“Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui, et éternellement” (Hébreux 13.8).

LETTRE CIRCULAIRE N° 8

SEPTEMBRE 1976

 


 

Chers frères et soeurs dans le Seigneur,
C’est dans le précieux Nom de Jésus-Christ que je vous salue de tout coeur. Nous sommes confondus à la vue de tout ce que Dieu fait. Le chemin dans lequel Il S’engage avec les Siens est tellement clair, et aussi tellement significatif, que personne ayant les yeux ouverts ne peut passer à côté sans le voir. Le Ressuscité montre aujourd’hui encore qu’Il est le Vivant parmi les Siens. Il parle et agit, et Il révèle Sa Parole et Sa volonté. Nous pouvons dire sans cesse: «Reconnaissez que le Seigneur conduit merveilleusement Ses saints!».

Nous allons de clarté en clarté, de connaissance en connaissance, et en cela, il n’y a pas d’interruption. Et nous croyons aussi que dans l’avenir, il n’y en aura pas. Car, aussi longtemps que c’est le Seigneur qui conduit, tout continue à avancer. Lorsque c’est Lui qui conduit, tout va de victoire en victoire. Cependant, nous devons reconnaître que c’est Son oeuvre, et nous considérer seulement comme Ses collaborateurs. En Christ, Dieu a commencé une nouvelle création (Apoc. 3.14), et maintenant, dans l’âge de l’Eglise de Laodicée, cette création Divine doit trouver son achèvement. L’oeuvre de Dieu arrive à son achèvement.

En aucune manière nous ne fixons le temps et les moments, car ils reposent uniquement entre les mains de Dieu. Pour nous, même l’accent mis sur l’année 1977, sur laquelle non seulement frère Branham, mais d’autres encore, ont insisté, ne joue qu’un rôle secondaire L’essentiel est notre préparation devant le Seigneur, afin que nous puissions Le rencontrer lorsqu’Il viendra, et que nous puissions aller à la rencontre de l’Epoux de nos âmes.

Déjà Paul et les croyants de l’Eglise primitive attendaient le retour du Seigneur, car la promesse disait: “Je vais vous préparer une place. Et, lorsque je m’en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis, vous y soyez aussi” (Jean 14.2-3). Dans toute décision terrestre ou spirituelle, nous voulons demeurer absolument sobres. Si les enfants sont assujettis à l’école, nous les y envoyons; ceux qui font des études les poursuivent; celui qui peut bâtir doit le faire, et celui qui peut semer doit semer. Dans tous les domaines de la vie, dans tous nos plans et actions, nous demeurons parfaitement sobres, jusqu’à ce que le Seigneur vienne.

Si nous pouvons nous confier à ceux qui ont fait des calculs, il se trouve que 1977 est la soixante-dixième fête du Jubilé depuis que celle-ci a été instituée par Moïse, et elle apportera un changement de direction important dans l’histoire de l’humanité. A partir de cette date, nous comptons qu’en très peu de temps, tout arrivera à son terme. Cependant, nous devons également nous souvenir que le Seigneur a dit: “Veillez donc, puisque vous ne savez pas quel jour votre Seigneur viendra” (Mat. 24.42).

Si Dieu S’en tient à la manière de compter que nous avons à notre disposition, alors, le temps est très avancé. Les Juifs célébreront leur Jubilé et la fête des Tabernacles l’année prochaine, du 15ème au 21ème jour du septième mois. Personne d’entre nous ne peut dire à l’avance ce qui se rattachera à cette célébration. Mais, en tant que chrétiens qui attendons le Seigneur, nous serions réjouis de voir arriver le jour et l’heure d’entrer dans la gloire.

LA CHARGE CONFIEE A L’EGLISE

J’aimerais considérer les paroles de 2 Corinthiens 5, dès le verset 14. Dans ces passages, il est question de l’amour de Christ qui nous presse. Bienheureux celui qui peut dire avoir expérimenté que l’amour de Dieu, manifesté en Christ à la Croix de Golgotha, le presse et le conduit. Seul l’amour de Christ doit être l’inspiration de notre coeur.

Paul décrit cet amour sous ses multiples faces et dans ses relations les plus variées. Il souligne ici que: “… si un seul est mort pour tous, tous donc sont morts et qu’il est mort pour tous, afin que ceux qui vivent ne vivent plus pour eux-mêmes, mais pour celui qui est mort et ressuscité pour eux” (v. 15). C’est là que se trouve le mystère de notre vie avec Dieu, laquelle porte des fruits uniquement dans la communion avec LUI, et peut ainsi être en bénédiction à d’autres. Nous ne nous appartenons pas à nous-mêmes, mais nous LUI appartenons, car c’est LUI qui nous a rachetés.

