Sa Parole soit la vérité? Vous le croyez? Si le Seigneur Jésus me dit pourquoi vous êtes ici, croirez-vous que je suis Son serviteur? Il fait cela parce qu’Il se soucie de vous. Il Se fait du souci pour vous et s’Il le fait, c’est parce qu’Il vous aime. Il prend soin de tous ceux qui viennent dans la ligne de prière. Il prend soin d’eux. Vous avez eu un ennui, un accident, un accident d’automobile. Cela vous a fort secoué. C’est vrai! Vous avez des ennuis avec un de vos membres. C’est vrai. Cela va s’arranger et cette nervosité va sortir de vous. Rentrez simplement chez vous en remerciant le Seigneur et en disant: «Loué soit le Seigneur!».

    Si tu crois, tout est possible! Bien.

188 Croyez-vous? Je ne vous connais pas, vous m’êtes étrangère. Mais Dieu vous connaît. Croyez-vous qu’Il puisse me dire pour quelle raison vous êtes ici ou quelque chose d’autre à votre sujet? Le croyez-vous? [La femme répond: «Oui!» — N.d.R.] Il y a une autre femme. Ce n’est pas vous qui êtes malade. Non, vous êtes ici pour quelqu’un d’autre, pour votre mère. C’est vrai. Elle a aussi quelque chose à un de ses membres. C’est vrai. Elle n’est pas ici. Elle est près d’un endroit d’apparence anglaise quelque part par là-bas. C’est vrai. Croyez-vous? Très bien! Vous pouvez aller, elle est guérie.

189 Il y avait deux femmes dont l’une était beaucoup plus âgée. C’est pourquoi je me demandais ce qui se passait et que je regardais pour discerner. Le Seigneur connaît toutes choses, n’est-ce pas? Et Il peut tout! Le croyez-vous? Amen! N’est-Il pas merveilleux? Je L’aime. Il est ma vie. Il est tout ce que j’ai. Il est tout ce que je désire.

190 L’onction a suivi cette dame. Voici une autre dame assise là qui souffre de nervosité; elle a une grosseur sous le bras. Est-ce exact? Quand cette autre dame a posé la main sur vous, vous avez eu une sensation étrange. N’est-ce pas vrai? C’était quand Il vous a guérie. Vous allez être bien et vous n’aurez plus besoin de cette béquille. Regardez où est cette dame qui priait, tandis que je priais pour elle. Et que s’est-il passé? J’ai vu une autre femme et j’ai regardé dans sa direction. Il y avait un sentiment très fort. Elles doivent se connaître car cette femme éprouve de l’affection pour celle qui est ici. Quand cette femme est descendue et a touché l’autre, j’ai regardé et vu quelque chose là-bas. Et elle se tenait debout. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Dieu dans les cieux le sait. Oh, frères, comment pourriez-vous douter?

191 Si vous pouvez croire, Dieu peut même vous enlever des mauvaises habitudes! Le croyez-vous? Croyez-vous qu’Il va vous guérir? Allez! vous cesserez de fumer maintenant même et vous n’en fumerez plus jamais une seule! Allez et croyez de tout votre coeur. Ayez foi en Dieu! Ne doutez pas!

192 Croyez-vous? Avons-nous pris trois personnes maintenant? Ayez foi en Dieu! Ne doutez pas! Croyez simplement. Croyez-vous qu’il y ait une onction ici maintenant? [L’auditoire répond: «Oui, amen!» — N.d.R.] Amen! Ne doutez pas! Croyez!

193 Je vais poser les mains sur vous et croire. Voulez-vous croire avec moi? [L’homme répond: «Oui Monsieur!» — N.d.R.] Au Nom de Jésus-Christ, que ce frère soit guéri! Amen. Ayez foi maintenant. Ne doutez pas. Attendez une minute.

194 Il s’est passé quelque chose dans la salle, là au fond et je n’ai pas pu le voir; c’est là-bas au fond. Je crois que c’est caché de ma vue juste maintenant. Voilà! Je le vois dans une ombre. C’est un homme; il souffre des nerfs. Il a un garçon épileptique. Croyez de tout votre coeur, Monsieur! Croyez-vous? C’est cela! Bien. Posez votre main sur ce garçon et il ira bien. Amen! Que le Seigneur soit loué!

195 Croyez-vous? Ce démon a cru qu’il pourrait se dissimuler, mais il a échoué. Croyez-vous? Cette chose est encore en mouvement quelque part. Oh, mes frères, quelle grâce et comme Il prend soin! Attendez! Il y a un autre épileptique par là. Oui, ici même. Croyez-vous? Ayez foi! Croyez-vous que Dieu vous connaît? Vous pouvez retourner dans l’Ohio, vous êtes guéri, M. Nelson T. Grant. C’est votre nom. Si vous croyez, ces choses vous quitteront et ne vous ennuieront plus. Je n’ai jamais vu cet homme de ma vie, je ne sais rien de lui.

    Vous ne pouvez le cacher maintenant, le Saint-Esprit est ici!

196 Baissons la tête et donnons louange à Dieu. Seigneur Jésus, nous Te remercions. Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement. Ta grâce ne fait jamais défaut, Seigneur, elle est toujours la même. Je Te prie pour que Ta grande miséricorde et Ta bonté reposent sur le peuple. Tu T’es assez soucié de nous, Seigneur, pour venir et Te manifester. Tu es Dieu. Tu es le Saint glorieux, le glorieux Saint-Esprit. Puissent ces gens croire, Seigneur, tandis qu’ils défilent ici; que chacun d’eux soit guéri. Ton onction étant présente, je m’étends sur ces mouchoirs. Je Te prie, Seigneur, d’exaucer ces requêtes, ô Père. Exauce, Seigneur, ici et dans la salle.

197 Que chaque personne qui est dans la Présence divine prenne bien soin de croire maintenant que Tu t’es soucié suffisamment pour Te lever au dernier jour au milieu de Ton peuple et le confirmer. Tu ne peux pas les guérir, Seigneur, Tu ne peux faire ce que Tu as déjà fait: Tu les a déjà guéris. Et la seule chose qui puisse être faite est de les faire croire. Et Tu t’en soucies assez, bien que nous marchions en chancelant dans toute notre incrédulité; Tu t’en soucies assez pour Te manifester comme étant le Vivant, ressuscité des morts et se tenant au milieu de nous. Puissions-nous rejeter nos soucis sur Toi et que chaque personne qui se trouve dans Ta divine Présence soit guérie aussi bien dans son âme que dans son corps. Au travers du Nom de Jésus-Christ. Amen!

198 Bien. Passez par ici. Que les gens passent par ici. Billy les appellera groupe par groupe. Ne parlons plus. L’onction est sur moi, vous comprenez. Je veux vous imposer les mains pendant qu’elle est là. Vous voyez? Je ne veux pas interrompre le discernement. Si je le fais… Combien y en a-t-il ici qui désirent que l’on prie pour eux? Levez la main. Environ soixante-dix pour cent! Il est une heure moins dix. Puis nous aurons un service de baptême. Je ne pourrai pas m’en occuper, mais vous pouvez croire! S’Il se soucie assez de vous pour se manifester, vous devriez vous soucier assez de Lui pour croire, n’est-ce pas? Bien. Que toute l’assemblée prie. Et Billy ou le frère Neville tiendra le microphone. Gardons la tête baissée et prions tandis qu’ils passent dans la ligne de prière. Je vais maintenant prier pour chacun de vous, vous imposer les mains et demander que tout mal vous quitte tandis que vous passez sous ce point d’onction, si je puis dire. L’onction qui est là-bas est la même que celle qui est ici. Mais c’est pour votre foi que je dis cela. Que chacun prie maintenant.

199 Au Nom de Jésus, que ce petit garçon soit guéri. Amen! O Dieu, au Nom de Jésus-Christ, que notre frère soit guéri. Au Nom de Jésus-Christ. J’obéis à Ton commandement, Seigneur. Tu as dit: “Ces signes accompagneront ceux qui auront cru…”. Tous deux sont des croyants. “S’ils posent leurs mains sur les malades, ceux-ci seront guéris”. Au Nom de Jésus, c’est ce que je fais. Au Nom de Jésus-Christ je pose les mains sur ce frère. Amen. Au Nom de Jésus-Christ je pose les mains sur notre frère pour sa guérison. Amen.