Tous ceux en qui habitent ces sentiments prennent à coeur ce qui est écrit plus loin: “Ainsi, dès maintenant, nous ne connaissons personne selon la chair; et si nous avons connu Christ selon la chair, maintenant, nous ne le connaissons plus de cette manière”. Nous voyons les rachetés de la manière que les voit le Rédempteur, c’est-à-dire au travers du Sang répandu pour la réconciliation. Il nous a arrachés à la mort, et nous a donné la Vie éternelle. Il veut vivre Sa Vie sur cette terre au travers de notre vie. Il veut révéler ici Sa force et Sa puissance de résurrection en nous. L’apôtre continue en disant: “Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont devenues nouvelles!”. Nous le croyons et l’avons aussi expérimenté. Nous pouvons préciser le jour et l’heure où Dieu nous a rencontrés, où Il a pardonné nos péchés et nos fautes, où nous avons abandonné nos propres voies pour que Dieu puisse nous faire entrer dans Ses voies à Lui. Il est nécessaire pour cela de passer par une véritable conversion par laquelle on se tourne vers Dieu, ainsi que par une nouvelle naissance qui fait de nous une nouvelle création.

Nous n’avons pas de mérite à cela, mais c’est l’action de Dieu qui opère. C’est pourquoi l’apôtre a pu écrire: “Et tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ et qui nous a donné le ministère de la réconciliation”. C’est la pensée principale que nous retiendrons de cette méditation: qu’Il a mis la Parole de la réconciliation en ceux qui ont eux-mêmes expérimenté la réconciliation avec Dieu. La Parole de la Croix est en ceux mêmes qui ont expérimenté la victoire de la Croix. Ici, aucune théorie n’a de valeur, aucune opinion ou interprétation chrétienne ne compte. La Bonne Nouvelle consiste en ceci: “Dieu et l’homme sont réconciliés et unis en Christ”. Seul celui qui a expérimenté cette réconciliation et cette union peut communiquer à d’autres le message victorieux de Golgotha. Dieu ne nous tient plus compte d’aucun mal. Il a tout pardonné, et a placé en nous la Parole de la réconciliation avec Lui-même. De tels croyants ne parlent plus pour eux-mêmes, ou pour une certaine doctrine, mais bien pour Christ. Ils reconnaissent que Dieu en Christ a réconcilié le monde avec Lui-même, comme il est écrit au verset 19: “Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n’imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation”. L’heure est venue dans laquelle Jésus-Christ, en tant que crucifié, doit être placé à nouveau devant nos yeux. La victoire de la Croix ne peut être révélée que là où Jésus-Christ est représenté à la Croix. Nous devons Le voir, et reconnaître qu’Il est mort pour nous, qu’Il a expié nos péchés, et que par Sa mort expiatoire, nous avons reçu le pardon de nos péchés et, par notre foi en Lui, la Vie éternelle.

“Nous faisons donc les fonctions d’ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous; nous vous en supplions au nom de Christ: Soyez réconciliés avec Dieu!”. La Parole de la Croix est une puissance seulement pour ceux qui croient la prédication. Dieu parle par ceux qui ont prêté attention à Sa Parole. Il offre la réconciliation à travers ceux qui sont réconciliés. Christ parle par nous à ceux qui sont perdus, en leur offrant le salut. Il parle au travers de nous à ceux qui sont liés, et leur fait savoir qu’ils sont déliés. Il parle aux malades par nous, et leur apprend qu’ils sont guéris. Aux affligés, Il déclare: “Prenez courage, j’ai vaincu le monde”.

L’Eglise de Jésus-Christ passe en ce temps par un chemin de profonde humiliation, et par la purification, afin que la pleine victoire de notre Dieu puisse être révélée. Avant que notre Seigneur Jésus, sur la Croix de Golgotha, eût achevé de triompher du péché, de la maladie et de la mort, Il dut passer par Gethsémané, par les souffrances, les luttes, les prières et les supplications. C’est de la même manière que l’Eglise s’avance maintenant sur ce chemin. Avant l’ultime victoire de Dieu, avant que puissent avoir lieu la conclusion, l’achèvement et le couronnement de l’oeuvre de Dieu dans la nouvelle création, commencée avec Christ, il faut passer par un profond brisement, par l’abnégation de soi-même et un complet abandon: c’est comme cela que chacun se charge de sa croix pour suivre le Seigneur.

Il n’y a pas de règne sans souffrance, ni de victoire sans luttes. Le Seigneur est de notre côté, et nous sommes de Son côté. Sa Parole, la Parole de la Croix, la Parole de la réconciliation, est en nous. Ainsi, l’amour de Christ nous presse, de telle manière que nous voulons tout communiquer au peuple de Dieu ce qu’Il nous dit en ce temps par Son Esprit et par Sa Parole. Non seulement ici dans cette Eglise, mais partout, les véritables croyants doivent expérimenter ce que Dieu fait dans ce temps, et de quelle manière Il agit.