200 Il prend soin de vous, soeur. Je prends soin de vous imposer les mains. Vous souciez-vous assez de Lui pour croire? Amen! Au Nom de Jésus-Christ, que notre soeur soit guérie

201 Au Nom de Jésus-Christ… [Frère Branham impose les mains à dix-sept frères et soeurs — N.d.R.] … Frère, Dieu se soucie de vous. Et vous? Au Nom de Jésus-Christ, soyez guéri!

202 Que tout le monde prie maintenant. Tout le monde. Ce sont des membres de vos familles qui passent.

203 Au Nom de Jésus… [Frère Branham impose encore les mains à dix-sept autres personnes — N.d.R.]

204 Soeur, Dieu se soucie de vous. Et vous? Au Nom de Jésus, recevez votre guérison. [Frère Branham impose les mains à seize malades dont un petit garçon et frère Creech — N.d.R.]

205 Dieu vous bénisse, frère! Est-ce là votre femme? Que le Seigneur vous bénisse, frère. Que mon frère ici soit guéri au Nom de Jésus. [Frère Branham impose les mains à neuf autres malades — N.d.R.]

206 J’offre ma prière sincère pour chacun de vous aussi. Vous vous souciez maintenant. Jésus prend soin! Jésus a envoyé le message. Jésus a envoyé Son Esprit. Jésus a envoyé Sa Parole. Jésus a envoyé Son serviteur. Nous nous soucions tous de cela, n’est-ce pas? Si vous vous en souciez, que vous le croyez et l’acceptez en toute sincérité, cela s’accomplira. [Frère Branham continue à prier pour les malades — N.d.R.]

Il prend soin de vous,
Il prend soin de vous;
Dans la lumière ou les ténèbres,
Il prend soin de vous.

Il prend soin de vous… (déchargez-vous simplement sur lui de tous vos soucis)
Il prend soin de vous;
Dans la lumière ou les ténèbres,
Il prend soin de vous.

207 Vous souciez-vous de Lui? Vous souciez-vous de Sa Parole? Amen! Que le Seigneur vous bénisse. Baissons la tête un moment. Je crois avoir répondu à vos demandes. J’ai répondu à vos demandes, n’est-ce pas? A chacun de vous.

208 Il y a un moment, j’ai commis une petite erreur dans cette réunion. Je suis sûr que quelqu’un l’aura remarqué. Et le Seigneur vient de me le signaler. J’ai dit à une personne quelque chose qui était destinée à une autre. Je ne vois pas cette personne, mais j’ai mis sur elle une bénédiction qui était pour une autre. Ils défilaient vraiment vite et je ne l’avais pas remarqué. Ah oui, je vois maintenant. C’est cet homme et cette femme qui sont assis juste ici. Si je ne me trompe pas, je leur ai serré la main hier soir dans la cour d’un motel, le «Jeffersonvilla». Tandis qu’ils passaient dans la ligne, j’ai dit quelque chose à l’homme en lui disant «soeur» au lieu de «frère». L’avez-vous remarqué? Je le disais pour votre femme. Elle souffre de l’intestin depuis quelque temps, depuis longtemps. Vous venez de l’Illinois, Mrs Mongaland. C’est votre nom. Vous savez que je ne vous connaissais pas, mais maintenant vous êtes en contact. Vous croyez de tout votre coeur; vous aurez une élimination complète et normale comme cela se passait toujours autrefois, si vous croyez. Afin que vous puissiez voir que tout le temps…

209 Tout ce que je sais, c’est que je me rappelle avoir pensé hier soir à cet homme. Je me disais qu’il avait une si belle chevelure; ses cheveux étaient partagés au milieu. C’est cet homme aux cheveux gris qui est assis là. Je regardais juste comme cela et je vis cette lumière briller juste au-dessus d’eux, enveloppant leur tête ainsi. C’est ainsi que cela se passa. Puis je vis la vision apparaître. Je ne savais pas qui ils étaient, ni rien à leur sujet. La dame était là-bas hier soir. Je lui ai demandé: «Venez-vous à la réunion?». Elle me répondit: «Oui!». La grâce de Dieu a tout remis à sa place. C’était elle. Frère, avez-vous remarqué que dans la ligne de prière quelque chose avait été interverti? C’était pour la soeur et non pas pour vous. C’est juste, c’est allé à la soeur.

210 Maintenant sachez que tout au long de cette ligne de prière cet Ange du Seigneur était là. On pourrait encore l’appeler. Mais lorsque vous le faites, cela m’affaiblit, m’affaiblit, m’affaiblit. Vous voyez? Il prend soin de vous, et je prends soin de vous. J’aurais pu continuer, mais après quatre ou cinq personnes, Billy aurait dû m’emmener hors de l’estrade. Mais j’ai pensé que si j’ai vécu toutes ces années ici avec vous et parcouru le pays tout entier, c’est parce que je vous aime. Oh, je vous aime comme si vous étiez mes propres enfants, et vous êtes mes enfants dans l’Evangile. Je vous ai engendrés à Christ par l’Evangile. Et maintenant je pense avoir répondu à toutes vos requêtes.

211 Je vous aime. Je pensais vous imposer les mains (et vous avez vu le Saint-Esprit à l’oeuvre). Mais il y a eu un petit incident dans la ligne de prière. Cela m’a échappé car j’allais rapidement et j’ai prononcé une bénédiction sur une personne à qui elle n’était pas destinée. Mais le Saint-Esprit est revenu après la réunion et m’a fait remettre les choses à leur place. Ne voyez-vous pas qu’Il prend soin? Et vous, vous souciez-vous de Lui? Vous souciez-vous assez pour dire: «A partir de maintenant quelque chose dans mon coeur me dit que mes tourments sont terminés. Je vais bien. Je vais être en bonne santé». Le croyez-vous? Levez la main et dites: «Je le crois!». Que Dieu vous bénisse!

Dans la lumière ou les ténèbres,
Il prend soin de vous.

212 C’est une grande fête d’amour. Chantons en nous serrant la main les uns les autres.

Il prend soin de vous,
Il prend soin de vous;
Dans la lumière ou les ténèbres,
Il prend soin de vous.

213 Je vous ai gardés longtemps ce matin! Mon pasteur ne prêche pas aussi longtemps que moi. Il essaiera de vous apporter le message de ce soir et nous donnerons les renseignements au sujet du service de dimanche prochain. Si je ne le fais pas, il y aura de toute façon les services comme d’habitude. Que le Seigneur bénisse chacun de vous. Je crois qu’il va y avoir maintenant un service de baptême.

214 Si vous voulez juste vous lever encore un moment tandis que nous terminons. Chantons encore: «Déchargez-vous sur Lui de tous vos soucis car Il prend soin de vous». Et maintenant si vous vous souciez de Lui, disons; «Seigneur…». En le faisant, faites cette déclaration: «Seigneur, je sais que Tu prends soin de moi. Et je lève mes mains parce que je me soucie de Toi». Tandis que nous chantons, élevons nos mains dans cette fête de l’amour divin.

Il prend soin de vous,
Il prend soin de vous;
Dans la lumière ou les ténèbres,
Il prend soin de vous.

215 Maintenant baissons la tête et disons… [Frère Branham chantonne: Il prend soin de vous — N.d.R.] Oh, la douceur de mon Seigneur! Ne sentez-vous pas Son amour qui vous attire tout près de Lui? Dites: «Seigneur, je T’aime, je T’aime. Tu prends soin de moi, Seigneur, Tu as pris soin de moi au point de mourir pour moi quand j’étais un pécheur. Tu as été blessé pour mes transgressions; par Tes meurtrissures j’ai été guéri».

Il prend soin de vous,
Il prend soin de vous;
Dans la lumière ou les ténèbres,
Toujours Il prend soin de vous.

216 Souvenez-vous de cela tandis que vous baissez la tête. Je vais demander au frère Edwards ici de bien vouloir conclure par la prière. Mais d’abord, fredonnons encore une fois ce cantique. [Frère Branham fredonne: Il prend soin de vous — N.d.R.] Souvenez-vous-en, dans la lumière ou les ténèbres, Il prend toujours soin de vous. Il a pris soin de vous. Vous souciez-vous de Lui? Dites: «Oui, Seigneur, je Te promets de me soucier de Toi; dès maintenant et dorénavant je veux me soucier de mon témoignage». [Frère Branham continue à fredonner: Il prend soin de vous — N.d.R.] Il a pris soin de vous. Frère Edwards…