Nous sommes tellement reconnaissants d’avoir trouvé grâce devant Dieu de telle manière qu’Il nous a fait connaître quelles sont Ses voies, et que nous ayons pu avoir une part à ce qu’Il fait. Dans tous les temps, lorsque des événements décisifs devaient avoir lieu, Dieu a donné des directives à Son peuple. Il est Le même hier, aujourd’hui et éternellement.

Nous avons expérimenté qu’Il parle généralement à Son peuple, et aussi à l’individu. Nous ne pouvons pas publier tout ce que le Seigneur fait dans l’Eglise de Krefeld, et quelles bénédictions spirituelles nous avons expérimentées. Cependant, nous aimerions toujours à nouveau nous reporter à quelques-unes de ces expériences, afin que ceux qui sont dispersés aient une part directe à l’action de Dieu. Nous ferons remarquer que ce qui est dit n’est pas un simple parler charnel qui serait ensuite désigné comme étant une parole du Seigneur; mais qu’en fait, tout d’abord, le Seigneur montre en vision de quoi il s’agit; puis alors, sous l’inspiration du Saint-Esprit, un message nous est adressé. Il peut arriver que, par le Saint-Esprit, un message nous soit apporté dans une autre langue, et qu’ensuite, par la même inspiration, le don d’interprétation des langues nous le redonne dans notre langue. L’exactitude des révélations divines au milieu de nous ne nous est pas confirmée seulement par deux ou trois personnes, mais ce sont des centaines de personnes qui peuvent en témoigner tout au long de l’année.

Le 20 juin 1976, le Seigneur nous parla, après que nous ayons écouté une prédication de frère Branham: «Voyez, voyez, Mon peuple, ainsi dit le Saint au milieu de vous! Avez-vous pris garde à Ma Parole que vous avez entendue en cette heure, que J’ai adressée à votre coeur? Ne croyez pas que vous puissiez cacher quelque chose. Car si je vais demander compte au pécheur de ses fautes, combien plus le ferai-Je à l’égard du juste? Et si vous ne voulez pas que cela soit révélé devant Mon tribunal, cela doit être révélé ici. Car quelle chose Mon Esprit a-t-Il haï dès le commencement? C’est la fornication, la prostitution et l’adultère, dit L’Esprit au milieu de vous. C’est pourquoi tout ce ballet dansant de vos pensées est un regard vers le Serpent qui séduit vos pensées et vos sens. Mais Je demande à Mon peuple la sainteté, et Mon Esprit vous suit dans vos pensées et dans vos oeuvres. J’ai vu ce que vous avez fait, et Je peux en appeler plusieurs d’entre vous individuellement, un à un, car vous n’êtes pas venus à des hommes, mais à Ma Lumière; et par Ma Lumière pénétrante, Je vois chacun de vous. Et Je vous donne un exemple en ce jour afin que la crainte vienne sur chacun, et que vous n’attendiez pas que Je vous appelle par votre nom, mais que vous veniez devant Ma face et vous prosterniez…». Là-dessus, quelques-uns qui furent montrés auparavant en vision furent appelés par leur nom par prophétie, et ils mirent leur vie en ordre devant Dieu et devant les hommes. Nous devons tous nous consacrer entièrement à Dieu, et demander la grâce du Seigneur pour confesser tout ce dont notre conscience est chargée, afin de mettre cela en ordre. Il dit encore: «… tu n’as pas encore reconnu tout ce que tu devrais confesser… Et … tes pensées Me sont révélées et tes pêchés ne sont pas cachés devant Ma face. Voyez, ceci est le commencement au milieu de vous! Et celui qui s’opposera continuellement à Mon Esprit, Je l’appellerai publiquement ici, par son nom. Et, sachez-le bien, là-haut aussi, vous serez dévoilés, si vous ne voulez pas l’être ici».

En ces jours, l’Esprit de Dieu accomplit une oeuvre en profondeur. Il veut nous délivrer et nous délier de chaque souillure de la chair et de l’esprit. Paul dit ceci: “Ayant donc de telles promesses, bien-aimés, purifions-nous de toute souillure de la chair et de l’esprit, en achevant notre sanctification dans la crainte de Dieu” (2 Cor. 7.1).

Nous avons reçu les plus grandes promesses de Dieu. Nous sommes déjà déclarés par Dieu saints et bien-aimés; néanmoins, c’est maintenant le temps de la purification de toute souillure de la chair et de l’esprit. C’est seulement de cette manière qu’une pleine sanctification peut être opérée en nous. Il est écrit: “Sans la sanctification, nul ne verra le Seigneur”.

Après que le Saint-Esprit nous ait conduits dans les plus profonds mystères et pensées de Dieu, au moyen de la révélation de Sa Parole, Il agit maintenant pour opérer une profonde purification dans la vie de ceux qui veulent subsister devant Dieu. Il n’y a aucune utilité pour personne à se prévaloir des expériences faites avec le Seigneur, qu’il s’agisse de la conversion, de la nouvelle naissance, du baptême du Saint-Esprit, ou de quelque bénédiction que nous ayons reçue. Maintenant, le Seigneur ordonne à tous les croyants de se soumettre à cette pleine purification et sanctification, et cela dans la crainte de Dieu. Avant que les dernières promesses puissent être réalisées, ce processus d’entière purification doit être accompli en nous (1 Jean 3.3).

Le péché originel est survenu de deux manières. Premièrement: la désobéissance à la Parole de Dieu, la souillure de l’esprit de l’homme. Deuxièmement: la transgression de la Parole et la souillure de la chair. Dans la Parole de Dieu, l’une est appelée une prostitution spirituelle, et l’autre, une prostitution charnelle. Nous devons nous débarrasser radicalement de ces deux choses, sans égard pour notre prestige personnel. Le Seigneur veut nous briser et faire de nous un vase servant à Son honneur. Souvent, c’est à cause de notre prestige et de notre orgueil que nous sommes retenus de confesser nos péchés, et c’est là justement que se trouve l’obstacle qui empêche l’Esprit de déborder vraiment, et la pleine victoire de la Croix de Se manifester.

Nous n’avons rien à perdre, ni rien à cacher. De toute façon, tout est rendu manifeste devant Dieu, et si nous ne voulons pas que cela soit mis à nu devant le tribunal de Christ seulement, alors nous devons déjà le faire ici-bas. Je sais que c’est un chemin difficile, un chemin de renoncement à soi-même, un chemin d’humiliation; mais c’est le chemin de Dieu pour nous, en cette heure. Bienheureux celui qui désire recevoir la grâce d’être également obéissant en cela: il ne s’en repentira jamais.

Nous devons simplement comprendre qu’il ne s’agit pas des grandes choses que nous faisons, mais bien des petites que nous ne faisons pas. La désobéissance commence déjà par la transgression d’une Parole que nous ne prenons pas avec exactitude. Nous devons reconnaître qu’il y a un autre esprit qui se cache derrière chaque désobéissance, et une séduction est liée à cela. Par cela même, nous nous plaçons sous l’influence de l’ennemi et il reçoit un certain droit sur nous. Même pour ce qui concerne l’habillement, le Seigneur nous a montré le chemin. A maintes reprises, frère Branham a parlé de cela dans ses prédications: comment une soeur, même si elle est aussi pure qu’un lis, devra rendre compte devant le Seigneur pour s’être vêtue d’une façon qui a attiré l’attention des hommes sur elle, et leur a fait commettre adultère avec elle dans leurs pensées. Dans les prédications de frère Branham, l’Esprit de Dieu S’est sans cesse rapporté à cela, et Il nous a énergiquement exhortés à ce sujet en ces derniers temps. J’aimerais répéter ici cette exhortation et engager toutes les soeurs, au Nom du Seigneur, à s’habiller sans excentricité, d’une manière chaste et modeste, de façon à n’exciter en rien la convoitise des hommes.

Je suis bien conscient, qu’en publiant cette exhortation, nous ne ferons pas l’unanimité des croyants. Mais je sais que tous ceux qui sont destinés à l’enlèvement prendront au sérieux cette exhortation, et qu’ils se laisseront purifier de chaque souillure de la chair et de l’esprit, afin d’être dans une pleine sanctification, comme l’exige de nous la Parole de Dieu. Il est impossible que nous nous appuyions sur la grâce seule, sans prendre au sérieux chaque Parole de Dieu. Celui qui expérimente la grâce reçoit aussi la force de transposer la Parole en actes, et d’accomplir déjà sur cette terre la volonté de Dieu. Dieu n’exige rien de nous que nous ne puissions faire. Il n’y a personne qui ne se soit souillé d’une façon ou d’une autre, et n’ait péché en pensées, en paroles ou en actes. Aucun ne peut jeter la première pierre ou montrer du doigt quelqu’un d’autre. Que chacun donc s’examine devant le Seigneur, et confesse ses propres fautes et péchés, et non pas ceux des autres. L’amour de Dieu couvre une multitude de péchés, pourvu qu’après avoir tout confessé, la grâce amenant le pardon vienne dans notre vie. Le Seigneur veut une Eglise sans tache ni ride, et c’est ainsi qu’Il la présentera devant Lui, car c’est ce que déclare Sa Parole.

Agissant de la part de Dieu.
Br. Frank

 



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